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Le prince Harry semble vouloir renouer le contact avec son père, le roi Charles III, mais ce dernier garde ses distances. Il ne répond plus à son fils pour des raisons bien particulières.

« Ni appel, ni lettre » : le prince Harry coupé de sa famille royale

La relation entre le prince Harry et son père semble aujourd’hui au point mort. Le dimanche 6 avril, le duc de Sussex a atterri en Angleterre, tandis que, le même jour, Charles III revenait de sa résidence d’Highgrove, selon les révélations du magazine Hello!. Malgré leur proximité géographique, père et fils ne se sont pas rencontrés. Le lendemain, le roi s’est envolé pour une visite d’État « historique » de quatre jours en Italie.

Ce n’est pas la première fois que le prince Harry est de passage au Royaume-Uni sans voir son père. Selon le magazine People, « les amis du prince notent que lors de chacune des trois dernières visites de Harry au Royaume-Uni, Charles n’a pas été disponible – y compris ce mois-ci, bien que la date du procès de Harry ait été fixée depuis longtemps et connue avant le départ du roi pour l’Italie ». En mai 2024, déjà, Harry était à Londres pour les Invictus Games, mais ni le prince William ni le roi Charles III n’avaient fait le déplacement.

Toujours selon People, le prince Harry aurait tenté à plusieurs reprises de contacter son père, mais ses appels et lettres seraient restés sans réponse. Pire encore : le duc de Sussex aurait appris l’hospitalisation de son père, le 27 mars dernier, comme tout le monde… par les médias.

Des sources proches du prince affirment que cette distance serait délibérée. Le roi souhaiterait éviter toute implication dans les discussions juridiques sur la sécurité de son fils. L’auteure spécialiste de la royauté, Sally Bedell Smith, explique à People : « La bataille juridique place Harry en contact direct avec les personnes qui exécutent les ordres du roi. Si Charles disait quelque chose, même d’anodin, cela pourrait être utilisé contre lui dans le cadre du procès. »

Une source du palais nuance cette version, estimant qu’il est pourtant possible de faire la distinction entre vie privée et affaires officielles. Mais, selon cette même source, « les choses sont tendues depuis un certain temps ».

Le prince Harry était de retour au Royaume-Uni pour une procédure judiciaire cruciale devant la Cour d’appel. Depuis qu’il a renoncé à ses fonctions royales, il doit financer lui-même sa sécurité, mais ses agents privés n’ont pas accès aux bases de données du ministère de l’Intérieur, ni aux renseignements des services spéciaux. Une situation qu’il juge injuste et dangereuse.

Harry estime qu’il ne devrait pas être privé d’une protection adéquate – une sécurité que d’autres personnalités de haut rang continuent de recevoir. Il entend prouver que de réelles menaces pèsent sur sa sécurité, ainsi que celle de sa famille. Selon lui, ses enfants, le prince Archie et la princesse Lilibet, « ne peuvent pas se sentir chez eux ni en sécurité au Royaume-Uni » tant que sa protection n’est pas rétablie.

Dans le nouvel épisode de son podcast Confessions of a Female Founder, Meghan Markle s’est livrée comme rarement auparavant sur sa fausse couche survenue en 2020.

Meghan Markle revient sur le drame de sa fausse couche : “Il faut apprendre à laisser partir”

En novembre 2020, l’ancienne actrice de Suits publiait une tribune dans le New York Times, dans laquelle elle révélait avoir perdu un enfant. Depuis, Meghan Markle n’était revenue qu’une seule fois sur cette douloureuse épreuve, dans la série documentaire Harry & Meghan diffusée sur Netflix fin 2022. Ce mardi 15 avril, dans son nouveau podcast, la duchesse de 43 ans est revenue avec émotion sur cet épisode marquant, au cours d’une conversation intime avec Reshma Saujani, fondatrice de l’organisation à but non lucratif Girls Who Code.

Alors que son invitée partageait elle aussi avoir vécu une fausse couche, la mère d’Archie et de Lilibet Diana a exprimé son ressenti : un besoin profond de « détachement ».

« J’ai parlé de la fausse couche que nous avons vécue. Je pense qu’il faut apprendre à se détacher des choses sur lesquelles on place beaucoup d’espoir, et accepter, à un certain moment, de laisser partir quelque chose, même si on avait prévu de l’aimer pendant longtemps », a-t-elle confié avec philosophie. Une réflexion qui a profondément touché Reshma Saujani : « J’ai l’impression que vous lisez mon journal intime. C’est vraiment très perspicace. »

Lors de la série Harry & Meghan, Meghan et le prince Harry avaient déjà abordé ce drame. Le duc de Sussex avait pointé du doigt la responsabilité de certains tabloïds britanniques, dont le Daily Mail, accusés d’avoir alimenté un climat toxique autour de son épouse à la suite de leur départ de la famille royale.

« Peut-on affirmer que la fausse couche est due à cela ? Bien sûr que non. Mais en pensant à tout le stress généré, au manque de sommeil et à cette grossesse de quelques semaines… Je peux dire que cette fausse couche a été causée par ce qu’ils lui ont fait subir », avait déclaré le prince Harry, encore très affecté par cette perte.

