Cinema français

Ce samedi 19 octobre 2024 à Lyon, la ministre de la Culture, Rachida Dati, s’est montrée favorable à la création d’un musée national du cinéma en France, réclamée par des figures du 7e art. Toutefois, elle a appelé à une « véritable réflexion sur ce sujet ».

La ministre Rachida Dati en faveur d’un grand musée du cinéma à l’occasion des 130 ans du 7e art

Le projet a été défendu dans une tribune publiée vendredi par le journal Le Monde par un collectif de membres du conseil d’administration de la Cinémathèque française, dont son président, le cinéaste Costa-Gavras, et l’actrice Carole Bouquet. Ils plaident pour la création d’un musée afin de devenir « l’incarnation supplémentaire, mais indispensable, de l’ambition de notre pays à faire rayonner, diffuser et perpétuer un art qu’il a inventé ». « Alors que les Américains viennent d’ouvrir le Musée des Oscars à Los Angeles, qui rencontre un succès considérable, il est temps d’offrir à notre pays et au monde » un grand musée du cinéma, affirment-ils. « C’est en racontant l’histoire du cinéma à nos publics que nous garderons la maîtrise de notre passé tout en préparant l’avenir. »

Alors qu’elle était invitée au Festival Lumière à Lyon, la ministre Rachida Dati a d’abord déclaré avoir pris connaissance de cette tribune et souligné qu’il fallait « étudier ce projet en profondeur », selon son discours transmis à l’AFP. « Je veux aussi partager mon intime conviction. Cette conviction rejoint pleinement la vôtre », a poursuivi Rachida Dati, ajoutant que « le moment est venu d’avancer et d’engager une réflexion sérieuse sur la faisabilité de ce musée », alors que le cinéma fêtera en 2025 son 130e anniversaire. Pour appuyer ses propos, elle a mentionné « des collections patrimoniales uniques au monde » stockées « dans des caisses depuis presque 30 ans », faisant également référence à l’incendie qui avait ravagé le toit du Palais de Chaillot en 1997, où se trouvait alors la Cinémathèque française.

Ce lundi 30 septembre 2024, à l’occasion d’un nouvel épisode de L’Amour est dans le pré sur M6, Ludovic s’est confié. L’acteur s’est livré sur un moment inoubliable de son aventure dans la saison 19.

L’Amour est dans le pré : Ludovic dévoile son « moment inoubliable » dans la saison 19

Ce lundi 30 septembre, M6 diffuse un nouvel épisode de L’Amour est dans le pré, saison 19. L’occasion de s’intéresser à Ludovic, vigneron de 29 ans originaire d’Occitanie. Le 25 août dernier, il avait accordé une interview vidéo sur le compte Instagram de la chaîne télévisée, où il a accepté d’en dire plus sur son aventure dans le programme romantique. Sans trop en dévoiler pour préserver le suspense des téléspectateurs, le jeune homme a expliqué avoir eu « un coup de foudre » pour une admiratrice lors des speed datings, partageant son excitation à l’idée d’accueillir ses prétendantes à la ferme.

On le rappel, Ludovic a choisi d’accueillir chez lui Mélanie et Manon, qui ont rapidement été déçues par son manque d’intérêt et d’initiative, comme on a pu le voir dans l’épisode du 23 septembre dernier. Pourtant, en rencontrant Mélanie, Ludovic a été tellement bouleversé qu’il s’est comparé au « Titanic prêt à chavirer ». Dans la vidéo Instagram de M6, le viticulteur a été interrogé sur son « meilleur moment de la saison ». Il a immédiatement révélé qu’il s’agissait du moment où il a « déclaré [s]a flamme » à la femme avec laquelle il souhaite poursuivre sa vie. Il a également résumé sa participation à l’émission comme étant riche en « émotions ». Le jeune homme a aussi adressé un mot à l’animatrice Karine Le Marchand, dont il a apprécié « la sympathie » durant le tournage.

