Josué Sossou

L’Agence fédérale de l’aviation américaine (FAA) a annoncé vendredi 28 Mars, une nouvelle réglementation qui pourrait marquer un tournant en matière de confidentialité des vols en jet privé. Désormais, les propriétaires de ces avions peuvent demander que certaines de leurs informations personnelles, comme leur nom et leur adresse, ne soient plus accessibles dans les registres publics.

Traçage des vols privés : la nouvelle réglementation qui protège les stars

Cette initiative s’inscrit dans une tendance croissante visant à limiter le suivi des déplacements aériens des personnalités publiques, alors que des figures comme Elon Musk et Taylor Swift dénoncent de graves problèmes de sécurité et de respect de la vie privée.

Jusqu’ici, le suivi des jets privés était relativement accessible. Comme les avions des compagnies aériennes, ces appareils étaient répertoriés dans des bases de données publiques, ce qui permettait à des passionnés et à des militants d’analyser les trajets des célébrités et de pointer du doigt l’empreinte carbone de leurs déplacements.

Des comptes spécialisés sur X (ex-Twitter), Instagram ou Threads publiaient en temps réel les itinéraires de stars comme Kim Kardashian, Elon Musk, Taylor Swift et Bill Gates. Ces révélations avaient mis en lumière des vols de quelques minutes, souvent en contradiction avec les discours écologiques de certaines personnalités.

Face à cela, des célébrités ont réagi. En 2022, Elon Musk a fait suspendre le compte @ElonJet, suivi par des centaines de milliers d’abonnés, arguant qu’il représentait une menace directe pour sa sécurité. Taylor Swift, quant à elle, a menacé d’attaquer en justice Jack Sweeney, un étudiant ayant créé plusieurs comptes dédiés au suivi des jets privés.

Des solutions pour contourner le suivi

L’annonce de la FAA s’inscrit dans la continuité d’une loi adoptée sous l’administration Biden, entrée en vigueur en mai 2024, permettant à tout propriétaire d’avion de masquer ses données d’immatriculation. L’agence envisage d’aller plus loin en rendant ces informations privées par défaut, sans nécessiter de demande préalable.

Avant même ces nouvelles règles, certaines célébrités avaient déjà trouvé des stratégies pour éviter d’être suivies. Par exemple, Bernard Arnault, PDG de LVMH, a vendu son jet personnel pour privilégier la location, rendant le suivi de ses déplacements plus complexe. D’autres propriétaires, comme Donald Trump, Drake et Steven Spielberg, exploitent des programmes de la FAA comme le « Limiting Aircraft Data Displayed » (LADD) et l’« ICAO Aircraft Address Program », qui permettent de restreindre la diffusion des immatriculations.

Un suivi toujours possible ?

Malgré ces restrictions, les amateurs de suivi des vols de célébrités ne comptent pas renoncer. Certains estiment qu’il restera toujours des moyens alternatifs pour traquer les déplacements des stars, en croisant différentes sources de données et en s’appuyant sur la communauté des passionnés d’aviation. Pour eux, le suivi des jets privés restera relativement accessible, malgré les efforts pour le limiter.

S’il a pris le temps de se remettre de son traitement contre le cancer, le roi Charles III a fait son retour aux affaires. Ce 1er avril, il est apparu en pleine forme au palais de Windsor pour une occasion très spéciale.

Charles III honoré de remettre des distinctions à Windsor : les détails

Obligé de ralentir ses activités, Charles III reprend progressivement ses obligations royales. Le 27 mars dernier, une annonce du Palais royal avait provoqué une vague d’inquiétude : « À la suite d’un traitement médical programmé […] contre le cancer ce matin, le roi a ressenti des effets secondaires temporaires qui ont exigé une courte période d’observation à l’hôpital. »

Contraint d’annuler plusieurs engagements, le souverain a pris quelques jours de repos. Mais cette frayeur médicale semble déjà derrière lui, puisqu’il est apparu en grande forme ce 1er avril, à Windsor, pour une cérémonie de distinction.

