On peut être une dure à cuire, tenace de l’extérieur, mais avoir de petits moments de faiblesse. Des moments où l’on a d’autres choix que de se résigner malgré la douleur et la déception. Ces moments, Nicki Minaj les a connus et en parle lors d’une interview accordée à Rolling Stone.
Nicki Minaj aurait pu envisager l’avenir plus séreinement avec un nouvel album dans les bacs et une vie amoureuse aux côtés de l’homme avec qui elle a passé plus de douze ans de sa vie et à qui elle semblait toujours penser lors d’une récente interview radio. Mais au lieu de cela, la chanteuse s’est vu lancer des pierres à la sortie de Only, son featuring avec Drake, Chris Brown et Lil Wayne. Et la solitude que Nicki Minaj ressent pendant les nuits dans son lit n’arrange certainement pas les choses. À Rolling Stone, elle se confie sur sa rupture avec Safaree Samuels : « J’ai dû réapprendre à faire les choses les plus élémentaires comme dormir seule. J’étais tiraillée entre exprimer mes sentiments ou ne pas le faire. Et j’ai jugé qu’il n’y avait pas de raison pour moi de les cacher. » Sous sa carapace de fille solide à tout endurer, Nicki Minaj avoue : « Je suis vulnérable, et j’en suis fière. »
« J’ai cru que j’allais mourir. »
Nicki Minaj qui rêve cependant d’une famille avec « un gros bébé » avant son cinquième album dit avoir pris la décision la plus douloureuse de sa vie alors qu’elle n’était qu’une lycéenne : se faire avorter après avoir contracté une grossesse d’un homme mûr. « J’ai cru que j’allais mourir. J’étais jeune. Cela a été la chose la plus difficile que j’ai eue à vivre. Et ça m’a hanté toute ma vie. », a expliqué Nicki Minaj. Au sommet de cet empire de gloire et de succès qu’elle a bâti, Nicki Minaj reconnaît : « Je me contredirais si je disais que ce choix ne m’était pas favorable. Mais je n’étais pas prête. Je n’avais rien à offrir à un enfant. » Après tant d’années, Nicki est maintenant prête et compte mettre une pause à sa carrière pour s’occuper de son futur enfant avant de faire un retour fracassant sur le devant de la scène, à l’instar de Beyoncé.
Read moreDepuis le pli anormal apparu sur ses fesses lors de sa prestation à la Fashion Rocks 2014, les spéculations sur le naturel du popotin XL de Nicki Minaj faisaient bon train. Cependant, une récente vidéo publiée par Huffingtonpost ôte tout doute concernant ce postérieur si imposant.
Une vidéo sur Huffingtonpost montre Nicki Minaj lors d’une scène théâtrale alors qu’elle n’avait que 17 ans. La star n’a rien perdu de son talent. Au contraire, on dirait que Nicki a même gagné en maturité dans son art. Mais la seule métamorphose immédiatement remarquable est le postérieur de Nicki Minaj qui n’a rien à voir avec ce que la chanteuse exhibe fièrement et sensuellement sur des photos qu’elle poste sur sa page Instagram ou sur le tapis rouge. L’arrière-train de Nicki qui fait fantasmer plus d’un ne serait en fait que du plastique.
Le doute n’est plus permis !
En septembre dernier, le docteur Feldmar, un chirurgien de Beverly Hills, avait déclaré lors d’une interview relayée par Webpronews que la seule explication plausible au pli anormal sur les fesses de Nicki Minaj à la Fashion Rocks 2014 serait une chirurgie plastique : « Il semble qu’elle a eu une sorte d’augmentation au niveau de ses fesses. On dirait qu’elle a des implants fessiers ou peut-être, elle s’est fait une injection de graisse. » Des propos que vient confirmer cette vidéo d’Onika Tanya Maraj alors au lycée avait une apparence somme toute commune.
Les fesses, une obsession pour les stars américaines ?
Nicki Minaj n’est pas la seule célébrité au postérieur qui soulève plusieurs questions sur son état naturel. Kim Kardashian, Jennifer Lopez et Beyoncé sont toutes sous les projecteurs pour leur booty. En vérité, cette affaire de derrière imposant serait devenue une véritable obsession dans le milieu du showbiz américain. Pippa Middleton, la soeur de la duchesse de Cambridge, pouvait dire : « Qu’est ce que c’est que cette culture américaine du booty ? Il semble que c’est devenu une forme d’obsession. » Et bonjour les implants !
Read moreParty In The U.S.A, le premier single du deuxième album de Miley Cyrus, The Time Of Our Lives, a été le premier single de Miley Cyrus à atteindre la première place des charts. Un succès qui a bien profité à la chanteuse, mais aussi à l’auteure de cette oeuvre musicale à succès : Jessie J.
Party In The U.S.A de Miley Cyrus a fait d’elle la plus jeune artiste de l’histoire de la musique à avoir un single numéro un à 16 ans, mais à Jessie J, coauteure de la chanson, elle a assuré un toit pendant des années. « Party In The U.S.A a payé mon loyer pendant trois ans. », a révélé Jessie J lors d’une interview accordée à Glamour UK et relayée par Gossip Cop. Pour cette chanteuse anglaise, son gain ne vient pas seulement de ses singles ou albums, mais des textes qu’elle écrit pour ses homologues. « En tant qu’artiste, vous devez écrire des chansons, c’est comme ça qu’on gagne de l’argent… C’est de là que je me fais le plus d’argent. J’écris des chansons. Je suis une chanteuse…»
Un travail fait avec amour, mais souvent parsemé de regrets !
Précédemment, en 2011, Jessie J avait admis qu’elle a écrit Party In The U.S.A pour son propre album, mais son label l’a vite convaincue du fait que ce n’était pas une chanson pour elle. « J’ai enregistré Party In The U.S.A et je l’ai fait écouter à mon label, mais il ne l’a pas trouvé bien pour moi alors il l’a écarté et deux semaines plus tard, la chanson était numéro 1 dans six pays. » Une expression de regret ? Il y aurait effectivement de quoi se mordre le doigt. Mais Jessie J a sûrement trouvé de la consolation avec Price Tag son premier numéro 1. Bang Bang est également son plus gros tube. Cette collaboration musicale avec Nicki Minaj et Ariana Grande s’est écoulée à plus de 3 000 000 d’exemplaires dans le monde et est nominée aux Grammy Awards. La chanson a en outre été numéro 1 au Royaume-Uni.
Read more