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Ce mardi 11 mars, Donald Trump a dévoilé le cadeau extravagant qu’il a offert à sa petite-fille influenceuse, Kai, 17 ans. Un présent à la somme colossale, qui ne manquera pas de faire couler beaucoup d’encre.

Un cadeau à 100 000 $ : Donald Trump offre une Tesla Cybertruck à Kai

Donald Trump n’est pas seulement l’ancien président des États-Unis. À 78 ans, il est aussi un époux, un père et un grand-père très généreux. Et quand il s’agit de faire plaisir à sa famille, l’homme d’affaires ne recule devant rien.

Ce mardi 11 mars, l’ex-président a annoncé sur son réseau social Truth Social avoir offert un Tesla Cybertruck à sa petite-fille Kai Trump, une influenceuse suivie par plusieurs millions de fans sur les réseaux sociaux. Un véhicule dont le prix varie entre 81 985 et 101 985 dollars, selon le modèle choisi.

Un cadeau qui ne surprend pas, quand on connaît les liens entre Donald Trump et Elon Musk, fondateur de Tesla. D’ailleurs, ce jour-là, cinq Cybertrucks ont été livrés à la Maison-Blanche et exposés sur la pelouse sud. « J’ai acheté une Tesla pour une jeune femme très spéciale. Vous savez, je suis sûr que vous n’avez jamais entendu parler d’elle… Kai », a plaisanté Donald Trump. Mais pourquoi un Cybertruck ? « C’est une grande golfeuse, et elle met ses clubs à l’arrière. Je pense que c’est une voiture très sûre, et elle l’adore », a-t-il ajouté.

En juillet dernier, lors d’un meeting à Milwaukee, la fille de Donald Trump Jr. avait déjà dressé un portrait très affectueux de son grand-père : « Pour moi, il est simplement un grand-père normal. Il nous donne des bonbons et des sodas quand nos parents ne regardent pas. »

Kai Trump, une influenceuse au cœur des polémiques

Si Kai Trump est une golfeuse talentueuse, c’est surtout sur les réseaux sociaux qu’elle fait parler d’elle. Suivie par 3 millions d’abonnés sur TikTok, 1,5 million sur Instagram et 1 million sur YouTube, l’adolescente est devenue un atout médiatique pour son grand-père, notamment durant sa campagne.

Cependant, son exposition sur les réseaux inquiète. Ses publications, parfois trop indiscrètes, pourraient compromettre la sécurité de la famille Trump. Elle a notamment partagé des images révélant des détails confidentiels, comme les trajets en voiture du clan Trump ou même l’identité de certains membres de leur personnel de sécurité.

QUE GOLILLA!!! Vean el vehículo Tesla que Elon Musk le regaló a Trump. (Y no necesita gasolina de Chevron…) pic.twitter.com/fBgnwD9lDH

— ANTONIO SANCHEZ 2. (cuenta alterna) (@ANTONIOADCRUCEM) March 12, 2025

L’un de ses vlogs a particulièrement fait polémique. Lors de la soirée d’investiture de Donald Trump, Kai a posté une vidéo dévoilant ses pièces préférées de la Maison-Blanche, notamment les trois salons d’État situés au premier étage de la résidence présidentielle.

Face à la controverse, la vidéo a été rapidement supprimée, mais elle a soulevé des questions sur les risques liés à l’exposition de la famille Trump sur les réseaux sociaux.

Si la Fashion Week de Paris touche à sa fin, Brigitte Macron a fait une apparition remarquée au défilé Louis Vuitton, ce lundi 10 mars 2025. Pour l’occasion, la première dame avait opté pour un look audacieux et élégant, dominé par le cuir.

Brigitte Macron : son look audacieux en cuir au défilé Louis Vuitton fait sensation

Chaque saison, c’est le même rituel : le monde de la mode se réunit dans les plus belles villes du globe pour célébrer la haute couture à travers des collections d’exception. Depuis le 3 mars, Paris est devenue l’épicentre de la mode, attirant stars et créateurs internationaux. Ces derniers jours, des célébrités comme Natalie Portman, Adèle Exarchopoulos, Kate Moss, Cameron Diaz, Katie Holmes, Chiara Mastroianni et Doja Cat ont été aperçues au premier rang des défilés.

Même Brigitte Macron a quitté l’Élysée pour assister au spectacle de son ami, le styliste Nicolas Ghesquière. Pour présenter sa collection automne-hiver 2025-2026, le directeur artistique de Louis Vuitton avait transformé le décor en une gare parisienne animée. Fidèle à la maison de luxe depuis des années, la première dame avait misé sur une veste bleue cintrée, associée à un pantalon en cuir noir et des bottes à talons aiguilles assorties.

Un style affirmé qui ne surprend pas, tant Brigitte Macron affectionne les pièces en cuir. En novembre dernier, elle avait déjà marqué les esprits lors de sa visite à la Star Academy, arborant un perfecto en cuir et un denim brut.

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Pour cette invitation au voyage orchestrée par Louis Vuitton, la première dame n’était pas la seule personnalité présente. Aux côtés de Nicolas Ghesquière, on retrouvait des ambassadrices de la marque, comme Léa Seydoux, Ana de Armas et Alicia Vikander, ainsi que la papesse de la mode Anna Wintour et la réalisatrice oscarisée Justine Triet. Un parterre de stars pour une Fashion Week inoubliable.

Rien n’est trop cher pour Charles III. Selon le Daily Express, le roi d’Angleterre n’a pas hésité à casser sa tirelire pour garantir la tranquillité de Camilla Parker Bowles.

Pourquoi Charles III a-t-il déboursé des millions pour la sécurité de Camilla ?

Après son divorce avec Andrew Parker Bowles, Camilla a fait l’acquisition de Ray Mill House, une somptueuse propriété située à Reybridge, un hameau proche de Lacock, dans le Wiltshire. À l’époque, elle avait déboursé 850 000 livres (soit un peu plus d’un million d’euros) pour s’offrir cette résidence de plus de 100 000 m², qu’elle a ensuite aménagée à son goût.

D’après un agent immobilier, Ray Mill House est une demeure d’exception, estimée à 1,25 million de livres (soit environ 1,49 million d’euros en 2020). Elle bénéficie d’un cadre idyllique, offrant une vue imprenable sur la rivière Avon et la campagne environnante. Pourtant, malgré ce décor bucolique, la propriété ne garantit plus aujourd’hui la sécurité et l’intimité de la reine.

