“Qui veut épouser mon fils ?” : La 3e saison arrive sur TF1 !

La troisième saison de « Qui veut épouser mon fils » débutera le 25 avril prochain sur TF1, à 23h30.

« Cette troisième saison aidera 4 garçons célibataires, âgés de 23 à 43 ans et vivant encore chez leur maman, dans leur quête de l’âme soeur. A chaque étape de l’aventure, les mères auront leur mot à dire concernant les prétendantes qui seront présentées à leur Tanguy de fils ! A la fin de l’aventure, les garçons auront une décision importante à prendre. Choisiront-ils de partir avec l’élue de leur cœur ou préfèreront-ils rester chez leur maman ?Auront-ils le courage de quitter celle qui, jusqu’à maintenant, était la femme de leur vie ? Le choix des Tanguy concordera-t-il avec le choix des mamans ? », peut-on lire dans un communiqué de la première chaîne présentant le programme.

Pour cette troisième saison, huit épisodes seront diffusés sur TF1. La première s’était achevée le 17 décembre 2010. La deuxième avait été lancée deux ans plus tard le 2 novembre 2012.

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Exclu – Cindy Lopes : « La vie de Loana est un suicide artistique permanent »

Cindy Lopes n’a jamais eu sa langue dans sa poche. En exclusivité pour Nilmirum, la « grande gueule » de la troisième édition de Secret Story pose son regard sur l’actualité de la télé-réalité française, avec un avis bien tranché. Entretien.

Nilmirum – Les audiences de l’émission de votre ex Giuseppe, « Giuseppe Ristorante », ne sont pas vraiment satisfaisantes. Cela vous étonne-t-il ?

Cindy Lopes – Franchement cela ne m’étonne pas en soi, car ce personnage n’a jamais vraiment été plébiscité par le public, il n’a pas de réseau de fans. Il est la caricature de lui-même. Un personnage atypique mais profondément égoïste, méchant. On ne peut pas dire qu’il ait inventé l’eau chaude. Le concept de ce programme présenté sur le papier a un certain intérêt puisque qu’il s’agit d’un challenge porté par son père, qui lui est un homme  très intéressant et entier. Il cuisine divinement bien : j’ai eu la chance d’être invité à sa table lors de ma relation avec Giuseppe. La production tente de l’humaniser en le faisant chialer, mais leurs efforts restent stériles.  C’est dommage d’avoir fait ce choix. Le public en a marre d’être leurré de la sorte, une télé réalité doit être plus spontanée, hors là, on ressent un vide profond lorsque l’on regarde cette émission. Cela dit, le casting des serveurs me parait intéressant.

Avec du recul, comment analysez-vous l’échec de l’émission « Carré ViiiP », arrêtée seulement au bout de deux semaines par TF1, en mars 2011 ?

L’échec de l’émission repose sur une incohérence entre « Vip » et « Wanna Vip ». Vouloir créer de la sorte des castes hiérarchisant des personnes est sans doute une erreur. L’échec ne repose pas seulement sur les audiences car elles étaient moins catastrophiques que celles des dernières saisons de Secret Story. D’autres raisons bien plus floues ne sont pas avouables publiquement. Il m’est clairement interdit d’en dire plus à ce sujet…

Si une émission similaire à « Carré ViiiP » se présentez à vous aujourd’hui sur une autre chaîne de télévision, seriez-vous tentée de réitérer l’expérience ?

Bien sûr que si on me proposait une émission interactive avec le public je signerais immédiatement. Mais j’en ai un peu marre des trucages en tous genres. Je veux bien faire de la télé-réalité car c’est quand même sympa, mais elle me parait loin l’époque où l’on avait le droit d’être soi-même. J’en parlais justement avec un ami journaliste au Figaro et notre constat est sans appel : les productions veulent nous montrer la forme en oubliant le fond. Des « Barbie » et « Ken » faisant de la musculation au bord d’une piscine, ça devient un peu barbant. On voudrait voir la réalité et pas des clashs bidons montés par les productions inquiètes d’offusquer le CSA.