Un retour marqué par des distinctions honorifiques

Dans le château du Berkshire, Charles III a remis plusieurs médailles honorifiques à des personnalités du monde sportif et artistique. Parmi les lauréats :

• Katarina Johnson-Thompson, championne d’heptathlon,
• Marianela Núñez, danseuse du Royal Opera House,
• Wayne McGregor, chorégraphe de renom.

De plus, Matthew Magee, secrétaire privé adjoint du roi, a reçu la médaille de l’Ordre royal de Victoria. Fidèle serviteur de feu Elizabeth II, il était connu pour sa grande taille (plus de 2 mètres) et son humour apprécié par la reine. Depuis le décès de cette dernière, il est devenu un membre clé de l’équipe de Charles III, qui s’est dit ravi de le récompenser pour ses années de service.

Charles III : un message émouvant pour la Birmanie

Bien qu’il ait dû annuler certains événements, Charles III a pris la parole sur un sujet qui lui tient à cœur : le séisme dévastateur en Birmanie. Le 29 mars, il a publié un message poignant sur Instagram : « Ma femme et moi-même avons été terriblement choqués et attristés de découvrir le séisme dévastateur en Birmanie, qui a coûté la vie à de nombreuses personnes et détruit maisons et bâtiments. Sans oublier la destruction de pagodes sacrées, de monastères et autres lieux de culte. »

Il a également salué la résilience exceptionnelle des habitants et exprimé ses condoléances : « Dans ces moments très difficiles, ma femme et moi envoyons notre plus profonde sympathie à ceux qui ont perdu des proches, leur maison et leurs moyens de subsistance. »

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Seulement quelques jours après avoir inquiété ses proches et les Britanniques en raison d’une hospitalisation liée à des « effets secondaires » de son traitement contre le cancer, Charles III se porte mieux. Une bonne nouvelle confirmée par le Daily Mail.

Hospitalisation de Charles III : le roi reprend ses engagements malgré les mises en garde de Camilla

Le jeudi 27 mars, Charles III a été admis à la London Clinic de Marylebone après avoir souffert de complications liées à son traitement contre le cancer. Bien que Clarence House ait rapidement rassuré sur son état, le roi a dû reporter ses engagements du vendredi pour se reposer.

Trois jours après cette annonce, la journaliste Rebecca English, du Daily Mail, a partagé des nouvelles rassurantes du souverain de 76 ans.

Un retour au travail avant sa visite en Italie

Après un week-end reposant à Highgrove, le roi a rejoint ce lundi 1er avril le château de Windsor pour une semaine de travail normale. « Une ou deux modifications mineures à l’agenda, mais sinon un mélange d’investitures, de réunions, de lettres de créance et d’engagements publics », a détaillé Rebecca English sur X (anciennement Twitter).

Autre information importante : Charles III maintient bien sa visite d’État en Italie, prévue du 7 au 10 avril. Un déplacement qui coïncidera avec une occasion spéciale pour le couple royal : leur 20ᵉ anniversaire de mariage. Toutefois, leur programme pourrait être légèrement allégé en raison des récents soucis de santé du roi.

Un roi impatient de reprendre ses fonctions

Malgré son état, Charles III aurait mal vécu ces jours de repos forcés. Selon Alastair Bruce, commentateur royal sur Sky TV, interrogé par Le Parisien, le père du prince William était même « furieux » : « Il faut comprendre que ce rôle, c’est pour lui bien plus qu’un travail. C’est toute sa vie et cela le sera jusqu’à son dernier jour. »

Si une personne espère toutefois qu’il lève le pied, c’est bien Camilla. Lors d’un événement au palais de Buckingham, la reine lui aurait demandé d’adopter un rythme moins soutenu. Mais Charles III, fidèle au sens du devoir hérité de sa mère Elizabeth II, refuse de ralentir.

Fils cadet du roi Charles III, le prince Harry était jusqu’à cette semaine le parrain de l’ONG Sentebale, l’un des rares engagements caritatifs qu’il avait conservés après sa rupture avec la monarchie britannique en 2020.

Tensions chez Sentebale : le prince Harry accusé de harcèlement

Le prince Harry, qui vient de se retirer d’une association caritative africaine qu’il avait cofondée en 2006, est désormais au cœur d’une polémique. La présidente de cette ONG, en proie à des tensions internes, l’accuse de « harcèlement et d’intimidation ».

