Exclu – Audrey Chauveau : « J’apprécie les styles de Maïtena Biraben et Anne-Sophie Lapix »

Comédienne et animatrice de télévision, Audrey Chauveau déborde d’actualité et de projets. Nilmirum est parti à la rencontre de la pétillante jeune femme ! Entretien.

Nilmirum – Vous êtes actuellement en tournage à Lyon pour « Accusé ». Comment avez-vous été sollicitée pour cette série ?  

Audrey Chauveau – Tout simplement parce que je suis comédienne (rires) ! J’ai passé les essais et ça a marché !

Vous serez également au casting du film de Dominic Bachy, « Des amours, désamour – Jeux d’aimants ». Comment faites-vous pour concilier vos différents tournages ?

Mes tournages en télévision sont très compactés. Cela me laisse du temps pour retourner à mes premiers amours. Je ne me suis jamais éloignée de ce qui m’a permis « d’éclore », à savoir la comédie et la danse !

Quel a été votre parcours scolaire avant de vous lancer dans l’animation d’émissions de télévision ?

Mon parcours scolaire est simple. J’ai obtenu un Bac littéraire en 1998. Ensuite, j’ai fait des études d’histoire de l’art et d’arts plastiques. Puis, j’ai suivi une formation au Studio Pygmalion. Initialement, faire de la télévision n’était pas mon but. M6 m’a proposé un casting et j’ai relevé le défi. Voilà comment tout à commencé !

Comment se sont passés vos premiers pas en télévision ?

Ça me paraît déjà tellement loin ! C’était en 2006. J’ ai commencé par un jeu baptisé « Un an de shopping ». Il s’agissait d’un programme court, une pastille sur Teva. J’ai ensuite eu l’opportunité de travailler pour M6, puis France Télévisions. J’ai eu la chance de collaborer avec Frank Saurat, Philippe Thuiller et Thierry Ardisson sur des prime-time qui ont très bien fonctionné !

Vous avez également eu l’occasion de travailler avec des personnalités importantes du PAF, comme Patrick Sabatier, Stéphane Bern ou encore Sébastien Folin…

Avec Patrick Sabatier, c était un « one shot ». Avec Stéphane Bern, nous avons fait de nombreux prime-time ainsi qu’une quotidienne ensemble. Il est drôle et très fin. C’était une très bonne expérience. Quant à Sébastien Folin, c’est un « pote » : on a présenté une cérémonie tous les deux, « Les Trophées des arts afro-caribéens », en 2011. Ça nous plairait d’ailleurs de travailler à nouveau ensemble.

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« Les questions à propos de ma couleur de peau me fatiguent »

Quelle est la rencontre la plus importante que vous ayez faite depuis vos débuts dans le métier ?

J’ai fait énormément de rencontres depuis mes débuts. Vous dire celle qui a été la plus importante est compliqué. J’ai eu et j’ai encore la chance de travailler avec des gens, des producteurs et des diffuseurs qui m’apprennent énormément. Toutefois, mes rencontres avec Patrick De Carolis et Nicolas Pernikoff ont sans doute été déterminantes. En ce qui concerne la comédie, je peux compter sur mon agent Nadié Koné chez Cineart Talentbox.

Parmi les animateurs de télévision, avez-vous eu ou avez-vous encore un modèle ?

Non, pas vraiment. Mais je dois dire que j’apprécie les styles de Maïtena Biraben  et Anne-Sophie Lapix. Concernant les hommes, comment ne pas citer Thierry Ardisson ?

Votre métissage a-t-il été un atout pour vous frayer une place dans le milieu impitoyable de la télévision ?

Pour être très franche, ce genre de question me fatigue un peu. Quand j’ai commencé la télévision, on ne me questionnait pas sur ma couleur de peau. Aujourd’hui, cela revient souvent. Quel retour en arrière !

Quel serait le programme que vous rêveriez de présenter ?

Un show à l’américaine avec des artistes qui jouent vraiment le jeu ! Du chant et de la danse seraient évidemment au programme. Mais je désire surtout présenter des programmes que je peux défendre et qui sont dans mon ADN.

Quels sont vos projets pour la saison prochaine ?

Il est encore tôt pour le dire…

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Stéphane Bern : “J’étais un enfant insolent”

Stéphane Bern a reçu une éducation très stricte.

« On ne parle pas à table avant qu’on nous adresse la parole, on ne répond pas à ses parents. Moi qui étais très insolent, vraiment insolent (…) J’étais très difficile à contraindre, je n’obéissais pas, je ne faisais jamais mes devoirs convenablement », s’est souvenu le présentateur de télévision dans « La parenthèse inattendue » qui sera diffusée mercredi sur France 2.

Le Franco-luxembourgeois n’a pas toujours reçu l’affection qu’il espérait. « Les câlins qu’on recevait de nos parents étaient indexés selon la manière dont on se comportait. Si j’avais été un bon petit garçon, j’avais le droit d’aller dans les bras de ma mère, sinon on me tenait à distance », a précisé l’animateur de 50 ans.

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Stéphane Bern tacle Stéphane Guillon sur le plateau d’Hanouna !

Stéphane Bern était l’un des invités de l’émission « Touche pas à mon poste » lundi soir.

« Vous préférez aller à un spectacle de Stéphane Guillon ou te faire tatouer “I love Louis XIV” sur l’épaule ? », lui a demandé l’animateur de la chaîne D8, à l’occasion d’un jeu consacré aux dilemmes.

« Doublement I love Louis XIV sur l’épaule… Et puis “morts aux cons” aussi, en même temps. Ça c’est spécial dédicace (…) Ça s’est bien passé, puisque je l’ai fait venir à France Inter quand j’y étais, je l’ai emmené à Canal +, j’ai fait pas mal de choses pour lui… Certaines personnes se souviennent plus que d’autres ce qu’on fait pour eux. L’amnésie est une maladie à la télévision », a répliqué le journaliste de 50 ans.

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