Nos confrères du Daily Express révèlent que Charles III a récemment déboursé une somme colossale pour préserver la tranquillité de Camilla. Inquiet des nuisances potentielles, notamment l’organisation fréquente de mariages dans un ancien moulin situé en face de Ray Mill House, le roi a décidé de racheter cette propriété. Montant de la transaction : 3 millions de livres (soit environ 3,57 millions d’euros).

Un geste stratégique et pragmatique

Ce coin de paradis est un lieu privilégié pour les réunions familiales de Camilla, loin des regards indiscrets et des paparazzis. D’après un expert cité par le Daily Mail, cette acquisition est un choix réfléchi : « Le nouvel arrangement est une solution pragmatique, à la fois un investissement financier judicieux et un moyen efficace de garantir la vie privée de Sa Majesté, tout en assurant sa protection et en lui permettant de profiter pleinement de sa maison bien-aimée, sans aucun recours aux fonds publics. »

Grâce à cet achat, Charles III s’assure que Camilla Parker Bowles puisse continuer à profiter de Ray Mill House en toute sérénité. Une preuve supplémentaire que lorsqu’il s’agit de la reine, le roi n’hésite pas à sortir le chéquier !

Depuis le 14 février dernier, l’état de santé du pape François inquiète ses nombreux fidèles. Près d’un mois après son hospitalisation, quelles sont les dernières nouvelles partagées par le Vatican sur la santé du pontife ?

État de santé du pape François : le Vatican donne des nouvelles rassurantes

Le 14 février, le pape François a été admis en urgence à l’hôpital Gemelli de Rome en raison d’une pneumonie bilatérale sévère qu’il couvait depuis plusieurs jours. Depuis, le pontife de 88 ans est toujours hospitalisé, et les nouvelles sur son état de santé se font rares, alimentant les inquiétudes. Toutefois, après une période d’incertitude, les récents rapports du Vatican semblent indiquer une évolution positive.

D’après les informations rapportées par BFMTV le 8 mars dernier, le Vatican a publié un communiqué officiel concernant l’état de santé du pape. Ce dernier y précise que le pontife a débuté un nouveau traitement et que son corps réagit bien aux soins administrés. « Les conditions cliniques du Saint-Père au cours des derniers jours sont restées stables, et, par conséquent, témoignent d’une bonne réponse à la thérapie », indique le Vatican.

Un message poignant du pape François

Depuis son élection en 2013, le pape François n’avait jamais été hospitalisé aussi longtemps, une situation qui suscite l’inquiétude de ses fidèles à travers le monde. Conscient de cette anxiété, le 6 mars dernier, le pontife a tenu à prendre la parole depuis la place Saint-Pierre à Rome pour rassurer les croyants.

« Je vous remercie de tout cœur pour les prières que vous faites pour ma santé. Je vous accompagne d’ici. Que Dieu vous bénisse et que la Vierge prenne soin de vous. », a-t-il confié.

Une déclaration brève mais chargée d’émotion, qui a certainement apaisé les inquiétudes de nombreux fidèles. Alors que son hospitalisation se prolonge, les prochaines annonces du Vatican seront scrutées de près. Le pape François pourra-t-il bientôt reprendre ses fonctions ?

Zinedine Zidane, légende du football, est aussi un grand-père comblé. Très attaché à sa famille, il partage une belle complicité avec ses trois petites-filles. Un bonheur que son fils aîné, Enzo Zidane, ne manque pas d’immortaliser sur les réseaux sociaux. Ce samedi 8 mars, il a posté un carrousel de photos de famille sur Instagram, offrant à ses 1,3 million d’abonnés un aperçu attendrissant de leur quotidien.

À 52 ans, Zinedine Zidane savoure pleinement son rôle de grand-père

Sur l’un des clichés, on aperçoit Zinedine Zidane tout sourire, marchant sur un trottoir avec sa petite-fille Sia, main dans la main. Vêtu d’un short beige, d’un tee-shirt blanc et de baskets claires, l’ancien numéro 10 des Bleus arbore un look décontracté, complété par des lunettes de soleil. Véronique Zidane, elle aussi radieuse, accompagne la promenade en marchant aux côtés de Sia, habillée d’une adorable robe vichy.

Enzo Zidane, soucieux de préserver l’intimité de sa fille, a pris soin de masquer son visage avec un gros cœur blanc. Pour rappel, Sia est née le 19 mai 2020, suivie de ses sœurs jumelles, Giulia et Kaya, nées le 22 mai 2022.

Le 23 juin dernier, Zinedine Zidane célébrait ses 52 ans. À cette occasion, Enzo Zidane avait déjà partagé un tendre cliché familial réunissant Zinedine et Véronique Zidane, Enzo Zidane et sa femme Karen Gonçalves, ainsi que leurs trois enfants. Une publication accompagnée d’un message émouvant : « Joyeux anniversaire mon papa, je t’aime très fort. Merci pour tout ce que tu fais pour nous, merci d’être le meilleur des papas et le meilleur des papis. Tes petites-filles t’aiment très fort. Tu seras toujours mon exemple à suivre. »

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Six mois plus tard, Enzo Zidane a publié une rétrospective de son année 2024, incluant plusieurs clichés où l’on aperçoit le champion du monde de football entouré de sa famille. Sur l’un d’eux, il pose fièrement avec son épouse et ses filles, prouvant encore une fois que, loin des terrains, Zinedine Zidane est avant tout un père et un grand-père comblé.

À l’approche de la sortie de « With Love, Meghan » sur Netflix le 4 mars, Meghan Markle s’est livrée dans une interview exclusive avec le magazine People. L’ex-actrice de Suits y évoque sa relation avec le prince Harry, sa vie de famille et son retour sur le devant de la scène.

Meghan Markle brise le silence : sa vérité sur Harry et les rumeurs de divorce

Meghan Markle parviendra-t-elle à faire taire les critiques et à regagner le cœur du public ? Une chose est sûre, elle met tout en œuvre pour soigner son image. Récemment, elle a accompagné le prince Harry à l’ouverture des Invictus Games à Vancouver, où le couple s’est affiché très complice devant les caméras. Un geste stratégique pour démentir les rumeurs de divorce qui circulent à leur sujet.

Dans cette même optique, la duchesse de Sussex a choisi de s’exprimer publiquement. Son entretien exclusif avec People est l’occasion de réaffirmer son bonheur conjugal et familial.