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Au micro de Gala, le 26 août dernier, Ludovic en disait plus sur son expérience dans L’Amour est dans le pré. Heureux d’avoir tenté sa chance pour rencontrer l’âme sœur, l’agriculteur confiait : « On apprend beaucoup sur soi. C’est très enrichissant. Il se passe énormément de choses au niveau émotionnel, c’est explosif ! » Qualifiant cet épisode de sa vie de « grande aventure », il reconnaissait avoir eu des difficultés à « prendre du recul et à faire les bons choix ». Finalement, avec enthousiasme, le viticulteur de 29 ans affirmait avoir vécu « quelque chose d’incroyable » et en être « sorti grandi ».

Le verdict est tombé ! C’est la comédie musicale « Emilia Pérez », de Jacques Audiard, qui a été choisie pour représenter la France dans la catégorie « Meilleur film étranger » aux Oscars 2025.

Oscars 2025 : La France mise sur la comédie musicale « Emilia Pérez » de Jacques Audiard

Le Centre national de la cinématographie (CNC) a porté son choix sur la comédie musicale de Jacques Audiard pour concourir dans la catégorie Meilleur film étranger aux Oscars 2025. Tourné en espagnol, ce film est un véritable bijou d’originalité, aussi bien sur le fond que sur la forme. Mêlant thriller sombre et chorégraphies sur des rythmes de reggaeton, il raconte l’histoire d’un baron de la drogue mexicain en pleine rédemption, qui décide de changer de vie et de devenir une femme.

Sorti en salles le 21 août dernier, « Emilia Pérez » a déjà remporté le Prix du Jury au Festival de Cannes. Le film a également été salué pour ses performances, notamment avec un prix d’interprétation collectif pour Zoe Saldaña, Selena Gomez et l’actrice principale transgenre Karla Sofía Gascón.

La candidature officielle de la France sera envoyée à l’Académie des Oscars, qui annoncera le 17 janvier 2025 les films nominés dans la catégorie Meilleur film étranger. Pour rappel, l’année dernière, la commission française avait fait l’objet de vives critiques pour avoir choisi La Passion de Dodin Bouffant de Tran Anh Hung au lieu d’Anatomie d’une chute, Palme d’or à Cannes et succès international. La France n’avait finalement pas été retenue dans cette catégorie. Cet épisode a conduit à un profond renouvellement de la commission de sélection.

L’édition 2024 du Festival de la Fiction de La Rochelle s’est achevée, dévoilant un palmarès riche en talents. Découvrez les meilleures fictions et séries récompensées cette année.

Jean-Désiré Augnet et Capucine Valmary : jeunes espoirs du Festival de La Rochelle 2024.

L’édition 2024 du Festival de la Fiction de La Rochelle s’est clôturée ce dimanche 15 septembre. Débuté le 10 septembre, cet événement incontournable, aussi bien pour les professionnels que pour le grand public, a mis en lumière la diversité et la créativité de la production audiovisuelle française et internationale. La cérémonie de remise des prix, animée par Antonia de Rendinger, a permis de célébrer les grands gagnants de cette compétition.

Thierry Godard, président du jury et visage emblématique de la télévision française, a décerné 11 prix. Nismet, nouveauté d’Arte, a remporté le prix de la Meilleure série 52 minutes, tandis que la comédie de TF1, Flashback, avec Michael Youn, a reçu une mention spéciale du jury.

Côté acteurs, le prix du Meilleur acteur a été décerné à Nicolas Duvauchelle et Guillaume Gouix pour leur performance dans la série historique Fortune de France, diffusée sur France 2 à partir du lundi 16 septembre.

Voici le palmarès complet de l’édition 2024 du Festival de la Fiction de La Rochelle :

Prix du Meilleur Comédien Télé-Loisirs : Tom Villa dans Mademoiselle Holmes (TF1)

Meilleur Unitaire : À l’épreuve (France Télévisions)

Meilleure Musique : Eric Neveux pour Sentinelles – Ukraine (CINÉ+ OCS Signature)

Meilleur Scénario : Katell Guillou et Benoît Marchisio pour Enjoy ! (France TV Slash)

Meilleure Réalisation : Gustave Kervern pour Je ne me laisserai plus faire (Arte)

Prix du Jeune Espoir Masculin : Jean-Désiré Augnet dans Enjoy !