Dans sa tribune intitulée The Losses We Share (Les pertes que l’on partage), Meghan Markle décrivait avec justesse l’instant où elle a compris ce qu’il se passait : « J’ai su, au moment où je serrais fort mon premier enfant dans mes bras, que j’étais en train de perdre le second », écrivait-elle, évoquant une crampe aiguë survenue en juillet 2020, alors qu’elle changeait la couche de son fils Archie.

Dans son ouvrage La Tragédie de l’Élysée (éd. Robert Laffont), disponible en librairies depuis le 3 avril, le journaliste Olivier Beaumont dévoile l’un des petits secrets gastronomiques du président de la République. Emmanuel Macron, grand amateur de gastronomie française et de bons alcools — notamment le whisky Lagavulin 16 ans d’âge — impose un mets bien particulier à chacun de ses dîners à l’Élysée.

Le plat que Emmanuel Macron impose à tous ses dîners à l’Élysée enfin révélé

Dans le chapitre 8, intitulé À la table du président, Olivier Beaumont révèle que, lors des repas de travail, Emmanuel Macron fait systématiquement servir des fruits de mer. « Il en raffole », souligne le journaliste.

Mais au-delà du plaisir gustatif, ce choix de plat a aussi une dimension pratique, comme le confie un habitué de ces dîners présidentiels : « On nous pose le plateau, chacun se sert et puis c’est tout. Ça évite d’être systématiquement dérangé par les allées et venues du personnel. Et on est plus tranquilles pour échanger librement. »

Les autres péchés mignons d’Emmanuel Macron

Les fruits de mer ne sont pas le seul plaisir culinaire du président. En janvier 2022, Brigitte Macron confiait sur le plateau des 12 Coups de Midi qu’elle cuisinait souvent pour son mari afin qu’il garde la ligne. « Ce qu’il préfère, le soir, c’est une petite omelette aux lardons avec des pommes de terre sautées et une salade », révélait-elle.

Dans le documentaire Emmanuel Macron : les coulisses d’une victoire de Yann L’Hénoret, le président déclarait également être fan de cordons-bleus. Un plat que les cuisiniers de l’Élysée ont revisité pour lui faire plaisir : « Les cuisiniers de l’Élysée se sont adaptés à son arrivée en lui concoctant à leur façon cette recette particulièrement appréciée des jeunes enfants », écrit Beaumont.

Et à l’apéritif ? Il adore les noix de cajou et les pistaches, des friandises qu’il « boulotte » volontiers, selon l’auteur.

Le mercredi 9 avril, Jean-Claude Van Damme a réagi aux graves accusations selon lesquelles il aurait été impliqué dans un réseau d’exploitation sexuelle impliquant cinq femmes.

Coup dur pour Jean-Claude Van Damme : rumeurs, plainte et réaction de son agent

Depuis le 1er avril, l’acteur belge fait l’objet d’une plainte en Roumanie. Il est accusé d’avoir profité, en 2015 à Cannes, de la compagnie de cinq femmes roumaines « offertes » par un réseau actuellement visé par une enquête pour proxénétisme et constitution de groupe criminel, selon les propos de l’avocat d’une des plaignantes. Celui-ci affirme que « Jean-Claude Van Damme savait que ces personnes étaient exploitées », rapportent les médias locaux, notamment Antena 3, repris par Le Figaro.

Certaines des jeunes femmes impliquées auraient été mineures au moment des faits, et toutes auraient été en « état de vulnérabilité », ce qui correspondrait aux critères définis par l’article 182 du Code pénal roumain.

Face à ces accusations, l’agent de l’acteur, Patrick Goavec, a publié un communiqué relayé par le magazine People, niant en bloc : « Nous avons pris connaissance d’articles faisant état d’une prétendue liaison à Cannes impliquant M. Jean-Claude Van Damme. Les faits rapportés sont à la fois grotesques et inexistants. » Il ajoute que l’acteur « ne souhaite pas commenter ou alimenter cette rumeur, aussi absurde qu’infondée ».

Une affaire familiale : son fils également dans la tourmente judiciaire

Parallèlement, Nicolas Van Varenberg, fils de Jean-Claude Van Damme, a récemment été condamné en Belgique. Le 17 mars, le tribunal de Bruges l’a sanctionné d’une amende de 2 800 euros et d’une interdiction de conduire de trois mois. Le jeune homme de 29 ans conduisait une voiture de location en état d’ivresse, à contre-sens, à vive allure, et a percuté un autre véhicule — heureusement sans faire de blessés.

Ce n’est pas la première fois qu’il a affaire à la justice. En septembre 2017, alors étudiant en Arizona (États-Unis), il avait été condamné à 18 mois de prison avec sursis pour agression aggravée avec arme mortelle, séquestration et possession de drogue, après avoir menacé son ancien colocataire avec un couteau.

Depuis quelques mois, des rumeurs de divorce planent au-dessus de Michelle et Barack Obama. L’ancienne Première dame a tenu à répondre, ce mercredi 9 avril, dans le podcast Work in Progress, animé par l’actrice Sophia Bush. Et elle n’a pas mâché ses mots.

Rupture avec Barack Obama ? La réponse cinglante de Michelle Obama

Tout a commencé en janvier dernier, lorsque Michelle Obama n’a pas assisté aux obsèques de Jimmy Carter à Washington, ni à l’investiture de Donald Trump à la Maison-Blanche, le 20 janvier. Deux absences consécutives qui ont suffi à relancer les spéculations sur une séparation avec son mari Barack Obama. Mais dans son intervention, l’ex-First Lady a clarifié la situation : elle a simplement choisi de prendre du recul.

