On aurait pu croire que Justin Bieber n’avait que faire des offenses de Seth Rogen à son égard. « The Biebs » répond enfin au comédien de 32 ans.
Celui-ci ne rate aucune occasion quand il s’agit d’exprimer son mépris vis-à-vis du « Baby Singer ». Tout serait parti de la désinvolture avec laquelle « The Biebs » s’est adressé à l’acteur quand ils se sont rencontrés pour la première fois au German Talk Show. En janvier dernier, alors que Justin avait été arrêté par la police de Miami, Seth Rogen twitait : “Toutes plaisanteries mises à part, Justin est une merde”. Lundi dernier, dans une interview avec Howard Stern, le comédien décrivait Justin Bieber ainsi : « Il est arrogant, indélicat et irrespectueux ». Hier, lors d’une interview avec Matt Lauer, Seth Rogen est revenu sur ses sentiments vis-à-vis de l’Ontarien de 20 ans : « Pour moi, le fait qu’un adulte n’aime pas Justin Bieber n’a rien de surprenant, d’ailleurs, pourquoi devrais-je l’aimer ? ».
Surprenante réponse de Justin Bieber
En réponse à toutes ces critiques Justin Bieber a twitté : « Seth Rogan, je suis désolé de ne pas m’être incliné quand je vous ai rencontré. J’étais peut être timide et ne voulait surtout pas être au-dessus du sommet sur lequel vous êtes… ». Belle ironie pour dire à l’acteur de 32 ans qu’il n’en a que faire de ses insultes. D’autant plus qu’il n’a même pas fait l’effort d’écrire correctement le nom de la star de Neighbors. Il a écrit Rogan au lieu de Rogen ! Mais la chose la plus surprenante se trouve dans les derniers mots de la star de 20 ans: « … j’aime toujours vos films. » Telle est la réponse de « The Biebs » au mépris inconditionnel de l’acteur à son égard.
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Seth Rogen est vraiment allergique à Justin Bieber. Mardi, il le traitait de “merde”. Aujourd’hui, il démontre encore son antipathie envers la star de 20 ans en déclarant : « Personne ne l’aime… ».
Seth Rogen est en tournée pour la promotion de son nouveau film intitulé “Neighbors”. Dans une interview avec Matt Lauer, quand la question de ses sentiments envers la star de 20 ans lui a été posée, l’acteur de 32 ans a répondu : « Pour moi, le fait qu’un adulte n’aime pas Justin Bieber n’a rien de surprenant. D’ailleurs , pourquoi devrais-je l’émier ? Ce qui serait surprenant, c’est que je dise que l’aime. Je peux vous le garantir, personne dans cette salle ne l’aime… En tout cas, moi je ne connais personne qui aime Justin Bieber ».
Seth Rogen décrit Justin Bieber en 3 mots
Dans son interview avec Howard Stern, le roi des médias, Seth Rogen dit n’avoir croisé «The Biebs» que deux fois. Mais tout ce qu’il retient de la star se résume en 3 mots : « irrespectueux,indélicat et merde ». Il a ajouté : « C’est le genre de personne que que tu détesterais. Et quand tu le croises, tu finis effectivement par le détester ». Une chose est sûre : les deux Canadiens ne pourraient pas avoir de bons rapports.
Read moreL’acteur de 32 ans, Seth Rogen, aurait une fois de plus exprimé son mépris vis-à-vis de Justin Bieber, hier lundi, à Howard Stern.
Apparemment, l’acteur canadien ne serait pas très fan du jeune chanteur. « Bieber est une merde », aurait-il déclaré lors de l’arrestation de Justin Bieber à Miami pour avoir conduit en état d’ivresse. L’acteur a poursuivi : « Je ne l’ai rencontré que peu de fois. C’est le genre de personne que tu rencontres et tu crois que tu détesterais, et effectivement, tu finis par le détester…vous le croisez et il confirme toute l’appréhension que vous aviez de lui ».
Rogen aurait dit que la première fois où il a rencontré l’Ontarien, “The Biebs” n’avait pas encore une telle cote de popularité. À la porte de son dressing-room, il aurait entendu quelqu’un lui dire : “‘Justin Bieber désire te rencontrer’. Je sors, il se tient juste là et se comporte comme si c’était moi qui avais demandé à le rencontrer ». Mais Rogen dit le comprendre, car il était encore trop jeune.
Il le comprenait jusqu’à ce que les deux stars se rencontrent encore au MTV awards.
« Je lui ai parlé pendant 5 minutes », dit l’acteur de 32 ans, qui décrit la star de 20 ans « sans aucune humilité, ni aucune délicatesse… ». Il conclut : « Je me rappelle que je n’arrêtais de me répéter à moi même. Ce n’est qu’une merde ».
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