Déjeuner privé à l’Élysée : Le sujet abordé par Brigitte Macron et Isabelle Barnier enfin dévoilé

Affaire des rumeurs transphobes : Brigitte Macron obtient gain de cause en justice

C’était le 23 septembre dernier. Brigitte Macron a reçu Isabelle Barnier à l’Élysée pour un déjeuner en tête-à-tête. On revient sur cette rencontre entre ces deux femmes engagées.

Brigitte Macron reçoit Isabelle Barnier à l’Élysée : leurs engagements pour la jeunesse et l’enfance

On se le rappelle encore. Brigitte Macron a accueilli Isabelle Barnier à l’Élysée le 23 septembre dernier pour un déjeuner privé, comme l’ont rapporté nos confrères de La Tribune ce dimanche 20 octobre. Ce moment privilégié entre l’épouse du Président de la République et la femme du nouveau Premier ministre, Michel Barnier, visait à créer un premier contact entre les deux femmes et à partager leurs expériences. Bien que l’événement soit resté discret, il s’inscrit dans la tradition, car il est essentiel que les premières dames et les conjointes des Premiers ministres entretiennent de bonnes relations. Tristan Bromet, collaborateur de longue date de Brigitte Macron, les a ensuite rejointes pour le café.

Connue pour ses nombreuses initiatives en faveur de causes sociales, Brigitte Macron a mis à profit ce déjeuner pour échanger avec Isabelle Barnier sur leurs engagements respectifs. Depuis son arrivée à l’Élysée, la première dame s’est consacrée à la lutte contre le harcèlement scolaire et à l’insertion des personnes en situation de handicap. Elle œuvre également pour la réinsertion professionnelle des jeunes décrocheurs, un combat qui lui tient particulièrement à cœur. De son côté, Isabelle Barnier est une figure active dans le domaine de la protection de l’enfance. Elle s’occupe de la communication et de la recherche de fonds pour la fondation La Vie au Grand Air, qui vient en aide aux enfants et adolescents en difficulté. Son rôle au sein de cette organisation fait écho aux actions de Brigitte Macron, notamment en matière d’accompagnement des jeunes vulnérables. Cette synergie entre leurs engagements respectifs a certainement été un des points centraux de leur discussion.

Si Brigitte Macron et Isabelle Barnier ont partagé un déjeuner ensemble, Emmanuel Macron et Michel Barnier ne sont pas en reste. Le Président de la République et le Premier ministre se rencontrent régulièrement lors de réunions en tête-à-tête, qui se tiennent chaque semaine et permettent de coordonner les actions du gouvernement. À ces discussions peuvent également participer Alexis Kohler, le secrétaire général de l’Élysée, et Jérôme Fournel, le directeur de cabinet de Matignon. Toujours selon La Tribune, Emmanuel Macron a choisi de maintenir un format plus formel pour ces échanges, contrastant ainsi avec les déjeuners moins protocolaires qu’il avait avec les prédécesseurs de Michel Barnier.

Pourquoi Kamala Harris porte-t-elle toujours un col lavallière ? Le symbole derrière son choix vestimentaire

Kamala Harris avec les enfants

Si à chaque sortie lors de sa campagne présidentielle Kamala Harris porte le col lavallière, c’est parce que cela est bien plus qu’un simple accessoire vestimentaire. Il incarne un symbole politique et féministe, porté par des femmes influentes avant elle. Voici son histoire et sa signification.

Kamala Harris et le col lavallière : quand la mode devient un outil politique et féministe

Au cours de divers événements marquants, comme la conférence nationale démocrate en août, le débat présidentiel avec Donald Trump ou une interview avec Oprah Winfrey, Kamala Harris a arboré ce fameux chemisier à col lavallière. Récemment, elle l’a de nouveau porté lors d’une interview dans l’émission 60 Minutes avec le journaliste Bill Whitaker. Mais d’où vient ce col et que représente-t-il ? Retour sur ce vêtement iconique.

À l’origine, cette pièce s’appelait « cravate Lavallière », en hommage à Louise de La Vallière, maîtresse du roi Louis XIV, qui aurait été séduite par la cravate du roi et en aurait créé une version féminine avec un ruban.