« Le plus intéressant, c’est que lorsque je dis “non”, la plupart du temps, les gens comprennent, et ça passe », a-t-elle expliqué, avant d’ajouter : « C’est la difficulté que nous rencontrons, nous les femmes : nous avons peur de décevoir. Tellement, que certains ont préféré croire que je divorçais plutôt que d’imaginer que je prenais des décisions personnelles. »

Michelle Obama a même plaisanté sur ces rumeurs de rupture, soulignant qu’il est possible d’être « une femme adulte qui prend des décisions pour elle-même ». Et de conclure fermement : « J’ai choisi de faire ce qui était le mieux pour moi. »

Ce n’est pas la première fois que Michelle Obama évoque les difficultés vécues durant les deux mandats présidentiels de son mari. Une période qu’elle n’a pas toujours trouvée épanouissante, ni personnellement ni pour leur couple. Aujourd’hui, à 61 ans, elle affirme vouloir vivre pleinement pour elle-même, loin des obligations politiques. « Si ce n’est pas maintenant, quand ? Qu’est-ce que j’attends ? », a-t-elle lancé.

Maintenant que ses filles, Malia (26 ans) et Sasha (23 ans), sont indépendantes, l’ancienne avocate entend gérer son temps selon ses envies. Mariés depuis 1992, Michelle et Barack Obama affichent toujours une belle complicité. Le 17 janvier dernier, pour l’anniversaire de son épouse, l’ancien président lui adressait un tendre message sur les réseaux sociaux : « Joyeux anniversaire à l’amour de ma vie. […] J’ai tellement de chance de pouvoir vivre les aventures de la vie avec toi. Je t’aime ! »

Malgré cette belle déclaration, les rumeurs ont persisté. Mais cette prise de parole franche de Michelle Obama pourrait bien les faire taire définitivement.

Elon Musk, le milliardaire à la tête de Tesla, X (anciennement Twitter) et SpaceX, a révélé être atteint du syndrome d’Asperger, un trouble neurodéveloppemental appartenant à la famille de l’autisme. Ce syndrome, encore méconnu du grand public, touche entre 350 000 et 600 000 personnes dans le monde.

Syndrome d’Asperger : les révélations bouleversantes d’Elon Musk sur sa santé mentale

Le 8 mai 2021, lors de son passage dans l’émission Saturday Night Live, Elon Musk avait fait cette révélation publique : « Je suis la première personne atteinte du syndrome d’Asperger à animer le SNL. Ou du moins, la première à l’admettre. » Une déclaration relayée par Le Figaro, qui a permis de mettre en lumière ce trouble identifié dès 1944 par le Dr Hans Asperger.

Selon Passeport Santé, le syndrome d’Asperger se caractérise par une intelligence intacte, mais une difficulté à interagir socialement ou à percevoir les codes sociaux. Les personnes concernées présentent souvent une perception différente du monde, une hypersensibilité aux stimuli (bruit, lumière…) et des difficultés à établir des relations sociales dès l’âge de trois ans. Le diagnostic reste complexe et peut prendre plusieurs années.

Dans sa biographie publiée en 2023, Elon Musk confiait que ce trouble expliquait en partie pourquoi il était souvent perçu comme maladroit dans ses relations : « Je suis mauvais pour décoder les signaux relationnels. »

À ce jour, il n’existe pas de traitement curatif, mais un accompagnement adapté permet une meilleure intégration sociale.

Grand passionné de football, le prince William pourrait bien passer la soirée de ce mercredi 9 avril à Paris, où son club de cœur, Aston Villa, affrontera le Paris Saint-Germain (PSG) lors des quarts de finale de la Ligue des champions.

À fond pour Aston Villa : le prince William annonce sa venue à Paris pour le match

Fidèle à son équipe anglaise depuis sa jeunesse, le prince William avait confié au Daily Mail : « Il y a longtemps, à l’école, je me suis mis à fond dans le football. Je voulais supporter un club différent de mes amis, fans de Manchester United ou de Chelsea. Alors, Aston Villa a été une évidence. »

Depuis, l’héritier du trône britannique suit avec ferveur tous les matchs de son club favori. Il est souvent aperçu en tribune, arborant fièrement les couleurs des Villans. Il était notamment présent à Birmingham lors des huitièmes de finale, où Aston Villa s’est brillamment illustré. Sa joie débordante n’est pas passée inaperçue : écharpe au cou, bras levé, cris de victoire… William vit chaque match avec intensité.

La tradition veut qu’au Royaume-Uni, les matchs de football diffusés à la télévision soient limités le samedi après-midi pour préserver l’affluence dans les stades. Cela n’empêche pas le prince d’assister en personne aux grandes rencontres. Après la qualification d’Aston Villa, il aurait lancé à la presse, toujours selon le Daily Mail : « À bientôt à Paris. »

Un clin d’œil qui laisse penser qu’il fera le déplacement au Parc des Princes ce mercredi 9 avril à 21h, pour soutenir les siens face au PSG.

