Inimitié entre Hélène Ségara et Lara Fabian ?

Hélène Ségara a récemment été invitée de l’émission « Le grand 8 », sur D8, pour faire la promotion de la nouvelle saison de « La France à un incroyable talent ».

Eric Antoine en a profité pour évoquer une mauvaise entente entre elle et Lara Fabian. « Dans le métier tout le monde sait que tu n’aimes pas trop Lara Fabian. Pourquoi ? », a-t-il demandé. « Oh mais n’importe quoi ! C’est fou ça ! Depuis le début, on nous met en rivalité. S’il y a une fille qui veut se mettre en rivalité avec elle, tant pis pour elle. Moi ça ne m’intéresse pas la compétition », a répondu Hélène Ségara, qui accuse donc la presse d’être à l’origine de cette rumeur.

Les deux chanteuses se sont même côtoyées pendant un temps. « C’est quelqu’un que j’ai connu car elle a fréquenté un chanteur que je connaissais. Ça fait très longtemps que je l’ai pas vue. La dernière fois que je lui ai parlé, c’était justement pour la mettre en contact avec Laura Pausini donc tu vois, je ne peux pas dire que je ne l’aime pas. J’aimerais juste savoir si elle, elle m’aime », a conclu Hélène Ségara.

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Accusée d’avoir profité de l’attentat contre Charlie Hebdo, Hélène Segara réagit !

Le 7 janvier dernier, alors que les Français vaquaient à leurs occupations, l’attentat perpétré par les frères Kouachi dans les locaux de Charlie Hebdo ouvrait un chapitre noir de l’histoire de la presse. Des hommes politiques aux anonymes en passant par des artistes de tout pays, tous ont décrié la monstruosité des faits à leur manière. Mais la manière d’Hélène Segara s’est retournée contre elle.

Après l’attentat des frères Kouachi contre la rédaction de Charlie Hebdo, plusieurs personnes d’horizons différents ont exprimé leur soutien en scandant :« Je suis Charlie. » D’autres par contre ont partagé des messages beaucoup plus expressifs pour décrire leur désolation. Hélène Segara, elle avait choisi de poster Je dois me taire, une de ses chansons, sur internet. Une chanson pleine d’émotion qui cadrait bien avec la souffrance et l’indignation des Français.

« Mais où on va ? »

Hélène Segara avait peut-être vu en cette chanson un moyen de s’exprimer contre ces violences gratuites commises par les frères Kouachi, mais pour beaucoup, c’est un coup de pub que la chanteuse voulait se faire en profitant de cette tragédie. Lors d’une interview, Hélène Segara répond à tous ceux qui l’accusent d’être une opportuniste : « Je n’ai pas attendu que ça devienne le petit mouvement « Je suis Charlie » dans les heures qui ont suivi (l’attentat), j’ai tout de suite posté cette chanson en téléchargement sur ma page. J’avais ce sentiment d’impuissance, et en même temps je me disais : “Mais où on va ?” » 

« Je n’en revenais pas. »

Lors de cette interview accordée à Not Bed Tv, Hélène Segara se fait on ne peut plus claire : « Cette chanson, je l’ai offerte en version live il y a pas mal d’années, justement dans des moments où il y avait eu des situations qui m’avaient affectée. C’est vrai que les fans qui me suivaient en tournée aimaient beaucoup cette chanson, mais je ne l’ai jamais exploitée commercialement. » Seulement, la chanteuse n’en revenait pas « qu’on puisse entrer dans un endroit et tuer de gens de sang froid.» Surtout des gens qu’elle « aimait beaucoup. »

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Exclu – Christophe Guillarmé : « Je me suis occupé de Julie Gayet avant son actualité planétaire »

Célèbre créateur de mode français, Christophe Guillarmé a lancé sa première collection dès 1998. Depuis, le styliste a fait du chemin. Rencontre.