Depuis, le col lavallière s’est imposé dans les garde-robes féminines, notamment au milieu du XXe siècle. Selon CNN, entre 1950 et 1970, la proportion de femmes mariées actives aux États-Unis est passée de 25 % à 46 %, rendant le choix vestimentaire au travail crucial.

Dans les années 1970-80, le col lavallière est devenu un symbole du féminisme, porté par de nombreuses femmes dans les bureaux. Pourtant, l’émancipation féminine reste un combat. En 1977, John T. Malloy, dans son ouvrage Les vêtements des femmes pour réussir , recommandait ce chemisier comme uniforme pour les femmes ambitieuses, mais avec des jupes, jugeant que les pantalons étaient inappropriés au bureau.

Margaret Thatcher, figure influente du Royaume-Uni, a elle aussi adopté ce col. « Les nœuds sont adoucissants et jolis », disait-elle en 1985. Pour CNN, la Dame de fer comprenait l’importance des vêtements comme outil politique, adoucissant son image tout en naviguant dans les conflits syndicaux et la guerre des Malouines.

En 2016, Melania Trump a porté un chemisier à col lavallière rose vif après les propositions controversées de Donald Trump sur le traitement des femmes. Sara Danius, première femme à la tête de l’Académie suédoise, a elle aussi utilisé ce symbole en 2018 pour manifester contre son licenciement lors de l’affaire d’inconduite sexuelle. Le col est ainsi devenu viral et un symbole féministe.

Plus récemment, en 2022, Kate Moss a porté un nœud à pois blancs lors de son témoignage au procès de Johnny Depp. Pour Kamala Harris, ce choix vestimentaire constant pendant la présidentielle est une manière de transmettre un message fort. Les vêtements, en politique, peuvent aussi être des outils de communication puissants.

Miss Franche-Comté 2024 : De la Gendarmerie à Miss France, l’incroyable témoignage de Manon Le Maou

Manon La Maou élue Miss Franche-Comté 2024

Élue Miss Franche-Comté 2024, Manon Le Maou a partagé son expérience et ses impressions après sa victoire le 21 septembre à La Commanderie de Dole lors de l’émission de ce lundi 23 septembre.

Manon Le Maou, Miss Franche-Comté et gendarme engagée, prête à conquérir Miss France

Manon Le Maou a marqué l’histoire en devenant la première gendarme sous-officier à se présenter au concours de Miss France. Lors de son interview au micro de Pol Laurent, elle a partagé son parcours unique, influencé par une enfance dans le milieu de la gendarmerie, son père ayant exercé la même profession. À 19 ans, elle s’engage dans cette voie exigeante, où elle doit rapidement faire preuve de maturité et de résilience face aux dangers du métier.

Miss Franche Comte 2024 est et restera @manonlemaouoff felicitations Prochaine etape preparation M.vcembre sur @tf1 @ludivineguillot @salon delgrande @salamakeup @beautybynicolaschipeaux @anacarolina photograp
PHOTO – Manon Le Maou élue Miss Franche-Comté 2024

L’un des moments marquants de la carrière de Manon Le Maou est un grave accident de la route en intervention, où elle a frôlé la mort. Cet événement bouleversant l’a poussée à prendre conscience de la fragilité de la vie, l’incitant à saisir toutes les opportunités. C’est dans cet esprit qu’elle a décidé de se lancer dans l’aventure Miss France, une démarche motivée par son désir de vivre pleinement ses rêves.

Manon Le Maou perçoit des similitudes entre la gendarmerie et l’univers des Miss : la rigueur, la discipline et le sens de l’honneur sont nécessaires dans les deux rôles. Elle souligne également l’importance de maintenir un équilibre entre le travail et la vie personnelle, s’inspirant de son père pour y parvenir. À 28 ans, elle souhaite désormais porter fièrement les couleurs de sa région lors de l’élection nationale de Miss France en décembre 2024. Manon Le Maou incarne une figure inspirante, alliant force, courage et élégance, prouvant qu’il est possible d’exceller dans des domaines aussi divers que la sécurité publique et le glamour. Soutenez-la lors de la finale, samedi 14 décembre, en direct du Futuroscope sur TF1.