Joan Rivers compare Lea Michele à une star de porno !

Connue pour ses critiques fâcheuses vis-à-vis des stars sur la chaine E!, Joan Rivers ne se fait plus prier pour donner son point de vue sur les tenues vestimentaires des stars sur le tapis rouge dans son émission intitulée Fashion Police. Sa dernière victime était Lea Michele. 

« Lea ressemble à une star de porno », a fait remarquer Joan Rivers lors d’une émission de La Fashion Police sur la chaine E! . « Vous savez, ce genre de stars de porno qui ne sont pas les plus belles font des trucs fous », a ajouté l’animatrice de 81 ans avant de souligner que personne n’aime Lea Michele. « J’ai entendu dire que l’équipe de casting de Glee se referait à elle comme la toilette publique, parce que personne n’a envie de l’approcher, sauf quand c’est nécessaire », renchérit-elle. L’actrice de Glee n’a pas encore répondu aux attaques de l’animatrice.

Ce n’est pas la première fois que l’animatrice de la Fashion Police s’en prend à Lea Michele. En 2012, Joan Rivers avait écrit ceci dans « I Hate Everyone Starting With Me », son livre : « Lea Michele n’est pas au lycée. Elle a 37 ans. La seule raison pour laquelle elle retournera au lycée serait d’appartenir à un culte religieux bizarre et d’attacher des bombes à ses seins. »

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One Direction : Zayn Malik reçoit des menaces de mort !

À l’instar de Rihanna, Selena Gomez et Joan Rivers, Zayn Malik a donné son opinion sur la crise Isrèlo-Palestinienne. Mais s’il y a un sujet pour lequel idoles et fans se déchirent sur les réseaux sociaux, c’est celui de la crise Israèlo-Palestinienne. Sur Twitter, la star de One Direction a posté « #Free Palestine ». Ce post lui aurait valu des menaces de mort le week-end dernier selon Aceshowbiz

Sur son compte Twitter, Zayn Malick a posté : « Free Palestine. » Des fans israéliens mécontents de ce soutien que leur idole démontre à la Palestine se sont tout de suite irrités. « Vous avez des fans en Israël. Cela m’écoeure que l’une de mes idoles veuille que je meure », a écrit un fan alors que d’autres n’offraient que deux possibilités à la star, lui demandant de « se tuer » ou ils le tueraient eux-mêmes.

Crise Israelo-Palestinienne, un sujet interdit aux stars ?

Zayn Malik n’est pas la première star à susciter la colère de ses fans en évoquant la crise Israèlo-Palestinienne. Plus tôt ce mois, Rihanna a posté un message qu’elle a ensuite supprimé après la réaction négative de ses fans. Quelques jours plus tard, ce fut au tour de Selena Gomez de provoquer la colère de ses « followers » sur Instagram en écrivant : « Pray For Gaza. » Mais ce post de Selena n’a pas seulement dérangé ses fans, Joan Rivers, l’animatrice de Fashion Police a aussi blâmé l’ex-star de Disney Channel. « Eh Bien ! Si Selena a dit cela, voyons si elle peut épeler Palestinien. »

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Joan Rivers clash Selena Gomez sur la crise israélo-palestinienne !

La crise israélo-palestinienne alerte plusieurs stars américaines. De  Rihanna à Joan Rivers en passant par Selena Gomez, toutes ne manquent pas de donner leur avis sur la question. Le 24 juillet dernier, à l’aéroport international de Los Angeles, interrogée par un paparazzi sur le sujet, Joan Rivers s’en est prise à Selena Gomez…

Sur son compte Instagram Selena Gomez avait posté :« Priez pour Gaza ». Si ce post a provoqué le courroux de plusieurs de ses « followers », que dira-t-on  de la réaction de Joan Rivers ? « Selena Gomez, oh, oui, cette diplômée d’université ? », a ironisé la présentatrice de Fashion Police, avant de continuer : « Eh bien ! si Selena a dit cela, OK. Voyons si elle peut épeler palestinien. »  À la suite de ce post controversé de Selena Gomez, la chanteuse de 22 ans a clarifié les choses, insistant sur le fait qu’elle n’était d’aucun côté, et qu’il s’agissait d’une question d’humanité. L’animatrice de 81 ans, quant à elle, montre clairement sa position en défendant Israël. « Les Palestiniens ne peuvent pas jeter des roquettes et espérer que les gens ne se défendent pas », a -t-elle dit, selon Aceshowbiz.

Joan Rivers accuse aussi les militants de stocker leurs armes dans des zones civiles. « Si vous ne voulez pas de victimes civiles, alors ne mettez pas vos putains de choses  dans des maisons privées ! je suis désolée, ne vous aviser pas de le faire », s’est-elle écriée.

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