Mais ce n’est pas tout : le prince William est aussi actif sur les forums de fans d’Aston Villa. Dans une confidence au Sun, il a révélé : « J’aime aller sur les forums. Je peux y rester des heures. J’écoute ce que les autres fans ont à dire et je leur donne mon avis… anonymement. »

Un comportement qui humanise encore davantage le futur roi, passionné, engagé et proche des supporters.

Pourra-t-on apercevoir Tom Cruise sur la Croisette en mai prochain ? Selon Variety, le célèbre acteur américain pourrait bien fouler les marches du Palais des Festivals à l’occasion de la 78e édition du Festival de Cannes.

Mission: Impossible au Festival de Cannes : Tom Cruise attendu sur la Croisette

Scarlett Johansson, Denzel Washington, Cate Blanchett… Quelles stars hollywoodiennes illumineront Cannes cette année ? Alors que les organisateurs s’apprêtent à dévoiler, le jeudi 10 avril, la liste officielle des films en sélection, les spéculations vont bon train. Et parmi les noms les plus attendus, celui de Tom Cruise revient avec insistance.

Ce mardi 8 avril, Variety a annoncé que « Mission: Impossible – The Final Reckoning » devrait être projeté le 14 mai prochain dans le cadre du prestigieux festival. Une projection qui confirmerait quasiment la présence de l’acteur, également producteur du film, sur le tapis rouge. Difficile d’imaginer Tom Cruise rater une telle occasion de faire sensation.

On se souvient qu’en 2022, pour la présentation de Top Gun: Maverick, il avait atterri en hélicoptère à quelques mètres de la Croisette. Plus récemment, il avait aussi marqué les esprits en exécutant des cascades spectaculaires lors de la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques.

Sa venue à Cannes serait aussi l’opportunité de célébrer une carrière de plus de 44 ans, jalonnée de succès. Parmi les films cultes qui ont marqué sa filmographie, Top Gun reste l’un des plus emblématiques. Un film qu’il partageait avec Val Kilmer, décédé le 1er avril dernier. Dans une déclaration poignante à Variety datée du 3 avril, Tom Cruise lui a rendu un vibrant hommage : « Je ne peux pas dire à quel point j’admirais son travail. J’ai été honoré qu’il rejoigne Top Gun, et encore plus touché de le retrouver dans Top Gun: Maverick. »

Il concluait avec émotion : « Je te souhaite bonne chance pour ton prochain voyage. »

Charles III et son épouse, la reine Camilla, ont atterri ce lundi 7 avril 2025 à l’aéroport de Rome-Ciampino, marquant le début de leur visite d’État de quatre jours en Italie.

Italie : Charles III et Camilla accueillis avec faste pour une visite royale de 4 jours

Cette visite officielle, la première depuis leur accession au trône en 2022, revêt un caractère historique. Le roi et la reine ont été accueillis par une haie d’honneur, des dignitaires italiens et l’ambassadeur britannique en Italie, Lord Llewellyn. Une garde d’honneur et un tapis rouge ont apporté une touche de solennité à l’événement. Pour l’occasion, Charles arborait un élégant costume rayé bleu marine accompagné d’une cravate Hermès, tandis que Camilla portait une tenue beige chic et raffinée.

Le roi Charles III est devenu le premier monarque britannique à s’adresser aux deux chambres du Parlement italien. Il rencontrera également le président Sergio Mattarella ainsi que la Première ministre Giorgia Meloni.

Parmi les moments forts de cette visite : une cérémonie symbolique au Colisée, un spectaculaire survol aérien conjoint des Frecce Tricolori (aviation italienne) et des Red Arrows (aviation britannique), ainsi qu’une réception à Ravenne organisée en mémoire du 80e anniversaire de la libération de la ville par les forces alliées pendant la Seconde Guerre mondiale.

Ce lundi 7 avril, le roi Charles III et la reine Camilla se sont envolés pour Rome dans le cadre d’une double visite d’État en Italie et au Vatican. Ce déplacement officiel coïncide avec un événement personnel majeur : leur 20e anniversaire de mariage, célébré par un dîner de gala.

Anniversaire royal : Charles III rend hommage à Camilla en Italie

Mariés le 9 avril 2005 lors d’une cérémonie civile au Windsor Guildhall, Charles et Camilla célèbrent cette année leurs noces de porcelaine. Malgré l’occasion, le couple royal ne pourra pas profiter d’un tête-à-tête romantique. En effet, le président italien Sergio Mattarella les a conviés à un dîner officiel au palais du Quirinal, le mercredi 9 avril, jour de leur anniversaire.

Cette invitation s’inscrit dans le cadre d’une visite d’État de quatre jours qui a débuté le 7 avril. Le président italien a souhaité remercier le roi et la reine pour leur présence en organisant cette réception prestigieuse. Si l’événement n’a pas été planifié pour célébrer leur union, le roi devrait néanmoins prendre la parole pour rendre hommage à son épouse et à leur histoire d’amour. Le couple royal devra attendre un moment plus calme pour marquer l’occasion en privé.

Mais cette visite italienne a également été assombrie par une déception : la rencontre avec le pape François au Vatican a été annulée. Hospitalisé récemment, le souverain pontife suit les recommandations de ses médecins qui lui ont prescrit du repos. La rencontre est donc reportée à une date ultérieure.

« La visite d’État du roi et de la reine au Saint-Siège le mois prochain a été reportée d’un commun accord », a confirmé la journaliste Rebecca English sur X (anciennement Twitter).