Prix du Jeune Espoir Féminin : Capucine Valmary dans Bénie soit Sixtine (France Télévisions)

Meilleure Actrice : Cécile Bois dans Signalements (France Télévisions)

Meilleur Acteur : Nicolas Duvauchelle et Guillaume Gouix pour Fortune de France (France Télévisions)

Meilleure Série de Moins de 20 Minutes : Des gens bien ordinaires – Chapitre 2 (Canal+)

Meilleure Série 26 Minutes : Iris (Canal+)

Meilleure Série 52 Minutes : Nismet (Arte)

Mention Spéciale : Flashback (TF1)

Meilleure Série de Moins de 20 Minutes Francophone Étrangère : Les météorites (Canada)

Meilleure Fiction Francophone : Fem (Canada)

Meilleure Fiction Européenne : Lost Boys & Faeries (Royaume-Uni)

Prix des Collégiens de Charente-Maritime : Des gens bien ordinaires – Chapitre 2 (Canal+)

Prix de la Presse Étrangère Unifrance : À l’épreuve (France Télévisions)

Prix de la Meilleure Fiction Télé-Loisirs : Les Bodin’s enquêtent en Corse (M6)

Prix de la Meilleure Série Télé-Loisirs : Le négociateur (TF1)

Prix de la Meilleure Comédienne Télé-Loisirs : Audrey Fleurot dans Infiltré(e) (France Télévisions)

Le Centre National du Cinéma (CNC) a dévoilé ce mercredi 11 septembre sa « short list » de films français en lice pour le meilleur film international aux Oscars 2025.

Le cinéma français en route pour les Oscars : découvrez les films présélectionnés

On connaît désormais les quatre films français en compétition pour l’Oscar du meilleur film international en 2025. Ces œuvres ont été présélectionnées pour représenter la France par le Centre National du Cinéma (CNC) ce mercredi.

La commission chargée de cette sélection doit se réunir de nouveau le 18 septembre pour mener des auditions, au terme desquelles elle désignera « le film qui représentera la France dans la course à l’Oscar du meilleur film international 2025″.

La présélection inclut l’un des plus gros succès de l’année en France, Le Comte de Monte-Cristo, réalisé par Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, encore à l’affiche après 11 semaines d’exploitation. Cette adaptation du célèbre roman d’Alexandre Dumas, avec Pierre Niney dans le rôle d’Edmond Dantès, a dépassé les 8 millions d’entrées, selon les données de CBO Box-Office.

La liste comporte également la comédie musicale de Jacques Audiard, Emilia Perez, récompensée par le Prix du Jury lors du dernier Festival de Cannes, et primée pour son interprétation collective avec Zoë Saldaña, Selena Gomez, et Karla Sofía Gascón, actrice principale transgenre.

Le CNC a également retenu All We Imagine as Light, une chronique sociale et féministe réalisée par la jeune cinéaste indienne Payal Kapadia, qui a reçu le Grand Prix à Cannes, avec une production en partie française.

Enfin, le polar rural Miséricorde, septième long-métrage d’Alain Guiraudie avec Catherine Frot et Félix Kysyl, complète cette sélection de films potentiellement candidats aux Oscars.

Pour l’édition 2024, la France avait proposé La Passion de Dodin Bouffant, réalisé par Tran Anh Hung, au détriment d’Anatomie d’une chute. Ce dernier, malgré sa Palme d’Or au Festival de Cannes 2023, n’avait pas été sélectionné dans la catégorie du meilleur film international par l’Académie des Oscars. Toutefois, Anatomie d’une chute avait été nommé dans la catégorie « meilleur film » et avait remporté l’Oscar du meilleur scénario original.

Le réalisateur et écrivain Samuel Benchetrit a dévoilé un projet ambitieux ce dimanche 8 septembre dans La Tribune du Dimanche : il rêve de réaliser un film aux États-Unis. Ce désir ne date pas d’hier, puisqu’il l’a nourri depuis le début de sa carrière.