Un retour médiatique bien orchestré

Dans cette interview, Meghan Markle revient sur plusieurs aspects de sa vie : son quotidien à Montecito avec Harry et leurs enfants Archie et Lilibet ; les accusations de plagiat autour de sa série With Love, Meghan et les défis de sa marque lifestyle « As Ever » (anciennement American Orchard).

Elle évoque également la symbolique du nom Sussex, transmis par la reine Elizabeth II lors de son mariage avec Harry en 2018. « C’est notre nom commun en tant que famille, et je suppose que je n’avais pas réalisé à quel point cela aurait de l’importance pour moi jusqu’à ce que nous ayons des enfants », confie-t-elle. Elle insiste sur l’attachement de sa famille à ce nom : « J’aime que ce soit quelque chose qu’Archie, Lili, H et moi avons tous ensemble. Cela signifie beaucoup pour moi. Cela fait partie de notre histoire. »

Le grand retour de Meghan Markle dans l’univers artistique

Meghan Markle revient également sur son évolution professionnelle et sur les sacrifices faits depuis son entrée dans la famille royale. Lorsqu’elle a commencé à fréquenter Harry en 2017, elle a dû fermer son blog « The Tig », un site dédié à la nourriture, au voyage et au bien-être.

« J’ai adoré The Tig, mais j’aime encore plus mon mari. C’est donc un choix que j’ai fait à l’époque, et je ne changerais pas cela une seule seconde », explique-t-elle. Aujourd’hui, avec des enfants plus grands, Meghan Markle envisage un retour à ses projets artistiques.

« Mon mari m’a rencontrée quand j’avais The Tig, et je vois cette étincelle dans ses yeux quand il me voit faire la chose que je faisais quand il m’a rencontrée pour la première fois », s’enthousiasme-t-elle. Alors, ce retour signera-t-il une nouvelle ère pour Meghan Markle ? Réponse dans les prochains mois.

Déjà deux semaines que le pape François est hospitalisé à l’hôpital Gemelli de Rome, suite à une bronchite aggravée en pneumonie bilatérale. Malgré une stabilisation de son état, le souverain pontife ne serait pas prêt à quitter l’hôpital, selon une pneumologue interrogée par Le Parisien.

Double pneumonie et hospitalisation prolongée : le Vatican sous tension pour le pape François

L’inquiétude grandit chez les chrétiens du monde entier, alors que Jorge Mario Bergoglio, de son vrai nom, continue de lutter contre la maladie. Après avoir contracté une bronchite, le pape a vu son état empirer jusqu’à développer une double pneumonie. Le vendredi 28 février, il a été victime d’une crise de bronchospasme, entraînant un épisode de vomissement avec inhalation, selon un communiqué du Vatican.

Bien que son état soit jugé stable ce samedi 1er mars, la pneumologue Amira Benattia, interrogée par Le Parisien, reste prudente : « Au vu de la sévérité de son état et de son âge, il est peu probable qu’il sorte rapidement de l’hôpital. » Elle ajoute : « Il faudra attendre de voir s’il subit un nouvel épisode grave. S’il passe cette étape, une convalescence de deux semaines dans un centre spécialisé serait logique. »

Un état fragile malgré une amélioration

Selon la spécialiste, des signes encourageants existent : le pape n’a plus besoin de ventilation pour respirer, mais son état général reste préoccupant. « Il peut être guéri de sa double pneumonie, mais d’autres complications peuvent survenir, notamment une détresse respiratoire. Il a dépassé la phase aiguë, mais il n’a pas retrouvé son état habituel. », explique t-elle

Avec ses 88 ans et une maladie chronique, les risques restent élevés. La pneumologue explique : « Un homme âgé peut sembler en bonne forme jusqu’à ce qu’un organe commence à faiblir. À ce moment-là, tout peut s’effondrer rapidement, comme un jeu de dominos. »

Le pape François pourra-t-il célébrer le Carême ?

La période du Carême, qui précède Pâques, débutera le 5 mars avec le mercredi des Cendres. Le Vatican a déjà annoncé que le pape ne pourra pas célébrer cette messe publiquement, contrairement aux années précédentes.

Mais pourra-t-il assister aux célébrations à venir ? Pour Amira Benattia, cela semble peu probable : « Cela me paraît très compromis ! Son pronostic reste ‘réservé’, ce qui signifie que son état demeure préoccupant. S’il reste aussi longtemps hospitalisé, c’est qu’il accumule les complications. Ce n’est pas bon signe. Son corps a du mal à lutter. »

Le pape François n’avait jamais été hospitalisé aussi longtemps auparavant. Pourtant, l’espoir demeure chez les fidèles. Sur la place Saint-Pierre du Vatican, des rassemblements se multiplient pour prier en faveur de son rétablissement.

Si Donald Trump semble avoir les faveurs du roi Charles III, le prince Harry, lui, ne partage pas cet avis. Lors d’une conférence donnée le 27 février dernier, le fils de Lady Diana a, une fois encore, laissé entendre son désaccord avec le président américain.

Donald Trump invité en Angleterre par Charles III, mais Harry ne décolère pas

Le torchon continue de brûler entre Donald Trump et le prince Harry. Même si l’ex-président américain a renoncé à expulser l’ancien membre de la famille royale britannique — accusé d’avoir menti sur sa demande de visa —, leurs relations restent très tendues.

Le jeudi 27 février, lors d’un discours surprise prononcé à une conférence organisée par l’entreprise Upfront, à Los Angeles, le duc de Sussex a tenu des propos lourds de sous-entendus. Après avoir détaillé la manière dont il a investi sa fortune depuis son départ du Royaume-Uni, il a ajouté : « Ce serait le moment idéal pour parler de la façon dont une direction malsaine, dans tous les secteurs — de la politique à la technologie — peut avoir un effet préjudiciable sur des millions, voire des milliards, de personnes. »

Une phrase qui a immédiatement été perçue comme une pique à peine voilée adressée à Donald Trump.