Jusqu’à récemment, le prince Harry était le parrain de l’ONG Sentebale, créée en hommage à sa mère, la princesse Diana, pour soutenir les orphelins du sida. Mardi, il a annoncé avec « le cœur lourd » qu’il renonçait à cette fonction, en solidarité avec cinq membres du conseil d’administration ayant démissionné en raison d’un désaccord avec la présidente de l’organisation.

Cette dernière, Sophie Chandauka, une avocate zimbabwéenne de 47 ans, avait pris ses fonctions en juillet 2023. Face à sa révocation, elle a saisi la Haute Cour de Londres pour tenter de contester la décision, ce qui a entraîné la démission collective des autres membres du conseil.

La présidente de Sentebale brise le silence

Dans une interview accordée à Sky News, Sophie Chandauka a dénoncé la manière dont le prince Harry a annoncé son départ. « Il a diffusé une information dommageable au grand public sans m’en informer, ni moi, ni mes directeurs nationaux, ni mon directeur exécutif. C’est un exemple de harcèlement et d’intimidation à grande échelle », a-t-elle déclaré.

Cependant, ces accusations sont contestées par Kelello Lerotholi, ancien membre du conseil d’administration, qui affirme : « Je peux dire honnêtement que, dans les réunions où j’étais présent, il n’y a jamais eu la moindre trace de cela. »

Les raisons précises de ce conflit interne restent floues. Toutefois, selon The Times, Sentebale traversait une période difficile depuis plusieurs mois. Dans un communiqué récent, Sophie Chandauka a dénoncé des problèmes de gouvernance, d’abus de pouvoir, d’intimidation, de misogynie et de racisme envers les femmes noires au sein de l’ONG.

Fondée en 2006, Sentebale œuvre auprès des enfants orphelins du sida au Lesotho et au Botswana. Depuis sa création, le prince Harry avait fait de cette organisation l’un de ses engagements les plus emblématiques.

Lors de leurs nombreuses apparitions officielles, Kate Middleton, le prince William et d’autres membres de la famille royale britannique sont souvent aperçus en voiture sans porter leur ceinture de sécurité. Un détail qui peut surprendre, mais qui s’explique par des raisons bien précises.

Pourquoi Kate Middleton et le prince William ne portent-ils pas toujours leur ceinture en voiture ?

Bien que Kate Middleton et le prince William assistent ensemble à de nombreux événements, certains observateurs attentifs auront remarqué que le couple n’attache pas systématiquement sa ceinture en voiture. Cette pratique concerne également le roi Charles III. Si cela peut sembler imprudent, cette décision repose en réalité sur des impératifs de sécurité.

D’après Michael Chandler, expert britannique en sécurité interrogé par le Daily Mail, ce choix s’explique par un protocole bien établi. Il affirme que l’absence de ceinture permet aux membres de la famille royale d’être évacués plus rapidement en cas d’urgence. « Il y a des préoccupations quant à l’extraction rapide d’un membre royal d’un véhicule. Il est donc parfois préférable qu’ils ne soient pas attachés. », explique-t-il.

Cependant, l’expert précise que lors des longs trajets, les membres de la famille royale portent bien leur ceinture, contrairement à ce que l’on pourrait penser. « Ils portent en réalité leur ceinture bien plus souvent que le public ne le réalise. Sur les longs trajets ou à grande vitesse, ils sont attachés. », ajoute-t-il.

Une exception légale pour la famille royale

En Royaume-Uni, le port de la ceinture de sécurité est obligatoire et son non-respect est sanctionné par la loi. Pourtant, les membres de la famille royale bénéficient d’une immunité spéciale qui les exempte de poursuites.

Le roi Charles III, en particulier, est protégé par l’immunité souveraine, ce qui signifie qu’il ne peut pas être poursuivi en justice. « Selon la Déclaration des droits de 1689, la monarchie est au-dessus des lois judiciaires », rappelle Michael Chandler. De plus, la loi sur les procédures de la Couronne de 1947 a confirmé cette exemption, bien qu’elle ait permis de poursuivre d’autres institutions gouvernementales.