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Quel est votre regard sur la carrière de Nabilla ? Peut-elle la mener à bien sur du long terme ? Ne s’expose-t-elle pas à une descente aux enfers comme a pu connaître Loana ?

Pour moi, Nabilla est un produit marketing orchestré par NRJ12 : cette jeune femme est fraîche, elle fait preuve d’une naïveté touchante. Elle est aussi très belle à regarder, mais la plaisanterie ne peut pas durer indéfiniment. Je ne pense pas que Nabilla finira comme Loana, car elle me parait plus fidèle envers ses proches, comme on peut l’observer dans le programme « Allo Nabilla ». Elle est entourée et je pense qu’au fond elle est consciente de la « mascarade » que représente sa médiatisation. C’est sans doute pour cette raison qu’elle ne se prend jamais au sérieux sur les plateaux télé.  L’auto-dérision est aussi une forme d’intelligence.

 

« Enora Malagré ne mord pas. Moi, si ! »

 

En parlant de Loana, celle-ci a encore fait une tentative de suicide récemment. Pensez-vous que la gagnante du premier « Loft Story » puisse un jour revenir à une vie « normale » ?

Loana est un cas à part, elle avait une vie difficile avant le Loft, et rien ne va bien très longtemps avec elle. Il y a des gens qui sont capables de tout avoir et finalement de tout perdre ensuite. Sa vie est un suicide artistique permanent et c’est dommage. Contrairement à l’opinion publique, je n’ai pas envie de la plaindre, il n’y a pas de victime innocente. J’imagine qu’il est difficile de se sortir de certaines dépendances, mais il faut de la volonté. Elle  a pour moi le comportement d’une enfant gâtée, et elle en oublie les autres…

Vous avez eu un clash avec Enora Malagré par le passé. Vous êtes-vous réconciliée avec la chroniqueuse de « TPMP » depuis ? Que pensez-vous de son ascension médiatique ?

J’ai dit ce que je pensais de ses propos en ce qui concerne les gens de télé-réalité. Je l’ai clashée et elle a seulement rétorqué qu’elle n’avait rien contre moi personnellement. Elle n’assume pas toujours ses propos qui sont pour moi l’équivalent d’un chien qui aboie, elle ne mord pas donc. Moi si, je lui ai proposé une confrontation pour voir si elle était si maligne sans ses coéquipiers. Mais tout ça, ce n’est que de la télé. Je la trouve finalement sympathique, ce n’est pas parce que je ne suis pas toujours d’accord avec quelqu’un que je le déteste. J’ai cru lire qu’elle était bisexuelle, alors bon elle me parait d’un coup plus « cool » (rires).

Amélie (Secret Story 4 et Les Anges de la télé-réalité) s’est un peu servie de sa grossesse et de son enfant pour intégrer certains programmes. Cautionnez-vous ce type de comportement ?

Je ne pense pas qu’elle se soit servie de sa grossesse pour faire de la télé, c’était un concours de circonstances. Cet acte a beaucoup été critiqué, on veut toujours un peu partager son bonheur lorsqu’on est maman. Je ne pense pas que j’en aurais fait autant. Mais le jour où je deviendrai maman, ce qui n’est pas du tout au programme, j’aurais sans doute vraiment envie de partager ça avec mes « Cindystes ». Oui, c’est de la mégalomanie, mais bon, pas au point d’être filmé non plus.

Sur quels projets travaillez-vous actuellement ?

En ce moment, je suis dans l’organisation de ma soirée qui aura lieu le 3 mars au Secret Square, où je présenterai notamment mon prochain titre « Sur place ou à emporter » de Jeremy Hills, un célèbre compositeur à l’origine du titre « No Stress » de Laurent Wolf. Il y aura différents artistes qui se produiront sur scène. Je veux mélanger les gens et les genres : des rappeurs, des transformistes, des magiciens, j’en ai marre de ranger les gens dans des cases !  Il y a aussi un livre qui est une comédie policière co-écrite avec un ami qui sortira mi-mars.