Le média britannique The Mirror confirme que cette prise de parole viserait directement l’ancien président américain. Le prince Harry poursuit en dénonçant les conséquences néfastes qui surviennent « lorsque le service aux autres est sacrifié au nom de l’intérêt personnel, que la morale et l’empathie sont abandonnées au profit du pouvoir et du contrôle. »

Pour tenter d’atténuer son propos, l’époux de Meghan Markle précise néanmoins qu’il ne prend pas position entre démocrates et républicains. Il confie : « De mon rôle en tant que prince à mes dix années de service dans l’armée, j’ai été témoin de la puissance de l’entraide. Mes expériences personnelles à l’étranger m’ont appris que lorsque l’on donne la priorité aux autres, on construit des systèmes plus solides et plus durables. »

Jusqu’à présent, Donald Trump n’a pas réagi à ces déclarations.

Charles III tend la main à Trump, mais l’ex-président reste inflexible

Au moment où le prince Harry prononçait son discours en Californie, Donald Trump accueillait le Premier ministre britannique Keir Starmer à Washington. Ce dernier en a profité pour lui remettre une invitation officielle de Charles III, l’invitant à se rendre en Angleterre.

Si l’ancien président américain a salué cet honneur, il ne s’est pas pour autant laissé amadouer. Lors de la conférence de presse qui a suivi sa rencontre avec Keir Starmer, un journaliste a abordé un sujet sensible : les déclarations de Donald Trump menaçant d’annexer le Canada, pays membre du Commonwealth.

Face à cette question, Keir Starmer a tenté d’apaiser la situation : « Je pense que vous essayez de trouver un fossé entre nous qui n’existe pas. » Mais Donald Trump, fidèle à lui-même, l’a sèchement interrompu : « Ça suffit ! Merci. »

Une réaction qui a visiblement décontenancé le Premier ministre britannique, peu habitué à ce style diplomatique musclé.

Investi président des États-Unis pour la seconde fois en janvier 2025, Donald Trump devrait, au cours de son mandat, croiser à nouveau les grandes figures du gotha européen. Mais entretient-il réellement de bonnes relations avec les rois et princes du Vieux Continent ?

Donald Trump et la royauté : des liens de plus en plus forts avec Charles III et William ?

Si Donald Trump a parfois la réputation d’être brut de décoffrage, il sait faire preuve de courtoisie en présence de têtes couronnées. De retour à la Maison-Blanche, le président américain a déjà rencontré Albert de Monaco lors du Super Bowl 2025. Et ce n’est qu’un début. Il compte bien multiplier les apparitions aux côtés de Charles III, du prince William et d’autres figures royales.

L’attachement de Trump à la famille royale britannique ne date pas d’hier. Sa mère, Mary Anne MacLeod Trump, d’origine écossaise, vouait une grande admiration à Elizabeth II. Une affection que son fils semble avoir héritée.

Un rapprochement avec Charles III et William ?

Alors que le Premier ministre britannique Keir Starmer cherche à maintenir de bonnes relations avec les États-Unis, la monarchie britannique pourrait être amenée à se rapprocher du milliardaire de 78 ans. Selon The Sun, Trump pourrait même être invité au château de Balmoral en 2026.

Ce rapprochement s’est déjà esquissé fin 2024. En décembre, alors président élu, Donald Trump a rencontré le prince William à l’ambassade du Royaume-Uni à Paris, lors de l’inauguration de la cathédrale Notre-Dame. Dans le salon jaune, les deux hommes ont surpris la presse par leur long entretien, ponctué de sourires et de compliments.

Une « bromance » inattendue entre Trump et William ?

Le dernier échange entre Donald Trump et le prince de Galles remontait à 2019, lors de la visite d’État de l’Américain à Londres. Pourtant, leur récente rencontre s’est déroulée dans une ambiance détendue. L’historienne Tessa Dunlop, spécialiste de la royauté, a noté que Trump semblait impressionné par William, soulignant sa « confiance intouchable ».

« William a reçu une tape sur l’épaule et un compliment paternel – “un homme bien, celui-là” », a rapporté The Mirror.

Lors de cet échange, Donald Trump a également pris des nouvelles de Kate Middleton, en pleine lutte contre le cancer, ainsi que de Charles III, toujours sous suivi médical. Un geste qui a été perçu comme une marque de respect envers la famille royale.

Une visite royale aux États-Unis en 2026 ?

Ce rapprochement semble convenir au gouvernement britannique, qui cherche à renforcer l’amitié anglo-américaine. Selon The Times, une tournée royale aux États-Unis pourrait être envisagée dans les mois à venir.

Une source a confié au journal : « Donald Trump a une affinité évidente pour la famille royale. Il avait une excellente relation avec la défunte reine, il a récemment rencontré le prince William et il a fait l’éloge du roi Charles. Une tournée royale aux États-Unis contribuerait à renforcer la “relation spéciale” entre nos deux pays. »

Dès 2026, plusieurs événements pourraient réunir Trump, Charles III et William :

• Le 250ᵉ anniversaire de l’indépendance américaine, célébré au printemps.
• La Coupe du monde de football, co-organisée par les États-Unis, le Mexique et le Canada. Passionné de football, le prince William ne manquerait cela pour rien au monde !

En 2019, après sa visite d’État à Londres, Donald Trump avait déjà encensé Elizabeth II, la qualifiant de « sensationnelle ». Il avait déclaré à Fox News : « J’ai une très bonne relation avec elle. Nous avons ri et nous nous sommes beaucoup amusés. D’ailleurs, son entourage a dit qu’elle ne s’était pas autant amusée en 25 ans. »

Le second mandat de Donald Trump pourrait-il marquer un nouveau tournant dans ses relations avec la famille royale britannique ?

S’il reste très impliqué dans le football et que son nom est souvent évoqué comme le successeur de Didier Deschamps à la tête des Bleus, Zinedine Zidane n’en demeure pas moins un homme d’affaires avisé. D’après L’Indépendant, la légende du football va prochainement ouvrir un nouveau complexe sportif en France, dans un secteur en plein essor.

En attendant les Bleus, Zidane mise gros sur un projet sportif inédit

Depuis que Didier Deschamps a annoncé son départ de l’équipe de France à l’issue de la Coupe du monde 2026, un nom revient avec insistance : celui de Zinedine Zidane. Candidat déclaré depuis plusieurs années, l’ancien entraîneur du Real Madrid a longtemps patienté face à la longévité de Deschamps. Toutefois, bien qu’il ne se soit pas encore officiellement exprimé sur son avenir en Bleu, Zidane reste très actif.