Samuel Benchetrit prépare un film américain épique pour explorer l’état du monde

Le cinéaste nous met l’eau à la bouche en évoquant ce nouveau projet. Il s’agira d’« un film américain par ses acteurs, mais européen par sa conception ». Un projet qui promet d’être une traversée des États-Unis tout en explorant l’état actuel du monde.

Cependant, les fans devront faire preuve de patience : Samuel Benchetrit prévient que ce long-métrage ne verra pas le jour avant au moins trois ans. La réalisation de ce projet l’obligera probablement à quitter la France pour un temps, le tenant éloigné de sa famille, notamment de sa femme Vanessa Paradis et de ses enfants, Jules et Saùl.

Malgré la distance, Samuel Benchetrit aborde ce changement de vie avec optimisme : « Mes enfants, Jules (26 ans) et Saùl (18 ans), ont pris leur envol (…). À moi aujourd’hui de m’envoler à mon tour », confie-t-il.

Un mois après le décès du légendaire animateur Patrice Laffont, son fils, Fabrice Laffont, fait une révélation importante. Il a dévoilé des résultats de santé rassurants concernant son père avant son décès.

Les confidences de Fabrice Laffont : « Mon père est parti comme il l’aurait voulu »

Il y a exactement un mois, la France apprenait la disparition de Patrice Laffont, célèbre animateur de jeux télévisés tels que Fort Boyard et Pyramide. Il est décédé à l’âge de 84 ans dans sa maison à Oppède, dans le Vaucluse. L’annonce de sa mort a provoqué une vague d’émotion dans le monde de la télévision, surtout en France. Ses funérailles, organisées le 23 août dernier au cimetière du Père-Lachaise, ont rassemblé de nombreuses personnalités de la télévision, venues rendre un dernier hommage à cette figure emblématique.

Ce samedi 7 septembre 2024, Fabrice Laffont, l’un des enfants du défunt, s’est exprimé sur le plateau de Face à Hanouna, sur C8. Un témoignage inédit qui lève le voile sur les derniers mois de la vie de son père. Fabrice a révélé des détails surprenants concernant la santé de son père avant son décès.

Bien que Patrice Laffont soit décédé des suites d’un accident cardiaque, son fils Fabrice a confié que les résultats des examens médicaux effectués avant le décès étaient rassurants : « Il a fait beaucoup d’examens cardiaques avant de partir en vacances, et ils étaient tous bons », a-t-il déclaré dans l’extrait diffusé sur le compte X de Touche pas à mon poste. Une révélation qui a suscité l’étonnement.

Fabrice Laffont a également ajouté que son père était parti comme il l’aurait souhaité : « Mon père, je n’aurais pas aimé le voir partir sur un lit d’hôpital, malade pendant des mois. Il est parti comme il aurait aimé partir. » Fabrice a ensuite évoqué les difficultés financières de son père en fin de vie, laissant entendre que cette situation aurait pu peser sur le moral du présentateur, mais que son décès rapide lui avait épargné de longues souffrances.

En hommage à la carrière de Patrice Laffont, France 3 diffusera le 13 septembre prochain une soirée spéciale, retraçant les moments forts de sa vie à l’écran.

Président du jury du 50e Festival du cinéma américain de Deauville, Benoît Magimel a reçu la distinction numérique de l’INA (Institut national audiovisuel) ce samedi 7 septembre 2024. Un moment plein d’émotion pour l’acteur.

Festival de Deauville 2024 : Benoît Magimel célèbre plus de 35 ans de cinéma avec l’INA

Ce samedi, Benoît Magimel a été honoré au Festival du cinéma américain de Deauville. Le président du jury a reçu la distinction numérique de l’INA (Institut national audiovisuel). Très ému, il a déclaré : « En regardant ces images, j’ai l’impression que ce n’est pas moi, c’est très touchant. J’ai eu la chance de rencontrer des réalisateurs extraordinaires. J’étais un peu complexé quand j’ai commencé, mais j’ai très vite compris qu’il n’y a pas de règles. On peut être inspiré par les gens que l’on rencontre. »

Cette distinction, sous la forme d’une tablette numérique, contient l’ensemble du patrimoine audiovisuel français, incluant des extraits télévisuels et radiophoniques de Benoît Magimel. Elle a été créée afin de rendre hommage aux personnalités ayant contribué à l’enrichissement du fonds audiovisuel grâce à leur empreinte culturelle en France.