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Exclu – Jessyca Falour : “Je suis fière de ne jamais être tombée dans la drogue et l’alcool”

A seulement 35 ans, Jessyca Falour fête déjà ses 20 années de carrière. En exclusivité pour Nilmirum, l’animatrice de radio et de télé revient sur les moments clés de son riche parcours. La pétillante jeune femme se confie également sur son actualité débordante et ses ambitieux projets. Entretien.

Nilmirum – Dès l’âge de 15 ans, vous avez eu la possibilité de faire de la radio aux côtés d’Édouard Baer et Ariel Wizman sur Radio Nova. Comment aviez-vous décroché cette opportunité à l’époque ?

Jessyca Falour – Totalement par hasard. Mes potes de l’époque, stars de la série « Hélène et les garçons » étaient invités à l’émission « La grosse boule », animée par Edouard Baer et Ariel Wizman, et m’avaient dit d’écouter l’émission et de les appeler ensuite à la radio, vu que les portables n’existaient pas. Quand j’ai appelé, je suis tombée sur Edouard Baer qui m’a bombardé de questions au sujet de mon ressenti sur l’émission et m’a proposé de passer. J’avais à peine 15 ans et j’étais encore au lycée. J’y suis allée un mercredi et ce jour là, Ariel était absent. Edouard m’a proposé de faire l’émission avec lui. Comme ça s’est super bien passé, il m’a proposé de continuer avec eux et de revenir tous les mercredis. C’est ainsi qu’est née ma chronique « Jessyca appelle une copine ».

 Quels souvenirs gardez-vous de cette première expérience ?

Je n’en garde que de super souvenirs et une grande complicité avec Ariel et Edouard. C’est avec eux que j’ai appris l’improvisation et l’adrénaline du direct. C’est à partir de ce moment là que la passion de la radio m’est venue, une révélation !

 Au cours de votre carrière, vous avez souvent eu l’occasion de traiter l’actualité people ou celle du football. Aujourd’hui, vous vous êtes tournée vers le domaine de la santé. Pour quelles raisons ?

Parce que je suis une patiente avant tout et qu’en cherchant des infos santé sur Internet, j’ai souvent été découragée par des sites tellement oppressants qu’ils provoquaient, au final, l’effet inverse de celui recherché ou d’autres sites, trop pointus avec un vocabulaire médical pas toujours compréhensible pour un néophyte. Partant de ce constat, m’est naturellement venue l’envie de créer www.lasantesurtout.com, un site proche des internautes où les réponses des médecins comme les infos et les interviews qu’ils trouvent sont simples et réalistes sans être anxiogènes. J’ai confié le développement du site à l’agence web 1min30.

 En 1996 vous avez remplacé Difool sur Fun Radio pour co-animer l’émission Lovin’ Fun. Quel regard portez-vous sur l’évolution de la carrière de l’actuel animateur phare de Skyrock ?

Je suis impressionnée par sa longévité dans ce métier, sa passion inconditionnelle de la radio et son énergie qui est restée intacte malgré les années.

 Sur Fun Radio, vous avez également travaillé avec Max. Contrairement à Difool, ce dernier a connu une « période de vaches maigres » ces dernières années. Comment l’expliquez-vous ?

Ce métier est fait de hauts et de bas. La roue tourne pour tout le monde dans un sens comme dans l’autre. Aujourd’hui, il partage son savoir au Studec, l’école de radio, mais du jour au lendemain, un simple coup de fil peut relancer la machine et le faire revenir sous les feux des projecteurs. Il a un talent dingue donc je ne serais pas surprise de le retrouver à l’antenne. Très peu de personnalités radio/TV sont préservées des up & down et des effets de mode.

 En 2004, vous aviez participé à l’émission de télé-réalité Les Colocataires sur M6. N’était-il pas risqué de participer à un tel programme dans la mesure où votre carrière d’animatrice radio et télé était déjà bien lancée ?

C’est justement parce que j’avais déjà 11 ans de métier derrière moi que j’ai pu m’accorder ces trois mois complètement insolites. Je ne regrette absolument pas cette expérience qui m’a appris beaucoup sur le plan humain, sur les autres comme sur moi. Cela n’a absolument rien changé à ma vie professionnelle. Je suis retournée à la radio avec laquelle j’étais sous contrat 15 jours après la finale. Je me suis faite gentiment charrier par mes amis dans le métier mais ils étaient tous très curieux d’en savoir plus sur les dessous de cette aventure.

