En conférence de presse ce jeudi 8 mai 2025, Donald Trump a abordé la question des droits de douane sur les films produits à l’étranger et diffusés aux États-Unis. Le président américain, a annoncé une bonne nouvelle pour la saga James Bond.
Droits de douane sur les films aux États-Unis : pas d’inquiétude pour James Bond
Lors d’une conférence de presse sur les accords commerciaux avec le Royaume-Uni ce jeudi, Donald Trump a détaillé son projet de droits de douane applicable sur les films produits à l’étranger. Il annonce exclure la franchise de l’espion 007 de ces nouvelles taxes sans en préciser les raisons. « James Bond n’a rien à craindre. » La semaine dernière, Donald Trump annonçait vouloir appliquer des droits de douane de 100% sur les produits à l’étranger. Mais certaines productions pourraient faire l’objet d’exception. La franchise, dont le « contrôle créatif » vient d’être racheté par Amazon, devrait être exemptée a déclaré le président américain ce jeudi lors d’une conférence de presse.
« Comme vous le savez, nous imposons des droits de douane sur… les films, les cinéastes », rappelle Donald Trump, en répondant à une question de The Times. La raison ? « Nous faisons ça pour attirer nos réalisateurs car beaucoup d’entre eux ont quitté le pays. Ils vivent tous ici, l’argent vient d’ici, tout vient d’ici, mais ils produisent leurs films dans d’autres pays. Nous allons donc faire quelque chose pour les faire revenir », plaidait-il hier. Et le quotidien britannique de l’interroger sur l’avenir de la saga anglaise James Bond.
« James Bond n’a rien à craindre, je peux vous le dire », affirme le président républicain. S’il n’a pas précisé les raisons de ce traitement de faveur, Donald Trump a simplement tenu à rappeler son amitié avec Sean Connery ainsi que son admiration pour le premier acteur à avoir incarné l’agent 007 au cinéma. « Vous savez, Sean Connery était un ami à moi. C’est grâce à lui que j’ai obtenu mon permis de construire à Aberdeen, en Écosse. Il a dit : « Laissez ce satané type construire ses terrains de golf. » Cela faisait quatre ans que j’étais en négociation et c’était impossible… C’était un mec formidable, Sean Connery. », a confié Trump.