Une décision prise par leurs agents de sécurité

Si Kate Middleton, le prince William ou encore la reine Camilla ne portent pas toujours leur ceinture, c’est souvent parce que ce choix est imposé par leurs agents de sécurité. « Ce n’est pas qu’ils sont exempts légalement s’ils ne sont pas en mission officielle, mais la décision revient généralement à leurs gardes du corps », décrypte l’expert.

En clair, la police qui assure leur protection n’est pas encline à remettre en cause ce protocole de sécurité bien établi.

Beyoncé et Jay-Z, le couple le plus puissant de l’industrie musicale, ont déjà résidé dans une villa de rêve sur la Côte d’Azur. Mais aujourd’hui, cette luxueuse propriété se retrouve au cœur d’une vente aux enchères inédite… Découvrez tous les détails !

Cannes : une villa où ont séjourné Beyoncé et Jay-Z vendue aux enchères pour 40 millions d’euros

Impossible d’évoquer la culture pop sans parler de Beyoncé et Jay-Z. Ces deux icônes mondiales ont su transformer leur talent en une véritable machine à succès. Ensemble, ils forment l’un des couples les plus influents de la planète. Beyoncé, ex-leader du groupe Destiny’s Child, a conquis le monde avec des hits légendaires comme Single Ladies, Halo et Crazy in Love. Véritable icône féministe, elle a multiplié les tournées à guichets fermés et les récompenses.

Jay-Z, rappeur visionnaire originaire de Brooklyn, a marqué l’histoire du hip-hop avec des albums cultes comme The Blueprint et 4:44. En parallèle, il a bâti un empire, investissant dans la musique, la mode, le sport et l’art. En 2019, il est devenu le premier rappeur milliardaire selon Forbes. Ensemble, Beyoncé et Jay-Z pèsent plus de 2 milliards de dollars et possèdent des propriétés dans le monde entier. Mais l’une d’elles, située en France, fait aujourd’hui les gros titres…

Une villa d’exception sur la Côte d’Azur mise aux enchères

La villa Alang Alang, située dans le prestigieux quartier de La Californie à Cannes, sera prochainement mise aux enchères par le tribunal judiciaire de Grasse (Alpes-Maritimes).

Cette somptueuse demeure, qui a accueilli de nombreuses célébrités, dont Beyoncé et Jay-Z, est estimée à 45 millions d’euros. Avec 1 300 m² habitables, 650 m² de dépendances et un terrain de 1,1 hectare, elle offre une vue panoramique exceptionnelle et des prestations dignes d’un palace.

Une vente aux enchères sous tension

Derrière ce luxe se cache une situation complexe. Le propriétaire actuel, un promoteur britannique du nom d’Oliver Dean Marley, est endetté à hauteur de 29 millions d’euros auprès de la banque Barclays.

Pour éponger une partie de cette dette, la villa sera proposée à la vente avec un prix de départ de 40 millions d’euros, qui pourrait être revu à la baisse en l’absence d’acheteurs.

Cependant, un obstacle majeur pourrait dissuader les investisseurs : la propriété est encore occupée. Le propriétaire actuel et plusieurs personnes y résident sans contrat de location officiel, ce qui signifie que l’acquéreur devra entamer des procédures juridiques pour libérer les lieux.

Un bien d’exception, une vente hors norme… Qui osera s’offrir la villa de Beyoncé et Jay-Z sur la Côte d’Azur ?

Selon les informations du magazine Closer, paru ce vendredi 28 mars, Céline Dion aurait pris la décision de quitter Las Vegas pour s’installer à plus de 4 000 km, à Miami. Un choix mûrement réfléchi pour son bien-être et celui de ses trois enfants.

Céline Dion quitte Las Vegas pour Miami : une nouvelle vie commence

Après plus de vingt ans passés à Las Vegas, où elle a bâti une grande partie de sa légende, Céline Dion souhaite tourner la page. L’interprète de On ne change pas aurait choisi de revenir à Miami, un lieu cher à son cœur, puisqu’elle y a vécu avec son défunt mari René Angélil. C’est également en Floride qu’elle a vécu sa première grossesse et accouché de son fils René-Charles à Palm Beach.