Depuis son retour sur Instagram et le lancement de sa marque lifestyle As Ever, Meghan Markle partage régulièrement des clichés de son quotidien, incluant des moments avec ses deux enfants, Archie et Lilibet. Un choix qui ne ferait pas l’unanimité au sein du couple princier.

Photos d’Archie et Lilibet : Meghan brise le silence, le prince Harry reste réservé

En effet, selon Matt Wilkinson, expert royal pour The Sun, le prince Harry serait contrarié par l’utilisation de leurs enfants dans la stratégie de communication de Meghan. Dans un épisode du podcast A Right Royal Podcast, il affirme que le duc de Sussex préférerait que leurs enfants restent à l’abri des regards.

Bien que Meghan ne montre pas les visages de ses enfants, elle les mettrait en scène pour renforcer son image de mère et de femme californienne active. « Harry n’est probablement pas très heureux », déclare Wilkinson. Il précise : « Jusqu’à un certain point, Harry préférerait qu’ils ne soient pas vus. Il ne veut pas qu’ils soient photographiés. »

Wilkinson rappelle que Meghan a grandi en Californie et a exprimé le souhait d’offrir à ses enfants une vie californienne, entre plage, sorties et liberté. Une vision qui entre parfois en contradiction avec le besoin de discrétion de Harry.

De leur côté, Meghan et Harry ont toujours affirmé vouloir protéger leurs enfants en évitant d’exposer leur visage publiquement. Mais selon Jennie Bond, ancienne correspondante royale de la BBC, cette stratégie pourrait paradoxalement augmenter l’attention des paparazzis. « À un moment donné, ils devront probablement publier des photos officielles de leurs enfants. Sinon, il y a un réel risque qu’ils soient traqués jusqu’à ce qu’une image soit prise à leur insu », alerte-t-elle dans The Mirror.

Récemment, Arthur Edwards, célèbre photographe royal ayant suivi Charles III pendant plus de cinquante ans, a livré un témoignage rare dans les colonnes du Sun. Selon lui, l’union entre le roi et Camilla Parker Bowles a eu un impact décisif sur le tempérament du souverain.

Charles III métamorphosé : l’effet surprenant de son mariage avec Camilla

Dans cette interview, Arthur Edwards confie qu’il n’aurait « pas misé un kopeck » sur leur mariage à l’époque. Pourtant, vingt ans plus tard, le couple s’apprête à célébrer ses noces de porcelaine. « Pour moi, c’est une union extrêmement harmonieuse. Elle a rendu Charles plus serein, plus apaisé », a-t-il déclaré.

Autrefois réputé pour son tempérament colérique, le roi Charles III aurait désormais trouvé un véritable équilibre. « Grâce à Camilla, il est rare qu’il s’énerve. Avant, il pouvait s’agacer simplement parce qu’une fenêtre restait fermée », raconte le photographe.

Arthur Edwards partage également une anecdote touchante : lors d’une séance photo, une dispute entre Charles et Camilla avait éclaté. Furieuse de ne pas avoir été prévenue, Camilla aurait demandé au photographe de raconter une blague, provoquant un fou rire général. Une preuve supplémentaire de leur complicité à toute épreuve.

Selon Edwards, la reine Elizabeth II elle-même appréciait Camilla, notamment pour sa discrétion et son soutien indéfectible à son époux. Ensemble, Charles et Camilla partagent un même humour, une expérience du divorce, et surtout une volonté commune de protéger leur amour. Un tandem soudé, qui inspire même au cœur de la monarchie.

Depuis plus de vingt ans, Beyoncé règne sur l’industrie musicale mondiale. Ex-membre des Destiny’s Child, l’artiste s’est imposée comme une icône planétaire : voix puissante, clips léchés, performances millimétrées et engagements forts. Chaque album est un événement, chaque tournée un succès. Avec Lemonade, elle évoquait la trahison et l’émancipation. Avec Renaissance, elle célébrait la culture queer. Puis avec Cowboy Carter, elle réinterprétait la country music à sa manière. À chaque fois, elle repousse les limites. Et justement, pour son prochain projet, Beyoncé pourrait explorer une part méconnue de son héritage familial : ses racines bretonnes.

Beyoncé bretonne ? Cette incroyable révélation sur ses origines françaises

Tout commence par une révélation étonnante : en 2013, l’association généalogique Racines et Rameaux Français aurait retrouvé l’une de ses ancêtres, Marie-Françoise Trahan, née à Belle-Île-en-Mer en 1774. Issue de parents acadiens réfugiés en France après avoir fui le Canada, sa famille a ensuite émigré en Louisiane. Et plusieurs générations plus tard… Beyoncé.

Selon TZM, la chanteuse aurait enregistré plusieurs morceaux inspirés de cette histoire familiale, dont un duo en breton avec Nolwenn Leroy, intitulé America, Armorica, et une collaboration avec Manau, sur le titre Pesk-Ebrel. Le projet aurait même un nom temporaire : « Breizhyoncé ».

Après le Texas, cap sur la Bretagne ? Une chose est sûre : Beyoncé n’a pas fini de nous étonner.

Cristiano Ronaldo se retrouve au cœur d’une rumeur fracassante : il pourrait prochainement racheter un club emblématique de la Liga espagnole… le FC Valence ! Un scénario qui pourrait le confronter directement à son ancien club, le Real Madrid.