Cette tablette contient 109 heures retraçant plus de 35 ans de carrière et 75 rôles. « Je ne sais pas si je vais regarder les 109 heures », a souri Benoît Magimel. Pour rappel, l’acteur a commencé à l’âge de 13 ans dans La vie est un long fleuve tranquille d’Étienne Chatiliez. « J’ai toujours ce môme de 13 ans en moi, il est là, il m’émeut beaucoup. »

Le cinéma français est de nouveau en deuil. Ce jeudi 5 septembre, Laurent Tirard, réalisateur des adaptations de « Le Petit Nicolas » et « Le Discours », est décédé à l’âge de 57 ans.

Le cinéma français pleure la disparition de Laurent Tirard

Révélé avec la comédie « Mensonges et trahisons et plus si affinités… », Laurent Tirard est décédé ce jeudi 5 septembre 2024, à l’âge de 57 ans. C’est ce qu’a annoncé son agent à l’Agence France-Presse (AFP). « Il nous a quittés ce jeudi 5 septembre 2024 à Paris, à l’âge de 57 ans, après avoir mené, avec un immense courage, un long combat contre la maladie », a précisé l’agent dans un communiqué publié sur le réseau social X.

Né à Roubaix (Nord) mais ayant grandi à Fontainebleau (Seine-et-Marne), Laurent Tirard a été formé au cinéma aux États-Unis, à l’université de New York. Il a débuté à Hollywood en tant que lecteur de scénario chez Warner, puis a travaillé comme journaliste pour Studio Magazine, avant de se tourner vers le scénario, aussi bien pour la télévision que pour le cinéma.

En 2004, son premier film « Mensonges et trahisons et plus si affinités… », avec Édouard Baer et Clovis Cornillac, lui avait valu un succès notable. Le film a notamment remporté le César du meilleur second rôle. Laurent Tirard s’est ensuite distingué dans le domaine des adaptations avec « Le Petit Nicolas » en 2009, son plus grand succès avec plus de cinq millions d’entrées en France, suivi de « Les vacances du Petit Nicolas » en 2014, inspiré des romans de Goscinny et Sempé. Il a également réalisé « Astérix et Obélix : au service de Sa Majesté » en 2012 et « Le Discours » en 2020, tiré d’un roman de Fabrice Caro.

Laurent Tirard avait été diagnostiqué avec un cancer en 2012. Il avait subi une greffe de moelle osseuse qui avait conduit à une réaction du greffon contre l’hôte (GVHD), un combat qu’il aura mené jusqu’à son dernier souffle.

C’est l’une des grosses mauvaises nouvelles de cet été 2024. L’acteur français Benoît Magimel s’est fait voler. Il a amèrement fait le constat ce mardi 3 septembre 2024.

Benoît Magimel cambriolé : Ses trois Césars et des montres de luxe dérobés

L’acteur français Benoît Magimel a été une nouvelle fois victime d’un cambriolage. En rentrant chez lui dans le XVIe arrondissement de Paris, il a découvert ce mardi 3 septembre que ses trois précieux Césars, remportés en 2016, 2022 et 2023, avaient disparu.

Selon les informations du Parisien, le vol se serait produit au cours du mois d’août, entre le 16 et le 3 septembre. Outre ses récompenses cinématographiques, l’acteur a également été dépossédé de plusieurs montres de luxe, portant le préjudice total du vol à près de 50 000 euros.

Ce n’est malheureusement pas la première fois que Benoît Magimel est ciblé par des cambrioleurs. En juin 2023, son domicile avait déjà été visité et des biens de valeur, notamment des montres et des sacs à main, avaient été dérobés pour un montant estimé à 100 000 euros.

Suite à ce nouveau cambriolage, l’acteur a porté plainte et une enquête a été ouverte.

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