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« Franck Ribéry m’a confié qu’il excellait dans la descente de poubelles ! »

 

 Les Colocataires sont probablement le premier programme de télé-réalité français à avoir été un échec en terme d’audience. Pourquoi n’a-t-il pas fonctionné ?

N’ayant été ni l’animatrice ni la productrice de ce programme, ce n’est pas vraiment mon rôle de parler des audiences, nous n’en savions d’ailleurs absolument rien à l’intérieur de la maison. Mais les audiences n’étaient pas si catastrophiques puisque l’émission faisait presque 50% de PDM chez les moins de 50 ans sur la quotidienne en access prime time à l’époque.

 Finalement, cet échec n’a-t-il pas été un mal pour un bien pour la suite de votre carrière, dans le sens où vous n’avez pas eu à porter l’étiquette d’ex-candidate de télé-réalité ?

10 ans après jour pour jour, les gens dans la rue m’en parlent encore, cela prouve bien que le mot « échec » n’est pas approprié…En ce qui me concerne, le grand public et les gens du métier ont toujours fait la part des choses et rares sont ceux qui n’ont pas connaissance de mes activités radio et TV. La notoriété liée à la télé réalité m’a permis d’avoir une incroyable programmation d’invités sportifs et people dans mon émission. Et l’interview était souvent à double sens car ils me bombardaient de questions. Beaucoup de sportifs, surtout des footeux me sollicitaient pour que je les invite dans mon émission !

Quelle est la confidence la plus insolite d’un sportif pendant que vous animiez le Débrief ?

J’avais demandé à Ribery la discipline extra-sportive dans laquelle il se distinguait. Il m’a confié qu’il excellait dans la descente de poubelles. Lizarazu, grand fan de rugby, m’a quant à lui raconté que lorsque le XV de France jouait, il mimait des essais devant sa TV, comme s’il était sur le terrain, quitte à faire trembler les meubles !

En 2007, vous avez sorti votre premier livre De l’amour en général… Et du sexe en particulier. Un deuxième ouvrage est-il prévu ?

Mon premier livre a super bien marché en 2007. Il est ensuite sorti en Poche en 2009, ainsi qu’à l’étranger (Russie, Pologne, etc.), ce qui m’a donné envie de poursuivre dans l’édition. J’ai écrit depuis « Code : 31A8 », un roman girly mais très noir et je suis en train de travailler sur un troisième livre, « Rendez-vous au bloc », un genre de Bridget Jones perdue dans les couloirs d’un hôpital qui s’inspire de mes aventures et rencontres dans les hôpitaux.

 Rétrospectivement, de quoi être vous la plus fière en regardant vos 20 années de carrière ?

Au delà des émissions de radio et de TV, je suis surtout fière d’être restée intègre, authentique et surtout de ne jamais être tombée dans la drogue, l’alcool ou même le tabac sachant que j’ai démarré à un âge où on est facilement influençable et que j’ai fréquenté les nuits parisiennes et de nombreuses soirées mondaines très jeune, dès l’âge de 16 ans. Je suis vraiment fière de ça. Sur le plan professionnel, je suis ravie d’avoir été productrice à 16 ans en ayant trouvé moi-même le sponsor de l’émission, qui était Clarins. Je regrette par contre d’avoir refusé plusieurs émissions TV et autres projets canons car j’ai souvent dit non pour de mauvaises raisons, bien souvent personnelles.

Quels sont vos projets pour la suite de votre carrière ?

Ce sont plus que des projets car je suis dans le concret. Cela se dessine autour de ma grande passion, la santé et en particulier celle des trentenaires avec une émission de radio, un livre et le lancement de mon site lasantesurtout.com, destiné à l’info santé des 30-40 ans. Dans un second temps, j’aimerais aussi revenir à la production TV et à l’antenne en tant qu’animatrice/chroniqueuse, pour apporter ma touche perso en TVtoujours dans le domaine de la santé, avec un ton différent dans un esprit de santé décomplexée !

 

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