Installé à Madrid, dans le prestigieux quartier des Français, Zinedine Zidane a su diversifier ses activités. À travers Z5, un réseau de complexes sportifs franchisés, il propose des terrains de football à 5 (aussi appelé « five ») et de padel, un sport hybride entre tennis et squash qui séduit de nombreuses célébrités, dont Cyril Hanouna.

Actuellement, deux centres Z5 sont déjà implantés en France, à Istres et Aix-en-Provence, dans les Bouches-du-Rhône. Désormais, un troisième complexe verra le jour à Toulouges (Pyrénées-Orientales), près de Perpignan, comme l’a révélé L’Indépendant.

Un projet à 5 millions d’euros pour un complexe ultra-moderne

C’est dans cette petite commune de 7 000 habitants que Zidane va construire son nouveau centre sportif, dont l’ouverture est prévue pour le premier semestre 2026. Selon les informations du média local, l’édifice représentera un investissement de près de 5 millions d’euros et comprendra :

• Deux terrains de five
• Un terrain de beach soccer
• Treize courts de padel

Zidane, un homme d’affaires aussi talentueux que sur le terrain

Dans l’attente d’un nouveau poste d’entraîneur ou de sélectionneur, Zinedine Zidane ne reste pas inactif. À l’image de Tony Parker ou Teddy Riner, le champion du monde 1998 se construit un empire économique en parallèle de sa carrière sportive. Et au vu du succès de ses précédents investissements, il semble aussi brillant dans les affaires que sur les terrains de football !

La reine Camilla accueille un nouveau membre au sein de la famille royale britannique, a révélé L’Express. L’épouse du roi Charles III a adopté un adorable chiot qui risque bien de bouleverser son quotidien.

La reine Camilla adopte un nouveau compagnon : découvrez son adorable chiot

Une heureuse nouvelle ! Le 18 novembre dernier, la reine Camilla a été profondément attristée par la disparition de son chien Beth, un Jack Russell Terrier qu’elle avait adopté avec son époux en 2011 au refuge londonien Battersea Dogs and Cats Home. Face à cette perte douloureuse, elle a finalement décidé d’ouvrir son cœur à un nouveau compagnon : un chiot de huit semaines nommé Moley, surnommé ainsi car il « ressemble à une taupe ». La monarque a annoncé la grande nouvelle lors de sa visite, ce mardi 25 février, dans la ville historique de Canterbury, en Angleterre, selon L’Express.

Un chiot adopté d’un refuge emblématique

La reine consort a précisé que le petit animal avait été sauvé et qu’il provenait également du célèbre refuge Battersea Dogs and Cats Home, un centre qui lui tient particulièrement à cœur. Ce n’est pas une surprise, puisque quelques semaines plus tôt, lors de la Royal Variety Performance, le roi Charles III avait confié à la présentatrice de télévision Amanda Holden – ambassadrice du centre de sauvetage animalier de renommée mondiale – que le couple royal envisageait d’adopter un nouveau chien. Camilla a partagé cette heureuse nouvelle en caressant avec joie un chien-guide lors de sa rencontre avec un groupe de visiteurs malvoyants au musée Beaney House of Art & Knowledge, situé au cœur de la rue principale animée de Canterbury.

L’avenir de la reine Camilla en question

Par ailleurs, en février 2024, Charles III a annoncé être atteint d’un cancer, une nouvelle qui inquiète profondément la famille royale et le peuple britannique. Si le monarque venait à succomber à la maladie, tout semble déjà prévu : son fils aîné, le prince William, deviendrait roi sous le titre de William V.

Mais qu’adviendra-t-il de la reine Camilla ? En cas de décès de son époux, elle devrait porter le titre de « reine douairière ». Contrairement à la reine Elizabeth, elle ne pourra pas être appelée « reine mère », car elle n’est pas la mère de l’héritier du trône, le prince William. De plus, ses propres enfants ne font pas partie de la ligne de succession. Dans cette éventualité, Camilla devrait s’effacer progressivement pour laisser toute la lumière au nouveau couple royal formé par William et Kate Middleton.

Ce lundi 24 février, Donald Trump a accueilli Emmanuel Macron à la Maison-Blanche. Lors de cette rencontre officielle, destinée à inclure les Européens dans les discussions sur la guerre en Ukraine, le président américain s’est laissé aller à une anecdote sur sa première rencontre avec son homologue français. Une déclaration qui a particulièrement mis en lumière Brigitte Macron.

Donald Trump se confie sur son amitié avec Emmanuel Macron et salue Brigitte Macron

Alors qu’Emmanuel Macron affichait une posture ferme pour défendre la sécurité des Européens – « La sécurité des Français et des Européens, c’est important », déclarait-il récemment au Salon de l’Agriculture, selon Le Parisien –, l’échange entre les deux chefs d’État s’est révélé particulièrement révélateur devant les médias.

Face aux caméras, Donald Trump est revenu sur sa première rencontre avec Emmanuel Macron lors d’un dîner à la Tour Eiffel. Il en a profité pour glisser un commentaire élogieux sur Brigitte Macron, une séquence capturée dans une vidéo publiée sur X (ex-Twitter) : « Nous étions à la Tour Eiffel pour un dîner avec votre magnifique femme et ma sublime épouse. Puis, le président a commencé à me parler d’un accord en français. Sauf que nous n’avions pas d’interpréter avec nous. Il continuait de parler et moi, je répondais simplement ‘oui, oui’. Je vous jure, il essayait vraiment de me vendre ce deal. Je peux vous dire que c’est un client très intelligent ! »

Cette déclaration a provoqué un éclat de rire chez Emmanuel Macron, témoignant d’une ambiance particulièrement étendue entre les deux dirigeants.

Melania Trump et Brigitte Macron : une amitié discrète mais sincère

Si Donald Trump semble apprécier Brigitte Macron , son épouse Melania Trump partage également une belle complicité avec la Première dame française. Invitée sur CNews le 27 janvier dernier , la photographe Régine Mahaux a confié : « Je pense qu’elle a une très belle connexion avec Brigitte Macron. Elles s’entendent bien et ont envie de faire des choses ensemble avec des objectifs communs. »

De son côté, Brigitte Macron n’a jamais caché son affection pour l’ancienne Première Dame. Dans une interview accordée à Point de Vue, elle confiait avoir noué « des liens très cordiaux avec certains conjoints de chefs d’État ou de gouvernement », citant notamment Melania Trump.

