En liberté provisoire, voilà où se cache Nabilla !

Depuis le 18 décembre, Nabilla peut à nouveau profiter de sa liberté. Même si la star est toujours sous surveillance juridique. Une liberté que Nabilla veut savourer délicieusement et affectueusement dans un endroit où elle sera à l’abri des médias.

Mémé Livia a été la première à rendre visite à Nabilla au parloir de la maison d’arrêt de Versailles. Une fois dehors, l’attaché de presse de Nabilla a annoncé dans un communiqué que la star de téléréalité souhaite se retirer momentanément de la scène médiatique. Et le meilleur endroit choisi par Nabilla est Annemasse, chez mémé Livia, sa grand-mère. Loin de l’effervescence de Paris, cette ville de la Haute-Savoie est le lieu de refuge idéal pour la star de 22 ans qui commence sa reconstruction auprès de sa famille depuis sa sortie de prison. Selon une information Closer, Nabilla a passé le week-end avec ses proches.

Libre, mais privé de son prince charmant !

Cependant, cette liberté dont peut aisément profiter Nabilla n’est pas aussi totale que le souhaiterait la chroniqueuse de TPMP puisque le tribunal de Nanterre « lui  interdit de rentrer en contact avec Thomas Vergara, même à travers les réseaux sociaux, et d’évoquer l’affaire dans les médias. » Si la deuxième restriction paraît facile à respecter pour Nabilla, Jaja Soltana, l’ancien bookeur du couple, pense que la première l’est encore moins, voire impossible : « Connaissant le lien fusionnel qui l’unit à Thomas, cela m’étonnerait fort qu’ils n’essaient pas de se voir en cachette. Elle l’aime encore et je doute que la justice arrive vraiment à les séparer. » Il n’aurait pas tort. En effet, samedi dernier, Nabilla a posté une ancienne photo d’elle et de Thomas Vergara. L’air amoureux qu’ils affichaient sur le cliché pourrait traduire l’envie de Nabilla de se retrouver à nouveau dans les bras de son compagnon.

Même en prison, Nabilla est fière de faire le buzz !

Ce séjour dans la Haute-Savoie pourrait être le moyen idéal pour Nabilla, pourtant habituée aux projecteurs, de respecter les restrictions du Parquet de Nanterre. La star de 22 ans adore tellement la célébrité que même derrière les murs de la prison, elle se réjouissait de faire la une des médias à l’extérieur. Selon le témoignage de l’une de ses codétenues à Closer, « Nabilla n’a pas mal vécu » la publication des images d’elle par le magazine alors qu’elle se promenait dans la cour de la maison d’arrêt de Versailles. « Son avocat lui avait ramené Closer le jour même de la parution, et elle l’a montré à tout le monde dans la prison. Elle était super contente de faire du buzz. », a indiqué la codétenue de Nabilla cachée sous le renom de Linda avant d’ajouter : « Elle était très fière qu’on parle d’elle à l’extérieur. Pour elle, c’était une bonne nouvelle. Elle n’a jamais été privée de promenade. À Versailles, il y a deux cours de promenade, la grande, où il y a effectivement un vis-à-vis, et une autre plus petite, plus isolée. Après cette affaire, elle faisait ses promenades dans celle-là. »

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Closer condamné à verser 15 000 euros de dommages et intérêts à Julie Gayet !

Ce jeudi, Closer a été condamné à verser 15 000 euros de dommages et intérêts à Julie Gayet.

Au mois de janvier dernier, le magazine people avait publié une série de photos révélant la relation de la comédienne avec François Hollande.

Le tribunal de grande instance de Nanterre (Haut-de-Seine) a également condamné l’hebdomadaire à publier cette  condamnation en couverture. Julie Gayet n’a pas totalement obtenu gain de cause puisqu’elle réclamait 50 000 euros de dommages et intérêts.

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Valérie Trierweiler attaque Closer !

La désormais ex-compagne de François Hollande a annoncé à l’AFP qu’elle allait déposer une plainte pour « atteinte à la vie privée » contre le magazine Closer.

Dans sa dernière édition, l’hebdomadaire publie des photos où l’on peut voir l’ancienne première Dame à la plage, en compagnie de plusieurs amies.

« Elles avaient réservé l’une des treize villas luxueuses posées au bord d’un lagon (…) qui se louent à partir de 1.420EUR la nuit, et jusqu’à 1.968EUR pour une villa baptisée présidentielle », peut-on lire dans l’article.

Valérie Trierweiler closer

 

 

 

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