L’interview qui Tue : Les injures de la Corée du Nord au Président Obama !

La Corée du Nord a nié toute implication dans la cyberattaque qu’a subie Sony Pictures. Mais cela n’a pas empêché un sabotage du réseau internet du pays,dont les dirigeants accusent Barack Obama d’être responsable. Ce qui lui vaut de leur part d’être un singe dans la forêt tropicale.

Après que Barack Obama a critiqué la décision de Sony Pictures de vouloir annuler la sortie de L’interview qui Tue à la suite des menaces de la Corée du Nord, le film de Seth Rogen et d’Evan Goldberg a finalement été projeté le 25 décembre dans des cinémas sélectionnés. Accusant l’homme le plus puissant du monde d’être à l’origine de cet acte qu’elle juge illégal, malhonnête et réactionnaire, la Corée du Nord le croit aussi responsable du sabotage de leur réseau internet. Pour la Commission de défense de la Corée du Nord, Washington est le seul responsable de ce sabotage qu’il considère comme les représailles du Président Barack Obama suite au piratage du système de Sony Pictures à propos duquel les Coréens ont décliné toute responsabilité.

Que des animaux dans le gouvernement américain selon la Corée du Nord ?

Un porte-parole non identifié du département de la police nord-coréenne a déclaré dans un communiqué diffusé par la Korean Central News Agency : « Obama débite toujours imprudemment des paroles et agit comme un singe dans une forêt tropicale. » Ce n’est pas la première fois que la Corée du Nord insulte grossièrement un dirigeant américain. Tout comme le président Obama, le Secrétaire d’État américain John Kerry a eu droit au mépris de ce pays qui l’a traité de « loup avec une hideuse mâchoire. »

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La confession d’Eminem : « Je suis homosexuel. »

Le film controversé de Seth Rogen et d’Evan Goldberg intitulé L’interview qui Tue fait déjà la une des médias pour son caractère satirique, objet de menace de la part du gouvernement nord-coréen à l’encontre des États-Unis d’Amérique. Et Eminem vient en rajouter en faisant une confession étonnante.

L’interview qui Tue est finalement sorti en salle le jour de la Noël malgré les menaces du gouvernement nord-coréen. Dans le film, Eminem est un invité de David Skylark, personnage incarné par James Franco. Em n’est certes pas la seule star interviewée dans L’interview qui Tue, mais est de loin l’une de celles qui créent le buzz avec sa petite plaisanterie sur ses penchants sexuels. Durant l’interview, Eminem se confie sur ses peurs. Entre autres, « rapper sur des sujets concernant les femmes ». Une révélation très étonnante quand on sait qu’Eminem a bien aimé rapper sur Iggy Azalea en la menaçant de viol. Mais pour lui, ça reste quand même une manière de surmonter ses mauvais souvenirs avec sa mère et son ex-femme.

Une révélation troublante, mais juste pour faire rire !

La révélation la plus hilarante et en même temps la plus troublante est celle qu’Eminem fait de but en blanc : « Vous savez, quand je raconte des choses sur des homosexuels, les gens pensent que les paroles de mes chansons sont de l’homophobie. Mais vous savez, en fait, c’est parce que je suis gay. » Alors que le personnage de James Franco cherchait à savoir plus sur la sexualité du rappeur de 42 ans, Seth Rogen fait son entrée dans la maison de production. Choqué, il crie : « Eminem vient de dire qu’il est gay. À quatre reprises ! » De quoi provoquer une véritable frénésie dans la pièce.

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Affaire Sony : James Franco se moque de Barack Obama !

James Franco peut se retrouver au coeur d’un scandale international. Mais l’acteur n’en perd pas son sens d’humour, quitte à tourner en ridicule l’homme le plus puissant du monde, en l’occurrence Barack Obama.

Tu écorches mon nom, j’en fais de même avec le tien. Voici la devise de James Franco que Barack Obama a appelé « James Flacco » par lapsus. Alors que la polémique sur le film L’interview qui tue est encore le centre des débats, James Franco, acteur du film, trouve un moyen de détendre l’atmosphère en se moquant du président Obama. En effet, L’interview qui tue a été l’objet d’un énorme incident diplomatique entre le gouvernement américain et la Corée du Nord qui nie avoir piraté le système de Sony. Le film a alors été interdit puis reprogrammé plus tard pour une sortie ultérieure après que Barack Obama l’a défendu lors d’une conférence de presse. Conférence à laquelle il a écorché le nom de James Franco en l’appelant « James Flacco ».

À écorcheur, écorcheur et demi !

À l’annonce de la future projection de L’interview qui tue dans des cinémas sélectionnés, James Franco n’a pas boudé sa joie et sa gratitude envers Barack Obama. En légende d’une photo sur laquelle lui et Seth Rogen s’apprêtent à se sucer les lèvres sur Instagram, l’acteur de 36 ans écrit :  « Célebration!!!!! L’interview qui tue avec Seth Rogen et James Flacco a été sauvé par le Président Obacco ! » Drôle de manière de montrer sa gratitude au Président des États-Unis. Mais heureusement, Flacco, pardon Franco, se ressaisit et rectifie : « Désolé!!!!! je voulais écrire Obama!!! »

James et Seth Rogen

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