Leur entente avait déjà été évoquée en 2017 , lorsque Brigitte Macron déclarait dans Le Monde : « Elle est très gaie. Nous avons le même humour, on rit beaucoup toutes les deux. »

Hospitalisé depuis près de deux semaines pour une double pneumonie, le Pape François pourrait être transféré dans les prochains jours vers un autre établissement médical. Selon une source du Saint-Siège, le chef de l’Église catholique s’apprêterait à quitter la polyclinique Gemelli pour s’installer à l’hôpital Gemelli Isola, situé sur l’île Tibérine, à seulement 800 mètres du Vatican.

Septicémie, insuffisance rénale… Le point sur la santé du Souverain Pontife

Selon un membre du personnel médical de l’hôpital Gemelli 2, tout est en place : « L’appartement est prêt », affirme-t-il. Ce changement intervient alors que l’état de santé du Pape François continue de susciter des préoccupations. Hospitalisé depuis le 14 février, il souffre d’une double pneumonie ainsi que d’une maladie pulmonaire complexe, conséquence de l’ablation de son poumon droit à l’âge de 21 ans.

À cela s’ajoutent des signes précoces d’insuffisance rénale, des douleurs à la hanche et au genou, rendant ses déplacements de plus en plus difficiles.

Une menace de septicémie redoutée par les médecins

Selon Paris Match, le corps médical craint une septicémie, une infection du sang qui peut résulter d’une pneumonie. Cependant, le Vatican a rassuré ce 24 février, affirmant que le Pape se repose bien et qu’il aurait passé une bonne nuit.

Un transfert stratégique pour un meilleur suivi médical

L’appartement prévu pour le Pape François comprend deux pièces, un studio et une chapelle. Contrairement à la « suite blanche » de la polyclinique Gemelli, où il est actuellement hospitalisé, ce nouvel espace offrira également des logements pour le personnel médical et de sécurité.

En plus d’être mieux équipé, l’hôpital Gemelli Isola bénéficie d’un emplacement stratégique, situé à seulement 10 minutes du Vatican. Cette proximité permettrait une prise en charge plus rapide en cas d’urgence.

Un hôpital de renom au service du Souverain Pontife

Anciennement appelé San Giovanni Calibita Fatebenefratelli, l’hôpital Gemelli Isola a été racheté en septembre 2022 par le groupe propriétaire de la polyclinique Gemelli. Il regroupe six centres d’excellence, notamment un centre cardiovasculaire, un service spécialisé en prothèses de hanche et une unité dédiée aux maladies gastro-intestinales.

Sur le plateau de Télématin, ce 22 février, le journaliste Loup Besmond de Senneville s’est longuement exprimé sur l’hospitalisation du pape François. Selon lui, le souverain pontife, âgé de 88 ans, n’apprécie pas que son état de santé soit évoqué dans les médias.

Pape François malade : va-t-il quitter ses fonctions ?

Depuis plus d’une semaine, la santé du pape François suscite de vives inquiétudes. Pour rappel, le 14 février dernier, le chef de l’Église catholique a été hospitalisé en raison d’une bronchite sévère qu’il couvait depuis plusieurs jours. Après plusieurs jours de soins, le Vatican a tenu une conférence de presse le 21 février, au cours de laquelle certains médecins ont rassuré sur son état de santé. « L’état clinique du Saint-Père s’améliore légèrement. Il est apyrétique [sans fièvre, ndlr] et ses paramètres hémodynamiques restent stables », ont-ils précisés avec confiance.

Le lendemain, samedi 22 février, Loup Besmond de Senneville était invité sur Télématin pour évoquer les récents problèmes de santé du pape. Selon lui, l’emballement médiatique autour de l’état du pontife ne lui aurait clairement pas plu. « Le pape est un très mauvais patient. Il déteste qu’on parle de sa santé, il déteste les médecins, il déteste se faire soigner. Comme beaucoup d’entre nous, il n’aime pas être malade et encore moins que cela devienne un sujet », a expliqué le journaliste. Avant de nuancer : « Habituellement, il bloque toutes les communications sur ses problèmes de santé, mais cette fois, il n’a pas vraiment eu le choix, car la machine à rumeurs s’est mise en route. Il a préféré laisser parler les médecins plutôt que les journalistes italiens. »

Bien que son état s’améliore, des rumeurs persistantes, laissant entendre que cette maladie pourrait marquer la fin de son pontificat. Selon Loup Besmond de Senneville, la question de la succession du pape François est effectivement évoquée au Vatican, notamment lorsqu’il est hospitalisé. « Oui, on en parle. Mais il n’y a pas encore d’organisation concrète. Aucune répétition n’a été faite, notamment pour les obsèques. En revanche, ces derniers jours, les maîtres de cérémonies se sont présentés… », a précisé le journaliste, soulignant toutefois qu’aucune décision officielle n’a été prise. De fait, le pape François pourra, s’il le souhaite, reprendre ses fonctions une fois qu’il aura reçu l’aval des médecins.

Depuis le 14 février 2025, le pape François, âgé de 88 ans, est hospitalisé en raison d’une pneumonie bilatérale. Alors que le Vatican se veut rassurant, l’état de santé du souverain pontife suscite de plus en plus d’inquiétude.

Rome sous tension : l’avenir du pape François en question après son hospitalisation

D’abord admis pour une sévère bronchite, le souverain pontife a vu son état se détériorer au fil des jours. Ce 17 février, le Vatican a confirmé qu’il souffre d’une pneumonie bilatérale, précisant que son « tableau clinique complexe » nécessite une hospitalisation adaptée.

Alors que son agenda officiel est bouleversé et que ses apparitions publiques sont annulées, des sources proches du pape indiquent qu’il se prépare à une possible succession. Selon Politico, le pape aurait confié en privé son incertitude quant à son rétablissement et aurait déjà nommé des personnalités clés au sein du Vatican.

Le Vatican rassure, mais l’inquiétude demeure

Malgré les spéculations sur son état de santé, le Vatican a tenu à rassurer l’opinion publique. Ce 18 février, il a été confirmé que le pape François avait « passé une nuit paisible » et pris un petit-déjeuner ce matin-là. Cependant, son hospitalisation à l’hôpital Gemelli de Rome est prolongée et tous ses engagements prévus pour le week-end ont été annulés.

L’attention se porte désormais sur le 5 mars, date marquant le début du Carême catholique, période intense de célébrations menant à la fête de Pâques. Ce moment clé du calendrier religieux sera un véritable test pour la santé du souverain pontife, selon le journaliste Bernard Lecomte, interrogé par Le Parisien.

