Interrogé sur les chambres à gaz, Jean-Marie Le Pen se met à chanter : « Je ne regrette rien »

Jean Marie Le Pen piaf

L’une des sorties médiatiques les plus célèbres, certainement la plus polémique, de Jean-Marie Le Pen concerne l’importance des chambres à gaz dans l’histoire de la Seconde Guerre mondiale.

« Je suis passionné par l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale (…). Je ne dis pas que les chambres à gaz n’ont pas existé (…). Mais je crois que c’est un point de détail de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale », avait déclaré l’homme politique en 1987 à l’occasion du « Grand Jury » RTL. A l’époque, l’eurodéputé FN avait été condamné à verser la somme symbolique d’un franc à dix parties civiles, dont la LICRA et le MRAP.

Du Piaf en guise de réponse…

27 ans plus tard, Jean-Marie Le Pen semble camper sur sa position. « Monsieur Le Pen, encore une question, est-ce que vous regrettez d’avoir dit que les chambres à gaz étaient un détail de l’histoire ? », lui a demandé mardi un journaliste néerlandais de la Nederlandse Omroep Stichting (NOS, radios et télévisions publiques néerlandaises). « Je ne regrette rien monsieur. Non, rien de rien, non, je ne regrette rien », a répondu le président d’honneur du parti frontiste en chantant le célèbre morceau d’Edith Piaf.

Jean-Michel Maire viré d’une boite de nuit par… Leonardo Dicaprio !

jean Michel+Maire

Vendredi dernier, Cyril Hanouna a clôturé la saison de « Touche pas à mon poste » par un prime spécial. L’occasion pour ses chroniqueurs de dévoiler des anecdotes croustillantes.

L’animateur a demandé à Jean-Michel Maire s’il avait déjà rencontré des people. « J’étais en boite, Leonardo DiCaprio revenait de Cannes et était dans la même boîte entouré de gardes du corps avec des danseuses qui dansaient autour de lui (…) Moi j’étais à côté, libre d’accès, il y a avait des gens qui voulait prendre des photos avec moi par rapport à ‘Touche pas à mon poste’ », a alors expliqué l’ancien reporter de guerre.

La suite de l’histoire est particulièrement étonnante. « Le garde du corps de Leonardo Dicaprio m’a tapé sur l’épaule pour que j’aille à la rencontre de Leonardo DiCaprio (…) une fois devant lui, il me demande qui je suis, je lui explique que je suis un journaliste français et chroniqueur dans une émission de télévision. Puis il m’a dit ‘dégage’ », a conclu « Monsieur Teube ».