Koh-Lanta : Isabelle raconte son aventure et sa blessure

Elimi­née au premier conseil de Koh-Lanta, Isabelle a eu la chance de pouvoir faire son retour dans la compé­ti­tion. Manque de chance pour l’aventurière, elle s’est bles­sée peu après et a dû rentrer en France pour passer les trois mois suivants avec le pied dans le plâtre.

Isabelle espérait faire un long chemin dans la nouvelle édition de Koh-Lanta. L’aven­tu­rière, qui avait déjà parti­cipé à la troi­sième saison du jeu de TF1 et à La revanche des héros, a cependant vite déchanté. Après avoir essayé de mettre en place une stra­té­gie dès son arri­vée en Malai­sie, elle avait été élimi­née au premier conseil. « Je me suis sentie trahie, avait-elle confié à Télé-Loisirs.frVoir son flam­beau se faire éteindre, c’est la pire chose qui puisse arri­ver dans cette aven­ture. » Mais dans l’épi­sode diffusé ce vendredi, tout le monde fut surpris de voir Isabelle faire son grand retour, en remplacement de Sandra élimi­née pour raisons médi­cales.

Hélas, ce nouveau départ ne fut qu’éphémère. Pendant l’épreuve d’im­mu­nité, la candidate fait une chute dont elle s’est relevée avec un talon en miettes. « Je me suis mal récep­tion­née sur le talon et je m’en suis cassé l’os qui s’appelle le calca­néum. […] J’avais mal mais je pensais m’être fait une entorse. Hélas, on m’a trans­fé­rée à l’hôpi­tal le plus proche et la radio a été formelle. Denis m’a vite annoncé que je devais quit­ter l’aven­ture pour de bon. », déclare l’aventurière. Comme on peut s’en douter, Isabelle a été très attristée par ce deuxième départ mais différemment du premier : « J’ai usé toutes mes larmes lors de mon élimi­na­tion trois jours avant, se souvient-elle. J’étais contente de pouvoir être rapa­triée en France. J’ai vu un chirur­gien que je connais­sais qui a confirmé qu’il fallait m’immo­bi­li­ser. J’ai été plâtrée pendant trois mois”. 

À son retour en France, Isabelle a donc dû apprendre à se débrouiller avec sa bles­sure au talon : « C’est assez handi­ca­pant, explique-t-elle. Il fallait que j’ai le pied en l’air le plus souvent possible. J’ai eu des béquilles pendant tout ce temps. Je me suis fait rempla­cer au maga­sin de vête­ments que je possède. » Aujourd’­hui, l’aven­tu­rière va mieux : « Je remarche correc­te­ment même si je fais encore un peu de réédu­ca­tion. Tout est rentré dans l’ordre. Je ne garde aucune séquelle. ». Nous lui souhaitons bon courage pour la suite …