De passage à Teesside, dans le nord de l’Angleterre, Charles III a fait une révélation surprenante sur l’une de ses passions. Conscient du poids des années, le roi de 76 ans a confié avoir renoncé à l’un de ses passe-temps hivernaux favoris : le ski.

Blessures et douleurs : pourquoi Charles III ne peut plus pratiquer ses sports favoris

Il est loin, le temps où Charles III se déguisait pour échapper aux paparazzis sur les pistes enneigées. Récemment, alors qu’il échangeait avec un touriste suisse, le souverain a admis avec nostalgie : « Je pense que mes jours de ski sont derrière moi. » Une confiance relayée par Hello! Revue.

Fin du ski pour Charles III : un roi marqué par les blessures

Ce n’est pas la première fois que Charles III évoque son état de santé. En octobre dernier, lors d’une visite aux Jardins botaniques nationaux australiens, un admirateur de la famille royale lui avait demandé quel était son sport préféré. Sa réponse fut sans appel : « Je ne peux pas faire grand-chose maintenant, trop de blessures. »

Le roi souffrait de douleurs chroniques. Selon les mémoires du prince Harry publiées en 2023, son père endure des douleurs constantes au cou et au dos, héritage des chocs répétés subis lors de matchs de polo.

Un roi toujours en forme malgré l’âge

Malgré ses douleurs, Charles III reste très actif. En 2020, Camilla Parker Bowles avait même salué sa forme physique impressionnante : « Il est probablement l’homme de son âge le plus en forme que je connaisse. Il marche sans arrêt, comme un chèvre de montagne. Il laisse tout le monde loin derrière lui ! »

Selon la reine, Charles aime toujours : tailler des haies sous la pluie ; gravir les collines escarpées des Highlands ; planter et élaguer des arbres à Highgrove. Des habitudes qui lui permettent de rester actif et de trouver un certain apaisement.

Charles III, une discipline de fer : « Je fais de l’exercice deux fois par jour »

Bien qu’il ait mis fin à ses aventures sur les pistes de ski et à ses matchs de polo, Charles III répond à une routine physique stricte . En novembre 2024, lors d’un entretien avec la sprinteuse Désirée Henry , il avait confié : « Je fais de l’exercice deux fois par jour, avec des squats et des tractions à la barre. »

Un mode de vie sain qui lui permet de rester en forme et de continuer à assumer son rôle avec énergie.

Le prince Harry rêve-t-il d’agrandir sa famille ? Lors d’une récente interview accordée à la télévision canadienne, le duc de Sussex a partagé son avis tranché sur la question.

Prince Harry sur la paternité : « Un ou deux enfants, c’est suffisant »

Alors qu’il assistait aux Invictus Games 2025 au Canada, le prince Harry s’est prêté au jeu de l’interview dans un segment diffusé sur CTV News. Interrogé par le journaliste Omar Sachedina , qui attend son premier enfant, le fils cadet du roi Charles III a été invité à partager son ressenti sur la vie de famille. Sa réponse ne laisse guère de place au doute : « Je pense qu’un ou deux enfants, c’est probablement suffisant. »

Avec humour, il a ajouté : « Je connais des gens qui ont cinq enfants. Et je leur dis : ‘Eh bien, c’est de ta faute.’ » Plus sérieusement, le prince Harry a expliqué : « Avoir des enfants, c’est merveilleux… Mais c’est une véritable aventure. Chaque jour, chaque semaine, ils changent et grandissent. » Assis aux côtés de Meghan Markle, il a poursuivi : « J’adore les questions qu’ils posent, les expériences et les défis qu’ils nous font vivre. C’est incroyable. »

Une discussion marquante avec son fils Archie

Durant cet échange, Harry est également revenu sur une conversation récente avec son fils Archie, âgé de 5 ans. Le petit garçon lui a posé une question inattendue sur un sujet délicat : les mines antipersonnel. Une thématique que le prince ne pensait pas devoir aborder si tôt. Ce fut cependant l’occasion de rappeler l’engagement de la princesse Diana en faveur des victimes de ces armes, perpétuant ainsi sa mémoire auprès de ses petits-enfants.

Meghan Markle, de passage express au Canada

Présente au lancement des Invictus Games, le 8 février dernier, Meghan Markle n’est pas restée longtemps sur place. Juste avant la Saint-Valentin, la duchesse de Sussex est retournée en Californie auprès de leurs deux enfants. De son côté, le prince Harry assure seul la suite des événements.

Si cette séparation a surpris certains observateurs, elle était pourtant prévue de longue date. D’après une source citée par Hello ! le 11 février dernier : « C’est l’événement du prince Harry. Meghan est venue le soutenir, mais son retour était planifié depuis le début. »

Depuis plusieurs mois, le couple royal cherche à prendre plus d’indépendance dans ses engagements professionnels. Leur priorité reste cependant présente : veiller à ce qu’Archie et Lilibet demeurent toujours un parent présent à leurs côtés.

Ce mercredi 12 février 2025, le roi Charles III s’est rendu au stade de Tottenham Hotspur, situé dans le nord de Londres, pour célébrer son engagement auprès de la communauté et son partenariat avec la National Football League (NFL) des États-Unis, rapporte The Telegraph.

Le roi Charles III dévoile ses talents de quarterback au stade de Tottenham

Lors de cette visite, le souverain britannique a surpris l’assistance en démontrant ses talents en football américain. Il a reçu des conseils de Phoebe Schecter, capitaine de l’équipe féminine de football américain de Grande-Bretagne, sur la technique de lancer de ballon. Après une courte leçon, le roi s’est prêté au jeu, foulant la pelouse et réussissant une belle passe du bras droit, sous les applaudissements du public.

Poussé par l’enthousiasme général, Charles III a tenté un lancer de précision, visant des cerceaux placés sur un filet, dans un exercice typique des quarterbacks. Efe Obada, joueur britannique évoluant chez les Washington Commanders, a salué la performance du roi : « J’ai adoré son énergie et son implication. Sa technique était impressionnante ! »

Au cours de cette visite, le monarque a également rencontré des groupes communautaires et des entreprises locales, bénéficiaires du partenariat entre Tottenham Hotspur et la NFL.

