Beyoncé et Jay‑Z ont officiellement posé leurs valises dans leur somptueuse villa ultra‑moderne perchée à Bel‑Air, à Los Angeles. Acquise en 2017 pour 88 millions de dollars, cette résidence d’environ 30 000 ft² (près de 2 800 m²) s’étend sur 2 acres, répartie en six structures modernes en verre, avec spa, quatre piscines, un terrain de basket, un garage 15 places, cinéma, etc.
Une villa pour Beyoncé et Jay Z : mais pourquoi un prêt ?
Comme le rapporte le Daily Mail, on pourrait penser que ce couple d’une fortune estimée à plus d’un milliard de dollars paierait cash, mais non : ils ont fait preuve d’une stratégie bien « royale » en immobilier. Après un apport personnel de 40 % (soit environ 35,2 M$), Goldman Sachs leur a accordé un prêt conventionnel de 60 %, soit 52,8 millions de dollars. Un choix financier qui surprend mais qui serait logique selon des experts en finance.
Face à des taux hypothécaires historiquement bas (environ 3,4 % sur cinq ans ajustables puis indexés sur le LIBOR), garder leur trésorerie permettrait aux parents de Blue Ivy de continuer d’investir ailleurs — là où leurs actifs rapportent potentiellement plus que le coût du crédit. Sur 30 ans, à 4 % d’intérêt fixe (estimation), le couple devra s’acquitter de mensualités avoisinant 252 075 $ par mois, soit plus du quart de million chaque mois pendant trois décennies !
On peut s’interroger : pourquoi emprunter quand on peut tout payer comptant ? La réponse tient en deux mots : efficacité financière. En gardant leur capital disponible, ils peuvent faire fructifier leur patrimoine ailleurs, accéder à des opportunités plus rémunératrices et optimiser leur trésorerie. L’argent, affirment certains conseillers, « leur coûte moins cher que ce qu’il leur rapporte. »