Katy Perry tente désespérément de convaincre des religieuses d’accepter de lui vendre le couvent dans lequel elles vivent. Cependant la chanteuse se retrouve face au refus catégorique des bonnes soeurs, qui craignent de laisser le couvant aux mains d’une personne de moralité douteuse après avoir visionné certaines de ses vidéo.

L’archevêque dit oui, les soeurs disent non…

C’est le Los Angeles Times qui a diffusé l’information pour le moins très insolite selon laquelle des nones refusent que Katy Perry achètent un couvent. Selon le média américain, Katy Perry tente depuis un moment déjà de racheter le couvent Los Feliz situé à Santa Monica en Californie, officiellement fermé depuis 2001.

C’est une vieille bâtisse datant de 1927, dans laquelle ont vécu les soeurs du Très Sacré Immaculé Coeur de la Vierge Marie Bénie de 1960 jusqu’à la fermeture en 2001.

De nombreuses religieuses ont quitté les lieux, mais 5 d’entre elles ont décidé de rester et y vivent depuis. Pour trois d’entre elles, tout comme l’archevêque de Los Angeles Jose Gomez qui aurait déjà accepté un chèque de 14,5 millions de dollars, Katy Perry peut posséder les lieux.

Mais il n’y a pas qu’eux, les deux autres soeurs ( puisqu’elles sont 5), Rita Callanan et Cathérine Rose, sont fermement opposées et réfusent de donner leur accord pour conclure la vente.

Trop extravagante pour racheter un couvent

En fait, elles préféreraient que Dana Hollister, un restaurateur qui convoite également les lieux, l’achète plutôt que ce soit Katy.

L’une des raisons du refus évoqué par la soeur Rita est la personnalité de la chanteuse de I kissed a girl ( j’ai embrassé une fille) qui ne lui plaît pas beaucoup : « Eh bien j’ai découvert Katy Perry, j’ai découvert ses vidéo et… si je peux me permettre je n’ai pas été enchantée par ce que j’ai vue. »

Toujours selon le Times, Katy Perry aurait décidé de chanter Oh Happy Day et de montrer son tatouage à l’effigie de Jésus pour réussir à faire plier les deux bonnes soeurs. Une tactique loin d’avoir réussi à faire changer d’avis les nones, décidées à ne pas se laisser influencer ni par l’argent ni par la célébrité de Katy.