Indila a connu un succès fulgurant. Son premier album, « Mini World », porté par les tubes « Dernière danse », « Tourner dans le vide » et « S.O.S », s’est déjà écoulé à près de 250 000 exemplaires.
La chanteuse parisienne envisage de sortir un deuxième opus dès l’année prochaine. « J’ai la chance d’être inspirée assez souvent. J’ai toujours mon ordinateur avec moi et mes petits logiciels sur lesquels je passe une bonne partie de ma vie », a-t-elle confié au micro de Laurent Argelier sur MFM Radio.
« J’ai surtout peur de m’éloigner de moi-même »
Mais comment parvient-elle à gérer son succès ? « On se laisse porter par la vague et puis on voit où ça nous mène. Moi j’ai surtout peur de m’éloigner de moi-même […] je pense que la plus belle des réussites c’est de rester soi-même. […] C’est important de garder nos valeurs […] », assure l’artiste de 29 ans, qui était encore inconnue du grand public il y a quelques mois.
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Indila dévoile l’une de ses craintes !
Indila a connu un succès fulgurant. Son premier album, « Mini World », porté par les tubes « Dernière danse », « Tourner dans le vide » et « S.O.S », s’est déjà écoulé à près de 250 000 exemplaires.
La chanteuse parisienne envisage de sortir un deuxième opus dès l’année prochaine. « J’ai la chance d’être inspirée assez souvent. J’ai toujours mon ordinateur avec moi et mes petits logiciels sur lesquels je passe une bonne partie de ma vie », a-t-elle confié au micro de Laurent Argelier sur MFM Radio.
« J’ai surtout peur de m’éloigner de moi-même »
Mais comment parvient-elle à gérer son succès ? « On se laisse porter par la vague et puis on voit où ça nous mène. Moi j’ai surtout peur de m’éloigner de moi-même […] je pense que la plus belle des réussites c’est de rester soi-même. […] C’est important de garder nos valeurs […] », assure l’artiste de 29 ans, qui était encore inconnue du grand public il y a quelques mois.
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