Un roi passionné de sport

Fervent amateur de sport, Charles III n’hésite jamais à soutenir les équipes britanniques. Lors de l’Euro 2024, il avait adressé un message d’encouragement à l’équipe d’Angleterre, saluant leur qualification en finale. Avec une touche d’humour, il avait exhorté les joueurs à éviter une séance de tirs au but, afin d’épargner « le stress collectif de la nation ».

Condamné en décembre 2024 à trois ans de prison, dont deux avec sursis, avec port du bracelet électronique, Nicolas Sarkozy s’est récemment exprimé sur sa situation. Sur Instagram, sa belle-mère Marisa Borini lui a adressé un message de soutien émouvant.

Nicolas Sarkozy et son bracelet électronique : ses conditions de détention dévoilées

Un ex-président de la République portant un bracelet électronique : une première dans l’histoire de la Ve République. En décembre dernier, la Cour de cassation a confirmé la condamnation de Nicolas Sarkozy à trois ans de prison, dont deux avec sursis, dans l’affaire Bismuth, aussi connue sous le nom d’affaire des écoutes. Il a été reconnu coupable de corruption et trafic d’influence.

Alors qu’il est actuellement jugé dans une autre affaire, liée au financement présumé de sa campagne présidentielle de 2007 par Mouammar Kadhafi, Nicolas Sarkozy a pris la parole sur les réseaux sociaux. Dans un post Instagram, il annonce suspendre ses activités publiques « pour ne pas donner le sentiment de solliciter le moindre privilège ».

Carla Bruni et Marisa Borini unies derrière Nicolas Sarkozy

Cette déclaration a vivement touché ses proches, notamment son épouse Carla Bruni, mais aussi sa belle-mère, Marisa Borini. Sur Instagram, cette dernière a partagé une capture d’écran du message de l’ancien président, accompagné d’un message sobre mais fort : « Nicolas, je suis avec toi. Marisa. »

Dans son post, Nicolas Sarkozy se dit « victime d’une injustice » et affirme avoir renoncé volontairement à certains aménagements de peine auxquels il avait droit. Son épouse, fidèle à ses côtés, a réagi en repostant son message et en lui déclarant : « Je t’aime Nicolas. »

Les conditions de détention de Nicolas Sarkozy sous bracelet électronique

D’après les informations du Parisien, l’ancien président bénéficie de horaires aménagés sous bracelet électronique. Il peut quitter son domicile entre 8 heures et 20 heures, sauf les jours où il comparaît devant le tribunal correctionnel de Paris, où ses horaires sont prolongés jusqu’à 21h30.

Bien que Nicolas Sarkozy soit éligible à une libération conditionnelle immédiate, notamment en raison de son âge (70 ans), il n’a pas souhaité en faire la demande pour l’instant.

Un ancien employé de la famille royale britannique a fait des confidences sur Meghan Markle et son expérience difficile au sein de la monarchie. Lorsqu’elle a rejoint la famille royale après son mariage avec le prince Harry, la duchesse de Sussex a été surprise par la froideur des relations familiales, notamment entre le roi Charles III et la reine Elizabeth II.

Meghan Markle choquée par la relation entre Charles III et Elizabeth II

En 2020, Meghan Markle et le prince Harry ont annoncé leur retrait des fonctions royales, une décision surnommée le Megxit. Ce choix aurait été motivé par plusieurs facteurs : désaccords internes avec certains membres de la famille royale ; une couverture médiatique intense et souvent négative ; des tensions et un sentiment d’isolement ; des contraintes liées au protocole royal.

D’après Tom Quinn, journaliste britannique, Meghan Markle a peiné à s’intégrer au sein de la famille royale. Un ancien membre du personnel royal a révélé qu’elle trouvait son quotidien « difficile » et les règles royales « labyrinthiques et archaïques ».

Meghan Markle surprise par la relation entre Charles III et Elizabeth II

Selon cette source, Meghan Markle aurait été choquée par le manque de proximité émotionnelle entre le roi Charles III et sa mère, la reine Elizabeth II. « Elle a dit un jour : ‘Mais ils sont mère et fils, pourquoi sont-ils si froids l’un envers l’autre ?’ »

Une personnalité perçue comme imprévisible au sein du palais

L’ancienne actrice de Suits aurait également eu des rapports fluctuants avec le personnel royal, alternant entre une grande cordialité et une exigence stricte. « Une minute, elle était très amicale, peut-être même trop amicale, serrant le personnel dans ses bras et essayant de se lier d’amitié avec eux, et la minute suivante, elle était irritée par le fait qu’ils ne répondaient pas instantanément à toute heure du jour et de la nuit. »

Son attitude lui aurait valu le surnom de « Mystical Meg », en raison de son intérêt pour le développement personnel et les pratiques new age. Désormais installée en Californie, à Montecito, Meghan Markle semble avoir tourné la page de son passage tumultueux au sein de la famille royale britannique.

Bill Gates n’est plus un cœur à prendre, et il tient à ce que tout le monde le sache ! Le milliardaire philanthrope de 69 ans a profité de la sortie de ses mémoires, Source Code: My Beginnings, pour officialiser sa relation avec Paula Hurd.

Bill Gates amoureux : il officialise sa relation avec Paula Hurd

« J’ai la chance d’avoir une relation sérieuse avec quelqu’un qui s’appelle Paula », a-t-il confié lors d’un passage dans l’émission Today. « On s’amuse bien. On est allés aux Jeux olympiques et on fait plein de choses super. » Le couple, dont la relation a commencé à faire parler en 2023, s’affiche régulièrement en public depuis, que ce soit à la soirée de fiançailles de Jeff Bezos ou encore lors de la 10ᵉ cérémonie des Breakthrough Prize.

Bill Gates confirms new relationship with his new girlfriend, Paula Hurd after Melinda Gates' divorce pic.twitter.com/ni91eMFS87

— Naija (@Naija_PR) February 5, 2025

Si Bill Gates avait récemment déclaré au Times que son divorce avec Melinda French était « l’erreur qu’il regrettait le plus », il a tenu à clarifier ses propos sur NBC. « En dépit du fait que le divorce n’était pas une bonne chose, avoir ces trois enfants et le travail qu’on a pu faire ensemble, même si je savais que ça ne durerait pas pour toujours… si j’avais le choix, je referais pareil », a-t-il assuré face caméra.

Quoi qu’il en soit, le cofondateur de Microsoft semble avoir définitivement tourné la page de son mariage avec Melinda French, tout comme cette dernière !