Cristiano Ronaldo bientôt propriétaire du FC Valence ? Un choc contre le Real Madrid en vue

Alors que sa carrière de joueur touche progressivement à sa fin, la star portugaise envisagerait sérieusement une reconversion dans la gestion de clubs. Selon des sources concordantes relayées par Mundo Deportivo, Cristiano Ronaldo pourrait devenir propriétaire du FC Valence, un club historique actuellement en difficulté. Une nouvelle qui fait trembler la planète football.

Tout part de sa relation bien connue avec Peter Lim, l’actuel propriétaire du club ché. Officiellement, Lim a déclaré en mars que le club n’était pas à vendre. Pourtant, plusieurs signes montrent que quelque chose se trame : nomination de son fils à la présidence, renvoi de l’entraîneur Rubén Baraja, recrutement de Carlos Corberán et renforts inattendus de l’effectif.

Les réseaux sociaux, notamment TikTok et X (anciennement Twitter), se sont rapidement enflammés. Des rumeurs indiquent que Cristiano Ronaldo bénéficierait du soutien de l’Arabie saoudite, voire de Mohammed ben Salmane ou d’un fonds souverain du Golfe. Le seul obstacle ? Que Valence évite la relégation en Liga 2.

L’affaire a pris une tournure encore plus sérieuse après la chronique du journaliste Julián Redondo dans Mundo Deportivo, qui affirme noir sur blanc : « Cristiano Ronaldo sera le prochain propriétaire de Valence s’il reste en Liga ». Ce n’est plus une simple spéculation, mais une déclaration affirmée.

Folie ou vision stratégique ? Pourquoi Ronaldo, encore joueur d’Al Nassr, investirait-il dans un club en difficulté, criblé de dettes et avec un stade inachevé ? Dans le football moderne, rien n’est impossible… et l’avenir pourrait bien nous réserver un choc CR7 vs Real Madrid, version coulisses.

Une empreinte olfactive unique trahit la présence d’Emmanuel Macron. Partout où il passe, le président laisse derrière lui une puissante odeur florale et musquée. Mais quel est ce parfum emblématique ?

Emmanuel Macron : son parfum Dior intrigue jusqu’à l’Élysée

Dans La Tragédie de l’Élysée (éd. Robert Laffont), en librairie depuis le 3 avril, le journaliste Olivier Beaumont dévoile les coulisses du palais présidentiel. Dans le chapitre 9 intitulé « Ça sent le président », il révèle que les collaborateurs d’Emmanuel Macron savent s’il est présent… rien qu’à l’odeur.

L’Eau Sauvage de Dior : le secret bien gardé du président

Emmanuel Macron utilise l’Eau Sauvage Cologne de Christian Dior, un parfum à la fois raffiné, floral et musqué. Selon les témoignages rapportés, il ne s’en sépare jamais, gardant des flacons dans ses tiroirs à l’Élysée.

« Il suffit d’être dans le vestibule d’honneur pour savoir s’il est récemment passé », confie Bruno Roger-Petit. Lors du Conseil des ministres, son parfum précède son entrée, plongeant la salle dans une attente silencieuse.

Une relation parfumée… et royale !

Emmanuel Macron aime aussi choyer ses invités, comme le souligne Beaumont. Une attention qui n’a pas échappé à Charles III, qui lui offre chaque année une bouteille de son meilleur whisky écossais pour son anniversaire. Depuis leur rencontre à Paris en septembre 2023, une complicité évidente s’est installée entre les deux chefs d’État, récemment renforcée lors des commémorations du Débarquement en juin 2024 à Ver-sur-Mer.

Une bonne nouvelle est tombée pour Meghan Markle. La boutique en ligne de l’épouse du prince Harry a fait un carton !

La boutique en ligne de Meghan Markle, As Ever, affiche complet en une heure

Actrice à succès, membre de la famille royale et maintenant cheffe d’entreprise, la duchesse de Sussex semble vouloir toucher à tout. Ce mercredi 2 avril, elle a lancé les ventes en ligne de sa marque As Ever, dédiée aux arts de la table. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que Meghan Markle a gardé de l’influence : en une heure, tout était vendu  ! Meghan Markle a fait un post sur son compte Instagram pour annoncer ce succès. « Nos étagères sont peut-être vides, mais mon cœur est rempli ! », a écrit l’épouse du prince Harry. «  Nous avons écoulé tous nos stocks en une heure et je ne pourrai jamais vous remercier assez… d’avoir célébré, acheté, partagé et cru  », a-t-elle poursuivi. Désormais, le site internet de la marque As Ever affiche bien que tous les produits sont en rupture. Mais il se pourrait que Meghan Markle refasse le stock ou propose de nouveaux produits dans les semaines à venir. « Ce n’est que le début », a-t-elle promis.​

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Sur la boutique, il y avait peu de choix : des confitures, du miel, des thés, des petits biscuits et un kit de préparation pour faire des crêpes, avec des prix allant de 9 à 28 dollars (soit entre 8,16 et 25,40 euros). Les débuts de la marque étaient pourtant compliqués. Meghan Markle a dû faire face à de nombreuses critiques et accusations. D’abord présentée sous le nom d’American Riviera Orchard, elle a été accusée de plagiat. Il lui était reproché d’avoir utilisé le nom d’une zone géographique (le surnom du littoral de Santa Barbara : American Riviera). Et ce n’est pas tout : ces produits manquaient de lisibilité sur leur provenance. Ils avaient donc été interdits à la vente.​

Avant le lancement de sa marque, Meghan Markle a écrit des newsletters afin d’informer les personnes intéressées de l’arrivée de certains produits sur son site.

