Dubaï Porta Porty, Eudoxie Yao déstabilisée

Eudoxie Yao au pied du mur dans le scandale Dubaï Porta Porty qui secoue le monde des petites célébrités. De Paris à Abidjan, plusieurs célébrités sont citées pour la pratique de scatophile avec des milliardaires saoudiens. En échange, elles reçoivent de grosses sommes d’argent qui leur permettent d’assurer leur luxueux train de vie. Les stars de télé-réalité, adeptes d’hôtels de luxe les plus couteux, ont aujourd’hui du mal avec l’origine de leur argent. 

En Côte d’Ivoire, la jeune Eudoxie Yao n’échappe pas au scandale. La femme aux formes hors normes, jusque-là enviée pour ses voyages documentés sur Snapchat et Instagram, passe des jours difficiles. Elle doit convaincre de sa non-appartenance aux réseaux de prostitution qui permet à des filles de gagner de folles sommes d’argent. À Abidjan, où on ne lui connait aucune activité lucrative, si ce n’est quelques ventes de produits cosmétiques, les internautes doutent de la provenance de son argent. 

La bimbo ivoirienne s’explique sans convaincre

La bimbo ivoirienne Eudoxie Yao ne connaissait pas Dubaï Porta Porty. La jeune femme a expliqué dans une vidéo postée sur son compte Facebook qu’elle ne connaissait pas le phénomène. Ce sont ses followers qui l’auraient tagué, selon elle, avec ce mot à de nombreuses reprises. « J’ai demandé à mes “bébés” qu’est-ce qu’il se passe ? C’est là qu’on m’a envoyé une vidéo d’une jeune fille qui mangeait du c*c*. J’ai été choquée », dit-elle avant d’assurer qu’elle n’a rien avoir avec ces pratiques ignobles qu’elle déconseille d’ailleurs aux jeunes filles. 

Sauf que cette vidéo n’a pas ramené la paix dans la vie d’Eudoxie Yao. Dans une seconde intervention sur Life Tv relayée par le site Afrique-sur7.ci, elle justifie son voyage à Dubaï en disant “Un de mes amis a voulu me faire plaisir”. Ce cadeau aurait été fait à l’ influenceuse ivoirienne lors de son anniversaire. C’était mon “anniversaire, il a voulu me faire plaisir”.

Ces influenceurs aux revenus douteux

Plusieurs influenceurs africains sans revenus traçables affichent un mode de vie enviable. Des photos dans des endroits chics, des voyages les plus couteux et des vêtements de marque de luxe font partie de leur quotidien. Si certains comme Emma Lohoues sont effectivement invités par des établissements hôteliers dans le cadre de contrats publicitaires, d’autres voyagent sur invitation de personnes qui n’ont très souvent rien à vendre ni à acheter.

Les internautes considèrent donc que ces généreux donateurs se font rémunérer en nature, d’où le fort soupçon de prostitution qui pèse sur les jeunes filles.

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