Malgré ce déménagement, la chanteuse ne se séparerait pas de sa maison à Henderson, dans le Nevada.

Un choix dicté par sa santé fragile

Toujours selon Closer, ce changement de cadre de vie serait bénéfique pour la santé de Céline Dion, qui lutte depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide. En Floride, le climat est plus doux et « moins extrême » qu’au Nevada, où l’air sec du désert de Mojave aurait aggravé ses problèmes de cordes vocales et son asthme.

De plus, un programme universitaire de pointe, dédié à l’étude de cette maladie rare, se trouve en Floride, ce qui pourrait lui permettre d’accéder à des soins plus adaptés.

Un nouveau départ aussi pour ses enfants

Ce déménagement ne concerne pas seulement Céline Dion, mais aussi ses enfants. Son fils Eddy, passionné d’e-sport, pourra ainsi participer au summer camp d’une prestigieuse université de Miami. Quant à son fils aîné René-Charles, il verrait dans ce changement une nouvelle opportunité pour renforcer son couple avec Angélique Weckenmann, avec qui il s’est récemment réconcilié.

Un hommage émouvant à sa mère Thérèse Dion

Le 21 mars dernier, sur Instagram, Céline Dion a partagé un message touchant à l’occasion de l’anniversaire de sa mère, Thérèse Dion, décédée à 92 ans en janvier 2020.

Elle a écrit en légende d’une photo : « Alors que j’avais une conversation avec René-Charles ce soir, tu es entrée dans nos pensées. Nous nous sommes souvenus des souvenirs aimants que nous gardons de toi. » Avant d’ajouter : « Maman, je veux juste que tu saches qu’on t’aime tellement et que tu nous manques. D’une conversation à une recette, à une histoire sur toi, il n’y a pas un jour où tu ne fais pas partie de nous. Joyeux anniversaire maman… »

Un hommage bouleversant qui témoigne de l’amour indéfectible que la star porte à sa famille.

Ce jeudi 27 mars, le Palais de Buckingham a annoncé que le roi Charles III a été brièvement hospitalisé en raison d’effets secondaires liés à son traitement contre le cancer. Contraint au repos, le souverain a dû annuler plusieurs engagements officiels, comme le rapporte The Guardian.

Roi Charles III brièvement hospitalisé : ce que l’on sait de son état de santé

Le roi Charles III a été admis à la London Clinic de Marylebone, à Londres, pour une courte observation après avoir ressenti des effets secondaires temporaires suite à son traitement. « À la suite d’un traitement médical programmé (…) contre le cancer ce matin, le roi a ressenti des effets secondaires temporaires qui ont exigé une courte période d’observation à l’hôpital. », lit-on dans un communiqué du Palais de Buckingham.

Cependant, selon des sources proches du souverain, son état de santé n’est pas préoccupant. Dans une interview accordée à The Mirror, un assistant du Palais a déclaré que Charles III est en bonne forme et qu’il a déjà regagné Clarence House, sa résidence officielle. « Ce n’est qu’un petit accident de parcours. Le traitement suit toujours la bonne direction. », a notifié une source de Daily Mail.

Des engagements annulés et un agenda réorganisé

Suite à cette hospitalisation, le roi Charles III a besoin de repos. Comme l’a précisé le Palais de Buckingham, son agenda du vendredi 28 mars a été réorganisé.

Événements annulés ou reportés :

• Rencontre avec des ambassadeurs à Buckingham Palace, initialement prévue le 27 mars.
• Déplacement à Birmingham le 28 mars, où il devait assister à quatre engagements publics.

« Il est très déçu de manquer ces rendez-vous mais espère vivement qu’ils pourront être reprogrammés en temps voulu. Il présente ses plus sincères excuses à tous ceux qui ont travaillé dur pour organiser cette visite. », a confié le Porte-parole du Palais de Buckingham.

Un voyage officiel en Italie toujours maintenu

Malgré ces récentes annonces, la visite d’État du roi Charles III en Italie est toujours maintenue. Accompagné de son épouse Camilla Parker Bowles, le monarque se rendra en Italie du 7 au 10 avril. Ce voyage marquera également leur 20e anniversaire de mariage – les noces de porcelaine.