L’Agence fédérale de l’aviation américaine (FAA) a annoncé vendredi 28 Mars, une nouvelle réglementation qui pourrait marquer un tournant en matière de confidentialité des vols en jet privé. Désormais, les propriétaires de ces avions peuvent demander que certaines de leurs informations personnelles, comme leur nom et leur adresse, ne soient plus accessibles dans les registres publics.

Traçage des vols privés : la nouvelle réglementation qui protège les stars

Cette initiative s’inscrit dans une tendance croissante visant à limiter le suivi des déplacements aériens des personnalités publiques, alors que des figures comme Elon Musk et Taylor Swift dénoncent de graves problèmes de sécurité et de respect de la vie privée.

Jusqu’ici, le suivi des jets privés était relativement accessible. Comme les avions des compagnies aériennes, ces appareils étaient répertoriés dans des bases de données publiques, ce qui permettait à des passionnés et à des militants d’analyser les trajets des célébrités et de pointer du doigt l’empreinte carbone de leurs déplacements.

Des comptes spécialisés sur X (ex-Twitter), Instagram ou Threads publiaient en temps réel les itinéraires de stars comme Kim Kardashian, Elon Musk, Taylor Swift et Bill Gates. Ces révélations avaient mis en lumière des vols de quelques minutes, souvent en contradiction avec les discours écologiques de certaines personnalités.

Face à cela, des célébrités ont réagi. En 2022, Elon Musk a fait suspendre le compte @ElonJet, suivi par des centaines de milliers d’abonnés, arguant qu’il représentait une menace directe pour sa sécurité. Taylor Swift, quant à elle, a menacé d’attaquer en justice Jack Sweeney, un étudiant ayant créé plusieurs comptes dédiés au suivi des jets privés.

Des solutions pour contourner le suivi

L’annonce de la FAA s’inscrit dans la continuité d’une loi adoptée sous l’administration Biden, entrée en vigueur en mai 2024, permettant à tout propriétaire d’avion de masquer ses données d’immatriculation. L’agence envisage d’aller plus loin en rendant ces informations privées par défaut, sans nécessiter de demande préalable.

Avant même ces nouvelles règles, certaines célébrités avaient déjà trouvé des stratégies pour éviter d’être suivies. Par exemple, Bernard Arnault, PDG de LVMH, a vendu son jet personnel pour privilégier la location, rendant le suivi de ses déplacements plus complexe. D’autres propriétaires, comme Donald Trump, Drake et Steven Spielberg, exploitent des programmes de la FAA comme le « Limiting Aircraft Data Displayed » (LADD) et l’« ICAO Aircraft Address Program », qui permettent de restreindre la diffusion des immatriculations.

Un suivi toujours possible ?

Malgré ces restrictions, les amateurs de suivi des vols de célébrités ne comptent pas renoncer. Certains estiment qu’il restera toujours des moyens alternatifs pour traquer les déplacements des stars, en croisant différentes sources de données et en s’appuyant sur la communauté des passionnés d’aviation. Pour eux, le suivi des jets privés restera relativement accessible, malgré les efforts pour le limiter.

S’il a pris le temps de se remettre de son traitement contre le cancer, le roi Charles III a fait son retour aux affaires. Ce 1er avril, il est apparu en pleine forme au palais de Windsor pour une occasion très spéciale.

Charles III honoré de remettre des distinctions à Windsor : les détails

Obligé de ralentir ses activités, Charles III reprend progressivement ses obligations royales. Le 27 mars dernier, une annonce du Palais royal avait provoqué une vague d’inquiétude : « À la suite d’un traitement médical programmé […] contre le cancer ce matin, le roi a ressenti des effets secondaires temporaires qui ont exigé une courte période d’observation à l’hôpital. »

Contraint d’annuler plusieurs engagements, le souverain a pris quelques jours de repos. Mais cette frayeur médicale semble déjà derrière lui, puisqu’il est apparu en grande forme ce 1er avril, à Windsor, pour une cérémonie de distinction.

Un retour marqué par des distinctions honorifiques

Dans le château du Berkshire, Charles III a remis plusieurs médailles honorifiques à des personnalités du monde sportif et artistique. Parmi les lauréats :

• Katarina Johnson-Thompson, championne d’heptathlon,
• Marianela Núñez, danseuse du Royal Opera House,
• Wayne McGregor, chorégraphe de renom.

De plus, Matthew Magee, secrétaire privé adjoint du roi, a reçu la médaille de l’Ordre royal de Victoria. Fidèle serviteur de feu Elizabeth II, il était connu pour sa grande taille (plus de 2 mètres) et son humour apprécié par la reine. Depuis le décès de cette dernière, il est devenu un membre clé de l’équipe de Charles III, qui s’est dit ravi de le récompenser pour ses années de service.

