Moundir demande-t-il de l’argent pour accorder des interviews ?

Sam Zirah, journaliste people, a publié une interview sur le site du magazine Public dans laquelle il affirme que « Moundir refuse de faire une interview sans un chèque ». L’intéressé nie totalement la véracité de ces accusations.

« Quand on fait de la promo, on n’est pas censé être payé car on est là pour vendre ce qu’on a fait », reproche notamment Sam Zirah à Moundir. Voici la réponse de l’ancien participant de Koh-Lanta, publiée sur sa page Facebook :

Bonjour Mr Sam ZIRAH
Je me permets de vous écrire afin de vous demandez les preuves écrites vous réclamant sois-disant un cachet pour votre web serie ” En toute intimité ” jusqu’à preuve du contraire vous ne m’avez jamais approché pour cela car vos seules démarches envers moi date du 15/09/2014 et du 28/10/2014 pour l’émission NSP que j’ai effectivement décliné faute de temps non pour un sois disant cachet imaginaire.
Puis que vous me définissez “PROCHE DE L’ARGENT” …
Nous aurons la chance de nous croiser un jour sur un plateau TV et je ne manquerai pas de vous dire au combien vous avez manqué de professionnalisme dans vos recherche et de déontologie dans un métier ou la majorité des vrais journalistes font leur travail avec respect et profondeur ( en tout la plupart de ceux avec qui je collabore … )
Je vous invite Mr ZIRAH puisque vous êtes journaliste , producteur et co-producteur de voir avec vos confrère(s) du Dauphiné Lorrain jusqu’au Parisien ( journaux et presse en tout genres ) Télé-loisirs , Télé-star , Télé-poche la liste et bien trop longue en 13 ans de télé Ô COMBIEN je leur ai demandé comme cachets en échange d’une simple ITW ?
Je vous mets au défi de me trouver une proposition monétaire avec ou sans promo cher MR .
Puisque votre vous aimez l’investigation je vous pries de bien vouloir également vous renseigner sur les ITW que je donne à de jeunes étudiants ( pour leur thèse via la TV ou autres ) a qui j’ai demander des sommes exorbitantes !!!!!
Mais vous êtes sérieux ?
Sachez que je suis disponible pour toutes personnes quelqu’en soit la démarche pourvu qu’elle soit saine et non diffamante .
Je ne comprends absolument vos propos si ce n’est de vouloir être en quête de buzz pour votre web serie .
Néanmoins Mr ZIRAH je vous souhaite une longue carrière remplie de réussite(s) et d’honnêteté(s) .
C’est surtout lorsqu’on est doté de cette dernière que de belles choses nous arrivent dans la vie.
Cordialement
Moundir

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Georges Clooney, il est contre la chirurgie esthétique

Connu de tous comme étant un grand acteur américain, Georges Clooney qui est très souvent sur les écrans télé pour la marque Nespresso, âgé de 54 ans, et au physique plutôt avantageux, a affirmé qu’il ne ferait jamais de chirurgie esthétique.

La chirurgie “donne l’air vieux”

Alors qu’on lui demande s’il compte un jour faire une teinture de cheveux pour masquer ses cheveux blancs, l’acteur américain a avoué à l’antenne de BBC 4 que “ce n’était pas à l’ordre du jour”

Et quand on évoque un recours à la chirurgie esthétique, la réponse de Georges Clooney est encore plus catégorique.

“Pour moi, ce n’est ni un problème ni une option. Je ne crois pas que ça rimerait à grand-chose, honnêtement. Je suis un grand défenseur de l’idée que l’on ne peut pas avoir l’air plus jeune que l’on est. J’ai vu ce que ça donnait et…particulièrement chez les hommes, je ne crois pas que cela fonctionne vraiment. Je crois qu’en réalité, cela donne l’air plus vieux”

Considéré comme l’une des célébrités les plus séduisantes de la planète, ce ne sont pas les jeunes femmes qui diront le contraire !

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Exclu – Christophe Guillarmé : « Je me suis occupé de Julie Gayet avant son actualité planétaire »

Célèbre créateur de mode français, Christophe Guillarmé a lancé sa première collection dès 1998. Depuis, le styliste a fait du chemin. Rencontre.