Cependant, la visite prévue au Vatican pour rencontrer le pape François a été annulée. Sur X (anciennement Twitter), la journaliste du Daily Mail Rebecca English a révélé que la rencontre avait été reportée d’un commun accord : « L’avis médical suggère que le pape François bénéficierait d’une période prolongée de repos et de récupération. »

Le parquet national financier (PNF) a requis, ce jeudi, une peine de 7 ans de prison ferme, 300 000 euros d’amende et 5 ans d’inéligibilité contre Nicolas Sarkozy, dans le cadre du procès du financement libyen. Une sanction d’une sévérité inédite pour un ancien président de la République. Ses avocats prendront la parole le 8 avril, après les plaidoiries des autres prévenus.

Procès Nicolas Sarkozy : le parquet parle d’un « pacte de corruption faustien » !

Comme une marée qui monte lentement, le réquisitoire du procureur financier Sébastien de la Touanne s’est abattu sur les prévenus du procès du financement libyen. Nicolas Sarkozy voit la vague grossir et approcher. Lorsque le magistrat requiert 6 ans de prison ferme, 100 000 euros d’amende et 5 ans d’inéligibilité pour Claude Guéant, il est évident que la sentence pour l’ancien chef de l’État sera encore plus lourde.

Il est 16h45 lorsque le représentant du Parquet national financier, après près de 24 heures d’un réquisitoire à trois voix entamé mardi, demande une peine historique pour un ancien président de la République : 7 ans de prison ferme, 300 000 euros d’amende et 5 ans d’inéligibilité.

Face à lui, Nicolas Sarkozy encaisse le coup. Quelques minutes plus tard, il quitte la salle d’audience, sourire aux lèvres, serrant quelques mains avant de disparaître dans les couloirs du tribunal de Paris. Sa voiture l’attend rue du Bastion.

Des peines sévères pour les autres prévenus

Le PNF n’a pas ménagé les autres accusés, dont plusieurs encouraient jusqu’à 10 ans de prison. Parmi les réquisitions :

• Claude Guéant : 6 ans de prison, 100 000 euros d’amende, 5 ans d’inéligibilité
• Brice Hortefeux et Thierry Gaubert : 3 ans de prison
• Alexandre Djouhri (qualifié d’« agent de corruption ») : 5 ans de prison, 4 millions d’euros d’amende
• Ziad Takieddine (en fuite) : 6 ans de prison, 3 millions d’euros d’amende
• Béchir Saleh (ancien dignitaire libyen, également en cavale) : 6 ans de prison, 6 millions d’euros d’amende
• Éric Woerth : 1 an de prison pour financement illégal de la campagne de 2007

Un “pacte de corruption faustien”

Le PNF justifie cette sévérité en dénonçant un « tableau très sombre d’une partie de notre République ». Le procureur insiste particulièrement sur la responsabilité de Nicolas Sarkozy, pointant sa « quête effrénée de financement pour ses ambitions dévorantes » et dénonçant un « pacte de corruption faustien » avec Mouammar Kadhafi, un des « dictateurs les plus infréquentables ».

Il rappelle que la folie meurtrière du leader libyen a causé la mort de centaines de personnes, dont 54 Français dans l’attentat contre le DC-10 d’UTA en 1989.

Le procès n’est pas terminé

Dès lundi, la défense aura l’occasion de répondre aux accusations. Les avocats de Nicolas Sarkozy, pour lequel aucun mandat de dépôt immédiat n’a été requis, plaideront le 8 avril. Ensuite, le tribunal mettra son jugement en délibéré, une décision qui pourrait prendre plusieurs mois. En théorie, le réquisitoire du parquet ne lie pas les juges. La présidente Nathalie Gavarino et ses assesseurs peuvent choisir de suivre les réquisitions, de les réduire ou même de prononcer des relaxes.

Un dossier accablant ?