Charles III : un message émouvant pour la Birmanie

Bien qu’il ait dû annuler certains événements, Charles III a pris la parole sur un sujet qui lui tient à cœur : le séisme dévastateur en Birmanie. Le 29 mars, il a publié un message poignant sur Instagram : « Ma femme et moi-même avons été terriblement choqués et attristés de découvrir le séisme dévastateur en Birmanie, qui a coûté la vie à de nombreuses personnes et détruit maisons et bâtiments. Sans oublier la destruction de pagodes sacrées, de monastères et autres lieux de culte. »

Il a également salué la résilience exceptionnelle des habitants et exprimé ses condoléances : « Dans ces moments très difficiles, ma femme et moi envoyons notre plus profonde sympathie à ceux qui ont perdu des proches, leur maison et leurs moyens de subsistance. »

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Seulement quelques jours après avoir inquiété ses proches et les Britanniques en raison d’une hospitalisation liée à des « effets secondaires » de son traitement contre le cancer, Charles III se porte mieux. Une bonne nouvelle confirmée par le Daily Mail.

Hospitalisation de Charles III : le roi reprend ses engagements malgré les mises en garde de Camilla

Le jeudi 27 mars, Charles III a été admis à la London Clinic de Marylebone après avoir souffert de complications liées à son traitement contre le cancer. Bien que Clarence House ait rapidement rassuré sur son état, le roi a dû reporter ses engagements du vendredi pour se reposer.

Trois jours après cette annonce, la journaliste Rebecca English, du Daily Mail, a partagé des nouvelles rassurantes du souverain de 76 ans.

Un retour au travail avant sa visite en Italie

Après un week-end reposant à Highgrove, le roi a rejoint ce lundi 1er avril le château de Windsor pour une semaine de travail normale. « Une ou deux modifications mineures à l’agenda, mais sinon un mélange d’investitures, de réunions, de lettres de créance et d’engagements publics », a détaillé Rebecca English sur X (anciennement Twitter).

Autre information importante : Charles III maintient bien sa visite d’État en Italie, prévue du 7 au 10 avril. Un déplacement qui coïncidera avec une occasion spéciale pour le couple royal : leur 20ᵉ anniversaire de mariage. Toutefois, leur programme pourrait être légèrement allégé en raison des récents soucis de santé du roi.

Un roi impatient de reprendre ses fonctions

Malgré son état, Charles III aurait mal vécu ces jours de repos forcés. Selon Alastair Bruce, commentateur royal sur Sky TV, interrogé par Le Parisien, le père du prince William était même « furieux » : « Il faut comprendre que ce rôle, c’est pour lui bien plus qu’un travail. C’est toute sa vie et cela le sera jusqu’à son dernier jour. »

Si une personne espère toutefois qu’il lève le pied, c’est bien Camilla. Lors d’un événement au palais de Buckingham, la reine lui aurait demandé d’adopter un rythme moins soutenu. Mais Charles III, fidèle au sens du devoir hérité de sa mère Elizabeth II, refuse de ralentir.

Fils cadet du roi Charles III, le prince Harry était jusqu’à cette semaine le parrain de l’ONG Sentebale, l’un des rares engagements caritatifs qu’il avait conservés après sa rupture avec la monarchie britannique en 2020.

Tensions chez Sentebale : le prince Harry accusé de harcèlement

Le prince Harry, qui vient de se retirer d’une association caritative africaine qu’il avait cofondée en 2006, est désormais au cœur d’une polémique. La présidente de cette ONG, en proie à des tensions internes, l’accuse de « harcèlement et d’intimidation ».

Jusqu’à récemment, le prince Harry était le parrain de l’ONG Sentebale, créée en hommage à sa mère, la princesse Diana, pour soutenir les orphelins du sida. Mardi, il a annoncé avec « le cœur lourd » qu’il renonçait à cette fonction, en solidarité avec cinq membres du conseil d’administration ayant démissionné en raison d’un désaccord avec la présidente de l’organisation.

Cette dernière, Sophie Chandauka, une avocate zimbabwéenne de 47 ans, avait pris ses fonctions en juillet 2023. Face à sa révocation, elle a saisi la Haute Cour de Londres pour tenter de contester la décision, ce qui a entraîné la démission collective des autres membres du conseil.

La présidente de Sentebale brise le silence

Dans une interview accordée à Sky News, Sophie Chandauka a dénoncé la manière dont le prince Harry a annoncé son départ. « Il a diffusé une information dommageable au grand public sans m’en informer, ni moi, ni mes directeurs nationaux, ni mon directeur exécutif. C’est un exemple de harcèlement et d’intimidation à grande échelle », a-t-elle déclaré.

Cependant, ces accusations sont contestées par Kelello Lerotholi, ancien membre du conseil d’administration, qui affirme : « Je peux dire honnêtement que, dans les réunions où j’étais présent, il n’y a jamais eu la moindre trace de cela. »

Les raisons précises de ce conflit interne restent floues. Toutefois, selon The Times, Sentebale traversait une période difficile depuis plusieurs mois. Dans un communiqué récent, Sophie Chandauka a dénoncé des problèmes de gouvernance, d’abus de pouvoir, d’intimidation, de misogynie et de racisme envers les femmes noires au sein de l’ONG.

Fondée en 2006, Sentebale œuvre auprès des enfants orphelins du sida au Lesotho et au Botswana. Depuis sa création, le prince Harry avait fait de cette organisation l’un de ses engagements les plus emblématiques.