Nilmirum – Évoquons tout d’abord votre parcours. Quelles ont été les étapes importantes vous permettant de devenir un célèbre créateur de mode ?

Christophe Guillarmé – Il n’y a pas vraiment d’étapes. C’est souvent un concours de circonstances. Des événements qui s’enchaînent et qui font que l’on est plus mis en avant qu’un autre. Par contre, pour durer dans le métier, c’est une autre histoire ! C’est souvent le sérieux et l’acharnement qui priment. Je citerai mon premier interview pour « L’Officiel de la Mode » en 1998, ma première présentation en 2000 ou encore mon premier Festival de Cannes en 2004. J’ai eu la chance de commencer dans ces années assez euphoriques où les erreurs de jugement n’étaient pas fatales.

Quelles sont les premières personnalités qui ont accepté de porter vos créations ?

Souvent, les rencontres se font avant la médiatisation : j’ai eu le plaisir de m’occuper d’Hafsia Herzi avant son César, de Nora Arnezeder juste avant son premier film pour Barratier, de Julie Gayet avant son actualité « planétaire »… Quant à Victoria Silvstedt et Mia Frye, ce sont des amies de la première heure. J’ai également travaillé avec des chanteuses comme Inna Modja, Hélène Segara et bien d’autres. C’est avant tout une question d’amitié et de confiance.

En 2010, vous avez participez à l’émission de télé-réalité « La Ferme Célébrités en Afrique ». Quelles ont été vos principales motivations pour participer à un tel programme ?

C’est avant tout pour le Sidaction que je me suis laissé tenter. Je représentais cette association pendant l’émission et celle-ci continue de m’associer à ses opérations. C’est un vrai point positif de cette aventure d’avoir pu initier une collaboration pour une cause qui m’est chère. Sinon, découvrir la brousse d’Afrique du Sud lors de safaris était incroyable !

Comment se manifeste votre engagement auprès du Sidaction aujourd’hui ?

Je soutiens Sidaction publiquement depuis 2010. Grâce à mes contacts, j’ai permis d’engager Renault et des joailliers comme Neuhaus et VIJ Paris dans la lutte lors des derniers « Dîners de la Mode ». Il y a également eu la vente aux enchères d’un Renault Twizy que j’ai customisé au profit de l’association lors du Gala de George Michael à l’Opéra Garnier.

guillarmé itw 2

Dans le monde la mode et du show-business, vous a-t-on beaucoup reproché de participer à cette émission ?

Bien entendu, ma participation a été à double tranchant. J’ai gagné en visibilité auprès du grand public et perdu en crédibilité dans le milieu de la mode. Cette dernière, je l’ai regagnée depuis grâce à mes actions, qui ont continuée sans dévier : défilés pendant la Fashion Week de Paris, dressing pendant les Festivals de Cannes et Marrakech, etc.

Dans une interview accordée à Public au mois de juillet 2011, vous expliquiez que votre business avait été touché par la crise ? Les affaires sont-elles reparties de plus belle aujourd’hui ?

L’essentiel à l’heure actuelle, c’est de se maintenir ! Les affaires repartent tranquillement et j’ai la chance de pouvoir me diversifier en intervenant sur du design grâce aux licences comme la bagagerie.

A quels endroits peut-on trouver vos créations actuelles ?

Dans les grands magasins, aussi bien les Galeries Lafayette à Cannes et Casablanca, KaDeWe à Berlin, Operbollinger à Munich, Al Ostoura au Koweït, Aishti au Liban… Et sur la partie boutique de mon site www.christopheguillarme.fr où plusieurs pièces exclusives sont proposées.

Quels sont vos principaux projets à venir ?

Je prépare mon onzième dressing pendant le Festival de Cannes et un défilé au Sofitel Marrakech Palais Impérial. Plusieurs collaborations surprenantes sont également en cours, notamment dans le domaine des accessoires.

Crédits photos :

Thierry Marsaux – Centara Resort Hua Hin

Bruno Thomas – Sidaction

 

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