Nilmirum – Évoquons tout d’abord votre parcours. Quelles ont été les étapes importantes vous permettant de devenir un célèbre créateur de mode ?

Christophe Guillarmé – Il n’y a pas vraiment d’étapes. C’est souvent un concours de circonstances. Des événements qui s’enchaînent et qui font que l’on est plus mis en avant qu’un autre. Par contre, pour durer dans le métier, c’est une autre histoire ! C’est souvent le sérieux et l’acharnement qui priment. Je citerai mon premier interview pour « L’Officiel de la Mode » en 1998, ma première présentation en 2000 ou encore mon premier Festival de Cannes en 2004. J’ai eu la chance de commencer dans ces années assez euphoriques où les erreurs de jugement n’étaient pas fatales.

Quelles sont les premières personnalités qui ont accepté de porter vos créations ?

Souvent, les rencontres se font avant la médiatisation : j’ai eu le plaisir de m’occuper d’Hafsia Herzi avant son César, de Nora Arnezeder juste avant son premier film pour Barratier, de Julie Gayet avant son actualité « planétaire »… Quant à Victoria Silvstedt et Mia Frye, ce sont des amies de la première heure. J’ai également travaillé avec des chanteuses comme Inna Modja, Hélène Segara et bien d’autres. C’est avant tout une question d’amitié et de confiance.

En 2010, vous avez participez à l’émission de télé-réalité « La Ferme Célébrités en Afrique ». Quelles ont été vos principales motivations pour participer à un tel programme ?

C’est avant tout pour le Sidaction que je me suis laissé tenter. Je représentais cette association pendant l’émission et celle-ci continue de m’associer à ses opérations. C’est un vrai point positif de cette aventure d’avoir pu initier une collaboration pour une cause qui m’est chère. Sinon, découvrir la brousse d’Afrique du Sud lors de safaris était incroyable !

Comment se manifeste votre engagement auprès du Sidaction aujourd’hui ?

Je soutiens Sidaction publiquement depuis 2010. Grâce à mes contacts, j’ai permis d’engager Renault et des joailliers comme Neuhaus et VIJ Paris dans la lutte lors des derniers « Dîners de la Mode ». Il y a également eu la vente aux enchères d’un Renault Twizy que j’ai customisé au profit de l’association lors du Gala de George Michael à l’Opéra Garnier.

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Dans le monde la mode et du show-business, vous a-t-on beaucoup reproché de participer à cette émission ?

Bien entendu, ma participation a été à double tranchant. J’ai gagné en visibilité auprès du grand public et perdu en crédibilité dans le milieu de la mode. Cette dernière, je l’ai regagnée depuis grâce à mes actions, qui ont continuée sans dévier : défilés pendant la Fashion Week de Paris, dressing pendant les Festivals de Cannes et Marrakech, etc.

Dans une interview accordée à Public au mois de juillet 2011, vous expliquiez que votre business avait été touché par la crise ? Les affaires sont-elles reparties de plus belle aujourd’hui ?

L’essentiel à l’heure actuelle, c’est de se maintenir ! Les affaires repartent tranquillement et j’ai la chance de pouvoir me diversifier en intervenant sur du design grâce aux licences comme la bagagerie.

A quels endroits peut-on trouver vos créations actuelles ?

Dans les grands magasins, aussi bien les Galeries Lafayette à Cannes et Casablanca, KaDeWe à Berlin, Operbollinger à Munich, Al Ostoura au Koweït, Aishti au Liban… Et sur la partie boutique de mon site www.christopheguillarme.fr où plusieurs pièces exclusives sont proposées.

Quels sont vos principaux projets à venir ?

Je prépare mon onzième dressing pendant le Festival de Cannes et un défilé au Sofitel Marrakech Palais Impérial. Plusieurs collaborations surprenantes sont également en cours, notamment dans le domaine des accessoires.

Crédits photos :

Thierry Marsaux – Centara Resort Hua Hin

Bruno Thomas – Sidaction

 

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