Le parquet a présenté un réquisitoire dévastateur, s’appuyant sur :

• Des témoignages libyens
• Les carnets de Choukri Ghanem, ex-haut responsable du régime Kadhafi
• Des milliers de documents numériques, notamment sur le disque dur de Ziad Takieddine
• Le traçage de fonds suspects : 440 000 euros provenant de Tripoli vers un compte exotique de Thierry Gaubert

Le PNF rappelle que le délit de corruption ne repose pas uniquement sur le traçage des sommes d’argent, mais sur l’existence d’un « pacte » entre les parties. À ce stade, difficile de dire que le dossier est vide. Mais est-il assez solide pour mener à douze condamnations ?

Nicolas Sarkozy contre-attaque

Immédiatement après l’annonce des réquisitions, Nicolas Sarkozy a réagi sur X (ex-Twitter), dénonçant une persécution politique : « Le PNF persiste depuis 13 ans à essayer de prouver ma culpabilité (…) postulat idéologique de base (…) Je continuerai donc à me battre pied à pied et à croire dans la sagesse du tribunal. »

Il ajoute : « Celui qui est victime de l’injustice est moins à plaindre que celui qui la commet. Devant le tribunal de l’Histoire, la place réservée à ce dernier n’est pas la plus enviable. Je la laisse à mes accusateurs. »

Une déclaration adressée à l’opinion publique. Mais ses avocats devront convaincre le tribunal avec d’autres arguments.

Peut-on vraiment s’offrir la robe de mariée iconique de Melania Trump ? Une journaliste de Vogue USA, Liana Satenstein, a découvert une annonce étonnante qui semble proposer à la vente cette pièce haute couture signée John Galliano, portée par l’ex-Première dame lors de son mariage avec Donald Trump en 2005.

Scoop mode : la robe de mariée de Melania Trump serait en vente… mais est-ce une arnaque ?

Comment une robe aussi prestigieuse pourrait-elle se retrouver en vente sur eBay ? La journaliste mode Liana Satenstein a mis en lumière cette publication le 25 mars 2025 via son blog Substack. Elle y raconte comment son amie Patricia Torvalds est tombée sur cette offre en effectuant une simple recherche avec les mots-clés « robe de mariée des années 1980 ».

L’annonce en question laisse peu de place au doute : « Robe de mariée Christian Dior spécialement conçue par John Galliano pour le mariage de Melania Trump en 2005 avec Donald Trump. »

Un chef-d’œuvre de haute couture en vente à prix réduit ?

À l’époque, la robe de Melania Trump avait fait la couverture du magazine Vogue et était estimée entre 100 000 et 200 000 dollars (soit environ 93 000 à 186 000 euros). Une création d’exception pesant 22 kilos, nécessitant plus de 500 heures de couture à la main, et ornée de cristaux Swarovski ainsi que d’une traîne de 13 pieds (près de 4 mètres !).

Selon le vendeur, cette robe aurait été achetée directement à Melania Trump en 2010 pour 70 000 dollars (environ 65 000 euros). Aujourd’hui, il la propose à 45 000 dollars (environ 42 000 euros), faute de meilleure offre.

Authentique ou arnaque ? Melania Trump garde le silence

Mais cette annonce est-elle réellement fiable ? Même la journaliste de Vogue en doute : « Je ne sais pas si cette robe est authentique et je ne connais pas la vendeuse personnellement. Peu importe, Melania, faites-moi savoir, appelez-moi ! »

Pour l’instant, Melania Trump n’a toujours pas réagi à cette vente potentielle, laissant planer le doute sur l’origine de la robe.

Un style radicalement différent aujourd’hui

Si cette robe extravagante était à l’époque un véritable chef-d’œuvre de la mode nuptiale, elle contraste totalement avec le style actuel de Melania Trump. Depuis son retour sous les projecteurs en janvier dernier, l’ancienne mannequin privilégie l’élégance minimaliste.

Son styliste personnel, Hervé Pierre, a confié au magazine Hello ! que Melania Trump affectionne désormais les costumes sur mesure, les coupes nettes et les designs épurés : « Elle ne va pas commencer à porter des volants et des imprimés floraux juste parce qu’elle entame un nouveau chapitre. Elle aime les looks structurés et intemporels. »

Une garde-robe sobre et sophistiquée, qui pourrait, elle aussi, trouver preneur sur le marché de la mode de seconde main… à condition d’être authentique !